Un pauvre homme maltraité

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Nous ne voulons pas de çà

Blogons : nous observons, nous relayons

Intro

Nous donnons la parole à un de nos amis citoyen de l’Hérault.


Le procès des auteurs présumés des attentats du 13 novembre 2015 à Paris s’est ouvert hier 8 septembre 2021, soit 6 ans après. Le principal accusé, le (Franco-)Marocain Salah Abdeslam a tenté de transformer son procès en tribune politico-religieuse.

Il s’est présenté comme un soldat de DAECH (l’Etat Islamique) agissant au service de ce ramassis de malfaiteurs s’inspirant de l’Islamisme. Il s’est plaint d’avoir été maltraité depuis son arrestation alors qu’il a bénéficié d’un hébergement de luxe dans une aile de la prison de Fleury-Mérogis exclusivement réservée alors que bien des prisonniers seraient heureux de l’espace dont il dispose. Il est vrai qu’il est surveillé jour et nuit, un luxe pour éviter qu’il ne lui prenne l’envie de rejoindre le paradis d’Allah et ses 80 vierges éternelles (le suicide est interdit pas la loi islamique ?).

Il était atteint de mutisme depuis son arrestation et ne parlait plus, surtout aux juges d’instruction. Un miracle s’est produit : il a retrouvé la parole mais le procès n’est pas retransmis dans les médias, personne ne verra sa barbe noire fournie ni ses vêtements noirs (uniforme DAECH). Il aurait pu mesurer qu’il a des comptes à rendre, lui et ses complices, devant la loi républicaine au nom de laquelle ils sont jugés. La loi islamique ou prétendue telle n’a pas cours en France. Son action et celle de ses complices à provoqué en France, à Paris, des morts (130) et des blessés (413). Il aurait pu exprimer des regrets, se repentir devant les souffrances infligées à des innocents, des civils. A-t-il conscience que ses copains armés de fusils automatiques d’assaut AK47 (Kalashnikov) tiraient les victimes « comme des lapins » ou se faisaient exploser avec leurs ceintures explosives. Si on appliquait la loi islamique, ce serait « oeuil pour oeui, dent pour dent » ou une rafale de Kalash ! En pleine tête ? Sur la place publique ? Non, on lui offre neuf mois de procès !

Non, il ne regrette rien, il est accusé d’avoir dirigé les tueurs en liaison avec ses copains de DAECH qui téléguidaient les tueurs. Ignoble : il se plaint de maltraitances ! Le pôvre ! Cause toujours !

On lui souhaite, à l’issue de neuf mois de procès, de descendre de sont petit nuages jihadiste, de voir la réalité en face pour affronter la juste punition que lui infligera la justice républicaine, une longue perpétuité et un isolement total et la déchéance de la nationalité française. Car il est contagieux, porteur d’un virus très dangereux : l’islamisme radical ou jihadisme qui prétend que sa loi prime sur celle de la République. Il ne réalise pas qu’il est entre les mains des serviteurs vertueux de la République française qui le juge. Au nom de nos valeurs républicaines.

Il semblerait que nombre d’inculpés ne soient pas présents : il se seraient enfuis en Syrie et seraient tombés les armes à la main. Pour eux, la justice est faite. Leur chef est mort, Al Baghdadi est mort comme un rat au fond d’un tunnel, traqué par des soldats des USA. Il ne comparaitra pas devant une justice républicaine.

Citoyen34
Auditeur IHEDN

Un membre de l’ASAF

La société républicaine, notre peuple, a le droit de se protéger contre de pareils tueurs crapuleux qui s’en sont pris à des civils innocents.

Association de soutien à l'Armée Française
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