Piqûre de rappel sur l’hydroxy-chloroquine

Monsieur Emmanuel Macron est candidat au renouvellement de sa fonction de Président de la République. C’est pour bientôt, dans pas longtemps : le 2e tour de l’élection présidentielle est pour le dimanche 24 avril prochain.

Contribuables34 vous rappelle un certain nombre de casseroles que nous avons dénoncées ici, casseroles qui éclairent le quinquennat écoulé de ce banquier d’affaires, ex-ministre des finances de Monsieur François Hollande.

Les grosses casseroles

Les gilets jaunes : ce mouvement de protestation populaire qui s’exprimait tous les samedis après-midi.

L’affaire Benallah : une curieuse affaire de milice privée à l’Elysée.

Un Président ne doit pas faire çà ! Une honte ! Réaulf Flemming est un ancien braqueur récemment sorti de prison.

Les photos de Paris-Match avec un délinquant qui fait un doigt d’honneur  et un autre qui fait les cornes !

L’interview Bourdin-Plenel : une véritable insulte à la fonction présidentielle.

Un drôle de compagnon de voyage : le rappeur Vegedream. Drôle de fréquentations !

Nous avons dénoncé le recours aux bureaux de conseil comme MacKinsey. Un rapport du Sénat dénonce des marchés publics passés avec une entreprise qui ne paie pas ses impôts en France.

Et ainsi de suite ! Pour être respecté, il faut être respectable !

Une affaire qui interroge : hydroxychloroquine

Il y a l’affaire de l’hydroxy-chloroquine dénoncée par de nombreux ouvrages. Nous rappelons celui du journaliste scientifique Xavier Bazin « Big pharma démasqué » (Guy Trédaniel éditeur, 2021). Une ânerie de Monsieur le Ministre de la Santé Publique Olivier Véran. Le Pr. Christian Perrone (ex chef de service des maladies infectieuses de l’hôpital de Garches), un spécialiste internationalement reconnu des virus a été promptement sanctionné et viré de son poste. Pourquoi ? Il a osé dénoncer diverses décisions dont l’interdiction de l’hydroxychloroquine comme traitement préventif de la CoVid-19 (traitement IHU Marseille) et l’a dit dans son livre « Décidément, ILS n’ont toujours rien compris ! » (Albin Michel éd., 2021, pp.71- …). Il a aussi dénoncé un médicament qu’on voulait nous vendre, le remdesivir des laboratoires Gilead.

Affaire Gilead remdesivir

Début octobre 2021 : l’Europe achète pour plus d’un milliard d’euros de doses de l’antiviral remdesivir (500.000 doses). Ce médicament semble avoir été vu d’un bon oeil de la plupart des membres du Conseil scientifique (le nôtre). Quelques autres grand de la médecine aussi.

Le 15 octobre 2021 : , l’étude Solidarity de l’OMS revêle que (nous citons) :

« Les résultats provisoires de l’essai Solidarity ont été publiés le 15 octobre 2020. Il a été constaté que les 4 traitements évalués (remdésivir, hydroxychloroquine, lopinavir/ritonavir et interféron) n’avaient que peu ou pas d’effet sur la mortalité globale, la mise en route de la ventilation et la durée du séjour à l’hôpital chez les malades hospitalisés. ».

L’antiviral, ainsi que les trois autres, n’a aucun effet sur les malades ! L’Europe a commandé un produite de surcroît reconnu toxique pour les reins et le foie.

Le 20 novembre 2021 : l’OMS déconseille l’usage du remdesivir insistant sur la « possibilité d’importants effets secondaires » notamment sur les reins. Son coût important et son implication logistique (administration en milieu hospitalier par voie intraveineuse) sont soulignés. L’hdoxychloroquine ne coûte que 5 € la boîte contre plus de 1.970 € la boîte pour l’antiviral Gilead.

L’hydroxychloroquine

Nous ne résistons pas au plaisir de rappeler la diabolisation de l’hydroxychloroquine-chloroquine et la décision de Monsieur le Ministre d’interdire l’usage de cette substance « le medicament le plus prometteur » interdit de prescription en pleine pandémie. Ni sur le fait qu’une étude frauduleuse d’un bureau d’études publiée par deux éminents journaux scientifiques (The Lancet et New Journal of …) a servi de prétexte à notre ministre de la Santé Olivier Véran pour interdire ce médicament.

Qui est l’actuel chef ?

