Qui gouverne la France réellement ?

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Nous reprenons la contribution d’un de nos lecteurs sur l’ancien Forum.


Prologue-Introduction

Nous n’en pouvons plus depuis plus d’un an de cette pandémie. Le premier confinement le 19 mars 2021 a coûté cher, très cher à l’économie de notre pays. Celui-ci s’est privé volontairement d’un médicament qui pouvait aider à enrayer la propagation du virus, j’ai nommé la chloroquine et l’hydroxychloroquine.

Le petit livre noir du Professeur Christian Perronne publié en juillet 2020 pose une question sur l’hydroxychloroquine, une question à laquelle personne n’a répondu clairement (page 152) :

« Le Président du HCSP, Franck Chauvin, professeur de santé publique et membre du Conseil Scientifique Covid-19 signe l’avis. Et dans cet avis, qu’est-ce qui est écrit ? Qu’il faut réserver l’hdroxychloroquine aux formes graves de la maladie. Devant le tollé suscité par ce texte chez les médecins et dans la population, le Pr Chauvin déclare quelques jours plus tard dans le Canard Enchaîné qu’il reconnaît que cet avis est absurde mais qu’il a subi des pressions pour le signer. Des pressions ? Lesquelles ? De qui ? On aurait aimé en savoir plus ! »

Le Professeur Christian Perronne a été sanctionné, il a été démis de ses fonctions au CHU de Garches. Il a récidivé avec un nouveau livre « Décidément, Ils n’ont toujours rien compris ! » (31 mars 2021). Nous citons le commentaire bibliographique :

« Sanctionné par le pouvoir, déchargé en 24 heures de son poste de chef de service, harcelé par ses critiques, Christian Perronne persiste et signe.

Mais dans ce nouveau livre accablant l’auteur va plus loin. Pourquoi ne peut-on plus débattre librement en France, notamment de tout ce qui touche à la santé publique ?

Comment expliquer la survie prolongée des incompétents qui font de la lutte contre la Covid-19 un spectacle tantôt pathétique, tantôt comique ? Certains ont disparu du paysage audio-visuel (nous ne les nommerons pas).

Pourquoi le ministre de la Santé, Olivier Véran change-t-il si souvent d’avis ? Jusqu’où va l’influence de Big Pharma sur son ministère ? … »

La question est posée, la réponse vient du livre écrit par un journaliste scientifique Xavier Bazin Big Pharma Démasqué ! : de la chloroquine aux vaccins, la crise du coronavirus révèle de face noire de notre système de santé (Guy Trédanel éditeur, 2021, 2e édition, 247 p., préface du Dr. Eric Ménat) . Nous avons déjà signalé ce livre en vous encourageant à l’acquérir et à le lire, en déclarant que nous n’avons aucun lien d’intérêt avec l’auteur et l’éditeur.

La chloroquine est-elle vraiment dangereuse ? Qu’en pensent les experts en France mais aussi à l’étranger ? D’où vient cette étude qualifiée de frauduleuse par de nombreux auteurs de frauduleuse et qui a motivé une grosse ânerie médico-scientifique ? La littérature scientifique que nous citons ne donne que la partie émergée de l’iceberg. Wikipedia donne des résultats controversés. Une mise au point est accessible qui examine cette controverse.

1. – La Lancet-Gate

L’affaire de la prestigieuse revue scientifique dénommée « The Lancet-Gate » met en cause le sérieux ce ce journal prestigieux qui était une référence dans le monde médico-scientifique. Le livre de Xavier Bazin lui consacre de nombreuses pages (pp. 33 à 42). Wikipédia dévoile le nom de la firme US qui a publié une étude le 22 mai 2020 : Surgisphere and Co. Nous citons Wikipedia :

« Le 22 mai 2020, une méta-analyse des données médicales anonymisées collationnées par l’entreprise américaine Surgisphere et publiée dans The Lancet arrive à la conclusion que l’utilisation de l’hydroxychloroquine [HCQ] est corrélée à un risque d’arythmie ventriculaire et à un plus grand danger de décès hospitalier que d’autres traitements. L’article est vivement critiqué et rétracté le 4 juin 2020, la société Surgisphere ayant refusé de communiquer les données brutes pour un audit indépendant […] ¨» [nous soulignons}..