Qui est le patron de Monsieur le Ministre ? La pyramide des hiérarchies administratives de notre monarchie républicaine place Monsieur Macron au sommet : c’est lui qui a couvert ! Conseillé par qui ? Par des cabinets de conseil ? Pas besoin de MacKinsey chez nous. MacKinsey go home ! Fous le camp ! Nous n’avons pas besoin de payer la montre pour qu’on nous donne ensuite l’heure. Le chef est celui qui assume ! 

Nous citons le rapport sénatorial de Mme Eliane Assassi sur « Un phénomène tentaculaire ». Nous citons une partie :

« En 2021, l’État a dépensé plus d’un milliard d’euros en prestations de conseil.

Ces dépenses ont plus que doublé depuis 2018, ce qui interroge à la fois notre vision de l’État et de sa souveraineté face à des cabinets privés et la bonne utilisation de nos deniers publics.

Après quatre mois d’investigation et 7 300 documents recueillis, la commission d’enquête démontre que des pans entiers des politiques publiques ont été sous-traités à des cabinets privés : crise sanitaire, réforme de l’aide juridictionnelle, radars routiers, évaluation de la stratégie nationale de santé…

Le recours aux consultants est ainsi devenu un réflexe pour un État qui donne parfois l’impression qu’il « ne sait plus faire », malgré le dévouement de ses propres agents.».

L’important est la synthèse faite par la Commission d’enquête. Cette synthèse met en évidence les risques de conflits d’intérêts. Le nom de M. Olivier Véran est cité dans ce document. Pourquoi ? Nous citons une étrange phrase :

« M. Olivier Véran, ministre des solidarités et de la santé, l’a d’ailleurs confirmé devant la commission d’enquête : « si vous aviez voulu [les] documents estampillés McKinsey présents dans le dossier, vous auriez trouvé une feuille blanche ».» ???

Le ministre refuserait de livrer une information payée sur fonds publics, avec nos impôts ? Ou Mac Kinsey vendrait-il des feuilles blanches ? Celà ne doit pas rester sans sanctions. Au moins, vous, électeurs, pouvez infliger une sanction citoyenne contre un candidat Président qui permet de genre de pratiques.

D’autre part, le document de synthèse démonte le mécanisme qui permet de contourner le Code des marchés publics. Nous citons : 

« En pratique, le recours aux cabinets de conseil est facilité par des accords-cadres, dont celui de la Direction interministérielle de la transformation publique (DITP) et de la centrale d’achat UGAP. Ces contrats mettent à la disposition des ministères un vivier de cabinets de conseil, dans lequel ils peuvent aisément piocher. »

Quelle suite à cette commission d’enquête ? Qui va sanctionner ? La réponse, chers contribuables français et en particulier de l’Hérault, c’est vous qui en avez le pouvoir avec votre bulletin de vote citoyen.

Ne vous abstenez pas, ne votez pas blanc

Ici on s'honore du titre de Citoyen
Ici on s’honore du titre de Citoyen

Alors qui voter ? Votez ! Voter est le devoir et la marque du citoyen. Pas d’abstention. Réfléchissez ! Il y a suffisamment de compétences dans nos militaires et nos fonctionnaires, des gens honnêtes ! Et après le 2e tour des élections, il y aura les élections législatives ! Il s’agit de l’avenir de nos enfants et petits-enfants. Pas d(abstention, pas de bulletins blancs ou nuls !

J’ai personnellement, depuis une cinquantaine d’années, essayé de ne JAMAIS manquer un scrutin. J’ai accepté de veiller sur des bureaux de vote, j’ai participé à des dépouillements. J’ai observé depuis quelques années les signatures se raréfier sur les registres d’émargement, l’abstention augmenter. J’ai extrait d’enveloppes bleues des carrès de papier hygiènique, des bulletins nuls. Plus jamais çà ! Votez !

Le père Spicace




Le point sur les essais cliniques

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observatoire phare

Argos Panoptes

Nous observons, nous avons l’oeil !

Argos Panoptés
Ce matin, 14 mai 2020, une nouvelle sur Europe 1 : on parle de l’essai clinique Discovery comme Fiascovery ! ? Nous avons voulu en savoir plus sur :

L’actualité est toute bruissante ! De toutes part, ça fuse ! Sanofi (société initialement française mais mondialisée), le n° 1 du vaccin aurait déclaré réserver ses premiers vaccins contre le CoViD-19 aux USA au prétexte qu’ils sont financés par les dollars du gouvernement USA. C’est oublier les milliers d’€uros de crédit d’impôts de notre gouvernement français. Il y aurait-il un malentendu ?
observatoire phare

Le veilleur et lanceur d’alerte




La COVID19 recule à Marseille


observatoire phare

Argos Panoptes

Nous observons, nous avons l’oeil !