Cette étude vivement critiquée a été rétractée par l’éditeur de la revue The Lancet. L’étude est qualifiée de frauduleuse par Xavier Bazin (p. 44). Néanmoins, elle a été à l’origine de la suspension par l’Agence Nationale du Médicament des essais cliniques sur l’hydroxychloroquine, j’ai nommé Discovery. Pourtant, Xavier Bazin l’affirme (p. 44) :

« Les responsables de Discovery eux-mêmes ont décidé le 17 juin [2020], d’arrêter l’étude sur l’hydroxychloroquine, au moment où elle signalait un effet postif contre la Covid-19. »

Ce sont des faits. Wikipedia confirme que l’une des causes de l’arrêt de Discovery serait le manque de disponibilité du Remdesivir ? Que veut-on démontrer ? Qui commande en France ? La manipulation de la grosse industrie pharmaceutique est elle réelle ? Une étude frauduleuse et bidonnée a eu des conséquences graves en matière de mortalité chez des patients à qui les médias continuent de claironner qu’il n’y a pas de traitement contre la Covid-19 !

2. – Les chiffres qui sont cachés

Le journaliste scientifique Xavier Bazin démontre de manière difficile à contredire que les chiffres concernant l’action bénéfique de l’hydroxychloroquine (HCQ) ont été bizarrement occultés par des tours de passe-passe statistiques et des jeux de mots sur les résultats. Tout a été fait pour occulter les effets bénéfiques sur les patients, dans les tous premiers moment de l’infection CoVid19 et dissimuler les effets délétères de l’antiviral RemDésivir de Gilead, anviviral difficilement disponible, aux effets délétères reconnus par l’OMS sur le foie et les reins des patients traités avec ce produit à 2.000 € l’unité de traitement. Alors que l’HCQ, vieille molécule, ne coûte que quelques centimes le comprimé disponible en masse et administré par comprimé voie orale. Le RemDesivir doit être administrè en milieu hospitalier par perfusion médicalisée.

Pourquoi deux poids et deux mesures ? Le géant pharmaceutique Gilead Sciences a-t-il soudoyé tous les acteurs médiatico-médical ? Contre un traitement ne rapportant plus de juteux revenus (HCQ) dont l’efficacité a été minorée voire niée ? Le Lancet-Gate est un évênement fâcheux qui n’a portant pas ébranlé la conviction de nos Hautes-Autorités sanitaires françaises et européennes. Gilead Sciences gouverne-t-il la France et l’Europe ? La lecture attentive des sites Internet qui sont cités par l’auteur journaliste scientifique Bazin constitue un acte d’accusation grave contre l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (pp. 51-81) et son homologue européen, l’Agence Européenne des Médicaments. M. Bazin n’est pas le seul journalise scierntifique à s’être interrogé sur les scandales suscités pat ce que la justice pourrait qualifier de délit de favoritisme ! La controverse sur les conflits d’intérêt de l’ANSM-AFFSP fait l’objet d’un paragraphe des plus intéressants !

Les casseroles que traîne l’AFFSP-ANSM portent le nom de Médiator, Depakine, Levothyrox, etc. Cette agence renommée ANSM en 2012 traîneraît un lourd passif de conflits d’intérêt de ses experts !

Il s’agit d’un domaine touchant à la Santé des Français ! Face à une “gripette” mortelle qui a ravagé des pays (Brésil : 470.000 morts !). C’est une maladie mortelle si on ne prend pas les mesures adéquates pour empêcher la propagation.

La question se pose de savoir qui exerce réellement le pouvoir dans notre pays, face à cette pandémie et aux débuts hésitants de la réponse sanitaire face à la maladie Pour faire le point, les sites Internet ne manquent pas et les livres publiés par des professeurs de médecine. Pour faire face à une invraisemblable multiplication de comités et de conseils divers. Pourquoi ce foisonnement apparent de nids à bureaucrates ? Nous allons essayer de répondre.