Argos Panoptés

Info

La COVID-19 recule à Marseille ? Allons nous continuer à nous aveugler, sommes nous victimes du syndrome de Byzance ? Discuter du sexe des anges n’avait servi à rien aux membres du Concile de Constantinople de 1424 alors que les Turcs assiégeaient la ville ?

Nous devons être pragmatiques face au COVID-19 et à son agent le SARS-CoV-2 comme l’a été le professeur Didier Raoult avec le traitement à la chloroquine et à ses dérivés associés à l’azythromycine. Les faits lui donnent raison : l’épidémie recule à Marseille ! Il est possible que l’épidémie disparaisse au printemps ?

La vérité terrain n’empêche pas les chercheurs de continuer leurs essais cliniques et la mise au point de vaccins et de traitements par sérums de malades guéris.

La lutte féroce en France pour l’utilisation de médicaments nouveaux expliquerait la différence de mortalité plus faible dans les pays du tiers monde qui n’ont pas la choix ! Dixit Didier Raoult ! (15/04/2020).

observatoire phare

Le veilleur et lanceur d’alerte

Contribuables de l'Hérault

Signature du Citoyen-Contribuable 34

 Contribution validée par le modérateur.

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Le mystère de la chloroquine et de ses dérivés

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extrait bandeau IHEDN site institut

Un citoyen très en colère !
respectueux des lois républicaines

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Intro

Qui cherche trouve. Un de nos amis biologiste (non-médecin) a été fortement intrigué par la hargne que manifeste un quarteron de spécialistes à l’encontre du professeur Didier Raoult et son traitement à la chloroquine. Le professeur marseillais a tiré parti des essais cliniques chinois qui n’ont pas fait l’objet de publications acédémiques classiques.

Faire une publication académique bénie par des comités de lecture est un processus qui prend du temps. Or, notre chef de l’État l’a dit et répété « Nous sommes en guerre », par deux fois ! A la guerre comme à la guerre, nous sommes dans l’urgence et des essais cliniques qui peuvent sauver des vies, on ne doit pas les interdire ni les canaliser, voire les freiner, ou les contrarier. Le professeur Raoult lui, préfère agir auprès de ses malades (voyez l’article du Parisien du 27 mars 2020). Nous en donnons des extraits :

« S’appuyant notamment sur les travaux de scientifiques et médecins chinois, qu’il considère comme « les meilleurs spécialistes de virologie au monde », il aurait trouvé le remède au Covid-19. Sa solution : utiliser la chloroquine (plus précisément, l’un de ses dérivés, l’hydroxychloroquine), un anti-paludique employé depuis 1949, en association avec le seul antibiotique qui fonctionne sur les virus, l’azithromycine. « Ce sont des molécules anciennes, sans problème majeur de toxicité, et immédiatement disponibles », explique-t-il dans ses vidéos devenues « virales ». « C’est efficace sur les cas positifs d’infection à ce nouveau coronavirus, ajoute-t-il. Le Covid-19 est probablement l’infection la plus facile à traiter. Ce n’est donc pas la peine de s’exciter, il faut travailler. » …

Peut-être est-ce là des affirmations qui ont été mal comprises ?

La chloroquine, remède miracle contre le coronavirus selon le Pr Raoult, c’est quoi ? …

Sans filtre, il fustige les « oiseaux de plateaux télé » qui « parlent comme dans les bars et n’y connaissent rien ».

Lui, il agit! Et déclare qu’il n’attend rien des nouveaux essais cliniques à grande échelle, finalement autorisés par le gouvernement, …».

La question de la chloroquine

La chloroquine est un antipaludéen de synthèse, un vieux médicament qui ne coûte plus rien, les droits sont prescrit, il était en vente libre. Ses effets secondaires sont connus, bien connus. Il s’est révélé efficace contre un autre corona-virus et la Chine l’a employé avec succès contre celui qui l’a infectée (et nous par la même occasion).

La question est de savoir pourquoi l’usine qui le fabrique pour un grand laboratoire était en cessation de paiement ? Pourquoi le 10 janvier 2020 ce médicament a été interdit de vente libre ? Quels sont les intérêts dont on ne parle pas qui ont agi ?