3. – La dilution des responsabilités

3.1. – Le sommet de l’état ou la base : la Présidence

On peut considérer l’organisation administrative de notre pays vue comme une pyramide ou un gigantesque mille-feuilles. A la base (ou au sommet, selon comme on se place) est le Président de la République, Monsieur Emmanuel Macron (énarque et banquier élu avec une incroyable abstention 25,4%). Il dispose d’un cabinet bien garni en collaborateurs, chargés de mission et d’un cabinet militaire.

3.2. – Le Gouvernement, les ministres et consorts

Le Premier Ministre apporte son concours (il dispose lui aussi d’un Cabinet bien fourni en collaborateurs) et contrôle ce que font ses ministres, en particulier le Ministre de la Santé (un médecin neurologue avec son cabinet ministèriel). Celà fait trois hommes et leurs collaborateurs (faites le compte !). Le socle est déjà bien garni, il faut lui ajouter les directions opérationnelles techniques :

  • DGOS ou direction générale de l’offre des soins,
  • DGCS ou direction générale de la cohésion sociale,
  • DSS ou direction de la sécurité sociale,
  • CNAMTS ou caisse nationale d’assurance maladie des travailleurs salariés,
  • les 18 ARS ou agences régionales de la santé (le Préfet y siège mais son pouvoir de décision est à démontrer),
  • ASPF ou agence santé publique France,
  • ANSM ou agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé,
  • HCSP ou haut-conseil de la santé publique,
  • ANM ou académie nationale de médecine,
  • CNE ou comité national d’éthique.

Ce qui nous fait treize administrations censées être dirigées par le Président via le Premier ministre et celui de la Santé. Vous pourrez faire le compte de “compétences” en place. Mais il faut encore une couche au mille-feuilles. Le Président (Jupiter tonnant) en rajoute une couche spécialement créée pour le CoVid-19 :

  • CS ou Conseil scientifique,
  • CARE ou comité analyse, recherche et expertise,
  • Comité vaccin Covid19,
  • Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale,
  • CCL-COVID ou Comité de Contrôle et de liaison Covid-19,
  • Comité vaccinal des citoyens (tirés au sort : les 35 alibis !),
  • Task-force vaccins (vous connaissez ?),
  • Conseil de défense,
  • Cellule interministèrielle de gestion de la Crise COVID,
  • CTV ou Comité technique des vaccinations de la Haute-Autorité de santé.

Le Professeur Perrone (Décidément ils n’ont rien compris.- Albin Michel, 2021) y rajoute un conseiller communication de la crise, une ancienne de chez ENGIE proche de Xavier Bertrand. Il est vrai qu’après la communication catastrophique de Madame N’DIAYE !

Le Professeur Perrone résume :

« … Un Président, 2 ministres, 13 conseils, agences ou organismes existants spécialistes de la santé. On en a mis 10 de plus, et une conseillère. Ca fait du monde … » (pp.99-100)

La question se pose de savoir s’ils travaillent ou s’ils s’agitent dans le désordre ? Des personnalités (un Général de l’Armée assisté d’une inspectrice de l’administration) font un rapport (demande par le Primat des ministres) conclut à un manque de cohésion dans la chaîne de commandement, chacun travaille dans son coin pour un résultat nul (résumé Perrone 2021, p. 100). La liste est accablante, nous dirions une agitation stérile et une dilution des responsabilité ! C’est pas moi, c’est l’autre ! Aucune coordination ! Nous renvoyons aux pages 99 à 105 pour décrire ce qu’un certain autre général aurait qualifié de chienlit !

3.3. – Et les consorts

Le livre du Professeur Perrone (2021) est féroce. Il y a les autres, les souterrains plus ou moins visibles : des USAsiens, conseillers et profiteurs en tous poils ! (pp.

  • Société Bain & Company, une USAsienne qui est censée piloter la France dans le dépistage du Corona-Virus (Marianne, 4 avril 2020),
  • Microsoft et Cie récupère l’hébergement de l’intégralité des données de santé des Français (pourquoi ? où est l’appel d’offres international ? avant la passation d’un marché public d’état !),
  • cabinet de conseil USAsien McKinsey & Company en matière de communication (a-t-on besoin de communication ou d’opérationnels dans nos hôpitaux ?).

Le Professeur Perrone souligne le caractère multi-conseillé du Président de la République. Au cas où ? La dilution de la responsabilité joue : c’est pas moi, c’est l’autre ! La paperasse fait tampon. Et tout ce monde suce la mamelle financièrement généreuse de La Princesse : dos large et mamelle généreuse ! Quoi qu’il en coûte ?

Et il y a la couche Europe du mille-feuilles ! Le Parquet européen dont on nous annonce aujourdh’ui la création (1/06/2021) va avoir du travail. L’Agence européenne des médicaments va devoir certainement rendre compte de son action et dénoncer les responsables du scandale du Remdesivir (Xavier Bazin 2021, pp. 71-84), un remède inefficace et dangereux. Celà n’a pas empêché l’Europe.d’en commander pour plusieurs millions de dollars (des €uros ici). A suivre !

4. – Réponse : qui gouverne ?

La réponse à la question sur « qui gouverne la France ? » Son gouvernement, bien sûr, son pouvoir exécutif incarné par son Président de la République, Monsieur Emmanuel MACRON. C’est lui le CHEF, le multiconseillé : un général chef d’état-major général l’a appris à ses dépens. C’est un super key opinion leader (un KOL) ! Dans le cas de la santé publique et de la pandémie. Comme tel, il a le droit à toutes les attentions de ceux qui cherchent à imposer LEUR façon de voir. Les manipulateurs et les manipulés, les ILS des deux titres du Professeur Perronne. Xavier Bazin, le journaliste scientifique (mai 2021) n’hésite pas, il dénonce dans son livre BIGPHARMA, c’est à dire un certain conglomérat d’intérêts financiers gigantesques qui domine l’industrie pharmaceutique, plus particulièrement démonté (Bas les masques …, pp. 187-221). Et là, apparaît clairement la confusion entretenue sciemment ou par ignorance entre la recherche scientifique et l’art de pratiquer la médecine.

4.1. – La recherche scientifique

La recherche scientifique est l’action menée par des scientifiques en vue de produire et de développer des connaissances. Cette recherche est plurielle, menée par des grands organismes institutionnels (CNRS, CEA, INRAE, INSERM, ….) et des Universités. Les domaines sont les sciences physiques, mathématiques, biologiques, humaines, médicales, environnementales, … La Science progresse par observations, déductions, expérimentations, appuyée selon les domaines sur de modestes feuilles de papier et des tableaux blancs (en mathématiques essentiellement) comme de grands équipements coûteux (CERN). Nous nous intéressons particulièrement, ici, au domaine de la recherche médicale. Cette recherche s’exerce sans expérimentations sur l’être humain, c’est strictement interdit ! Les observations sont faites dans les centres hospitaliers universitaires autour desquels gravitent des centres associant médecins praticiens, chercheurs fondamentalistes et personnels techniques d’appui (ingénieurs de recherche, d’études, techniciens de laboratoires, …). Les observations sur les patients en cours de traitements, les autopsies de patients décédés, les expérimentations animales, … sont les seules sources de données. Alors qu’en est-il de la mise au point des remèdes, les médicaments ? Ces derniers sont produits par l’industrie pharmaceutique laquelle investit des sommes considérables pour développer de nouvelles molécules qu’il faut bien pouvoir tester. Ce sont les essais cliniques :

« […] qui permettent d’évaluer de nouveaux traitements […] ou de nouvelles modalités de soins. En effet, avant de proposer de nouveaux traitements à tous les patients concernés, il est impératif de prouver que ces nouveaux traitements sont efficaces et bien tolérés. »

Là se place le nœud du problème : le contact entre l’exercice de la médecine, l’art de guérir des patients et la recherche médicale ou à vocation médicale.

Une maladie peut être mortelle, le médecin qu’il soit généraliste sur le terrain ou le grand professeur et chercheur, a le devoir impératif (serment d’Hippocrate) de guérir son patient avant toute chose et de tirer le meilleur parti des remèdes existants (molécules existantes et éprouvées) sans effets secondaires mettant en danger la vie de ce dernier.