Nous avons une partie de la réponse dans cet article de Libération (Cliquez sur ce lien). La chloroquine serait génotoxique ? Ce qui est contesté par les médecins qui prescrivent l’hydroxychloriquine pour le lupus.

Le mode d’action dans le paludisme

Le paludisme est provoqué par un protozoaire, le Plasmodium falciparum, un micro-organisme véhiculé par différents moustiques dont l’Anophèle. La femelle s’infecte en piquant un malade paludéen puis inocule la parasite, les piqures sont faites pour se nourrir du sang. Le réservoir du parasite est dans les glandes salivaires du moustique, l’hôte le sujet humain infesté.

En simplifiant, dans le sang, le parasite (sporozoïte) infecte les globules rouges en y pénétrant et s’y reproduit . Les globules rouges éclatent et libèrent des mérozoïtes, le cycle dure environ 48h. Sans traitement, l’infestation peut être mortelle. La chloroquine (et ses dérivés) bloquent le cycle de reproduction dans les globules rouges en empêchant un des processus de se produire. Nous citons :

« La chloroquine agit sur le parasite à son stade intra-érythrocytaire, période au cours de laquelle s’exprime la maladie. Dans le globule rouge, le Plasmodium digère l’hémoglobine en libérant la molécule d’hème, hautement toxique. Pour éviter cette toxicité, le parasite provoque la polymérisation de l’hème en cristaux inertes d’hémozoïne. Dans cette vacuole digestive créée par le Plasmodium à l’intérieur du globule rouge, la chloroquine s’oppose à la cristallisation et forme avec l’hème un complexe toxique qui détruit le parasite. ».

Hélas, le parasite acquier une résistance à la chloroquine, obligeant la recherche à mettre au point d’autres molécules.

Le mode d’action dans la maladie à SARS-COV-2

La maladie à SARS-COV-2 ou Covid-19 est provoquée par un virus, un organisme totalement différent du Plasmodium du paludisme. Ce virus à couronne (corona) pénêtre dans les cellules du système respiratoire. Le processus peut être simplifié, le virus de multiplie en détournant le fonctionnement de la cellule pour répliquer des virus, un peu comme le protozoaire responsable du paludisme (toutes proportions gardées) . La biochimie d’une cellule envahie est un domaine complexe maîtrisé par les professeurs de médecine et les grands chercheurs français.

Peut-on imaginer que, comme dans sont intervention dans le cycle du parasite Plasmodium, une chaîne de réactions bio-chimiques se bloquerait, empêchant la multiplication (la réplication) du virus ? Il y aurait diminution de la charge virale !

Les essais cliniques menés en Chine et maintenant en France, à Marseiile (Pr. Didier Raoult) semblent encourageants et vont dans le sens de la guérison des patients.

Histoire récente de la chloroquine

Vieux médicament, la chloroquine commercialisée par la grand pharmacien SANOFI a été classée parmi les substances vénéneuses (Liste II, à ne délivrer que sur ordonnance). C’est un arrêté du 13 janvier 2020 signé par le directeur général de la santé qui a validé ce qui était une pratique répandue (ordonnance).

Il est certain que même en invoquant une ordonnance médicale, la réponse de plusieurs pharmaciens a été « Adressez vous à l’hôpital ! ». Circulez, y’a rien a voir.

La question est de savoir si on veut empêcher les français de se soigner ? Le Professeur Raoult est médecin, libre de ses prescriptions et il semble avancer. Le président de la fédération des médecins de France (FMF), le docteur Jean-Paul Hamon, un sexagénaire, s’exprimant sur la chaîne C-News ce 28 mars 2020, a dit avoir été frappé du SARS-COV-2 et avoir pris du plaquenil (un nom commercial pour l’hydroxichloroquine). Il a arrêté sa médication pour cause de nausées au bout de 2 jours ½. Il parle maintenant de reprendre son travail.

Les antiviraux

Il n’existe, à ce jour, aucune molécule antivirale spécifique. Le virus est nouveau, il n’y a pas assez de recul et la course est lancée au « repositionnement » de médicaments existants. La revue Sciences et Avenir nous présente le tableau des possibilités de lutte.

En attendant, laissons travailler ceux qui sont sur le terrain, au contact des malades, de leurs patients.

13/02/2022 : nous révisons ce billet : des antiviraux spécifiques commencent à être commercialisés. Il s’agit essentiellement du paxlovid (Pfizer). Avec la vaccination, l’espoir est là de maîtriser la pandémie.

Contribuables de l'Hérault

Signature du Citoyen-Contribuable 34

 Contribution validée par le modérateur.

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