La recherche scientifique médicale est menée surtout par des médecins, des professeurs de médecine surtout. Là se pratiquent des essais cliniques qui obéissent à des protocoles dont le but n’est pas de guérir mais de mettre au point de nouveaux remèdes. Le pouvoir de guérison se fait en comparaison avec des groupes de patients à qui on donne de l’eau claire, salée ou sucrée (placebo) : une substance sans pouvoir soignant et qui dans le cas d’une maladie mortelle peut entraîner la mort de tout ou partie du groupe placebo. Il y a là une contradiction absolue avec la mission de guérison, l’essais clinique est une expérimentation de substances sur l’être humain et en cas de maladie potentiellement mortelle, le placebo est une absence de soins !

4.2. – L’art de guérir les patients

Le médecin, celui qui traite des patients exerce son art en diagnostiquant son patient et en lui prescrivant un traitement. Il peu aussi estimer que l’état de son patient nécessite une hospitalisation plus ou moins lourde en confiant son patient à un centre hospitalier privé (clinique, …) ou public (CHU, …). L’art de guérir va de pair avec la liberté de prescription du médecin lequel a suivi plus de 7 ans d’études générales sanctionnées par un Doctorat en médecine. Je passe sur les années d’internat, sur l’externat, les spécialisations. Des années d’études dont le sommet est le Professorat en médecine et une carrière avec des responsabiltés en centres hospitalo-universitaires.

Il fut une époque assez récente où le médecin délivrait une ordonnance et où un Docteur en pharmacie composait le remêde, le médicament, dans son officine !, sa pharmacie. On est passé au développement de grands laboratoires développant des spécialités pharmaceutiques issues de la recherche bio-physico-chimique, brevetées pour 20 ans en vue de rapporter des revenus aux laboratoires et à leurs actionnaires. Là, le profit vient corrompre le processus vertueux pour faire de l’industrie pharmaceutique un producteur de juteux dividendes (des dizaines de milliards d’Euros ou de Dollars). Xavier Bazin (2021) affime (p. 193) qu’ils forment

« un cartel anti-concurrentiel par définition, qui opèrent de surcroît un marché dans un marché administré dans lequel les États autorisent les médicaments, fixent les prix et, dans la plupart des cas, en assurant le remboursement ».

On est loin des sources, le cartel des industries pharmaceutiques (10 groupes, 50% du marché mondial) a pris la main sur la santé publique, notre santé. Nous vous laissons le plaisir de découvrir comment ce cartel, Big-Pharma, a pris le pouvoir mondialement et dans notre pays en particulier qualifié de « très perméable à l’influence » (exemple cité par Xavier Bazin Mme Agnès Buzyn, ancienne Ministre de la Santé et médecin, prédécesseur de M. Olivier Véran, lui aussi médecin (neurologue).

4.3. – L’influence au plus haut niveau

Le journaliste scientifique Xavier Bazin dénonce dans son livre (p. 194) un certain dîner (référence à un article de Médiapart) le 8 juillet 2019 où le Chef de l’État, en compagnie de son Ministre Buzyn, invite plusieurs représentants de l’Industrie pharmaceutique. Xavier Bazin souligne que, coïncidence, le lendemain 9 juillet, Mme Buzyn annonce le déremboursement de l’homéopathie (notre infra p. 195). Quelle coïncidence fâcheuse ! Un de nos lecteurs a décortiqué pour nous l’article de M. Mérôme Jardin (MEDIAPART) et a découvert le site de l’APM-News qui annonçait pour le 8 juillet 2019 la réception offerte à Big Pharma le 8 juillet 2019 à l’Élysée (La pharma mondiale reçue …). On découvre qu’une autre réception a bien eu lieu le 9 juillet 2018 « Un dîner à l’Élysée » la veille de la réunion du CSIS le 10 juillet 2018. On se demande pourquoi ces réunions au sommet de l’État ? La coïncidence entre ces réunions et certaines décisions favorables à l’industrie pharmaceutique bio-chimique est troublante. Si Jupiter domine bien depuis son poste de Président de la République, lui et ses ministres semblent entendre des murmures provenant de Big-Pharma, du cartel anticoncurrentiel dont nous avons cité ci-dessus le rôle joué dans un marché administré, régulé, financé par notre Sécurité Sociale, la Princesse au dos large qui paie champagne, vins fins et mets raffinés offerts dans ces dîners entre hauts-personnages !

Big-Pharma a trouvé là un ancien banquier dont l’action en ce début de pandémie en octobre 2019 a failli amener notre pays à la catastrophe économique et sanitaire. Est-ce une coïncidence si on trouve sur le site de SANOFI un point sur la situation du Plaquenil et une mise en garde contre le Plaquenil associé à … (hydroxychloroquine et azithromycine). Gageons que le Professeur Didier Raoult saura réagir à cette attaque contre son traitement qui marche si bien contre la CoVid-19 !

observatoire phare

Le veilleur et lanceur d’alerte




BigPharma démaqué : le livre de Xavier Bazin

Gilet Jaune

Introduction

Info

Citoyens34 n’a aucun lien d’intérêt avec quelque auteur ou éditeur que ce soit. Nous avons un réseau d’observateurs qui nous alimentent via mail en observations qui sont soigneusement recoupées. Un de nos observateurs est Docteur en Sciences biologiques, il est un SACHANT. Il a l’esprit aiguisé.


Le livre de Xavier Bazin Big Pharma Démasqué ! : de la chloroquine aux vaccins, la crise du coronavirus révèle de lace noire de notre système de santé (Guy Trédanel éditeur, 2021, 2e édition, 247 p., préface du Dr. Eric Ménat), ce livre tant espéré (2e édition) est arrivé cet AM 11 mai 2021 dans ma boîte aux lettres et, de là, sur mon bureau. Confortablement installé dans mon fauteuil, je l’ai lu en diagonale d’abord puis en m’attardant sur certains passages soigneusement décortiqués. Je vous encourage à l’acquérir et en faire de même. Il n’y a rien de mieux que de se faire soi-même une idée.

Le journaliste scientifique Xavier Bazin s’appuie sur plus de 300 sources scientifiques citées en notes infrapaginales tout au long des 247 pages que nous vous recommandons avec insistance d’acheter et de lire. Nous nous contenterons de citer le résumé de la couverture arrières:

  • le dénigrement de l’hydroxychloroquine du Professeur Raoult ;
  • le silence sur la prévention et les remèdes naturels efficaces, comme la vitamine D [et le zinc, la vitamine C, …] ;
  • la focalisation sur le vaccin anti-Covid comme unique réponse à la crise [sanitaire}.

L’Industrie pharmaceutique (Big Pharma) est lourdement mise en cause avec quelques éminents professeurs et professeuses qui ont eu des liens d’intérêt avec les grands labos pharmaceutiques et ont bénéficié de libéralités diverses. Le premier mis en cause est Monsieur le Ministre de la Santé avec le LancetGate (l’étude frauduleuse publiée par le prestigieux journal médico-scientifique The Lancet). Le laboratoire Gilead (pp. 71-80 est nommément mis en accusation, preuves à l’appui d’avoir réalise un « hold-up […] avec son remdesivir à 2000 € » la boîte contre quelques euros pour l’hydroxychloroquine et son complément anti-infection secondaire l’azithromycine.

A la lecture du livre, la conclusion probable est qu’il y aurait, là, matière à poursuites pour motifs divers dont forfaiture, corruption, …, au minimum après réactivation d’une commission parlementaire et sénatoriale.

« En octobre, l’inefficacité du produit Remdesivir de Gilead est CERTAINE » écrit Xavier Bazin (p. 76) « mais l’Union Européenne en achète pour 1 milliard d’euros » (8 octobre 2020) : pourquoi ?. Un produit jugé toxique en plus d’être inefficace (toxicité sur le foie et les reins, p. 76, 3e alinéa).

Nous ajoutons une source Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? (Professeur Christian Perronne, Albin Michel, 2020, 208 p.). Le professeur ne se gène pas pour dénoncer les experts familiers des plateaux de télévision (pp. 91-98). Mme le Professeur Karine Lacombe est citée dans les deux ouvrages. Elle a été largement entendue sur les plateaux de télévision, combattant l’hydroxychloroquine et le Professeur Didier Raoult, défendant les produits Gilead (dont le remdesivir). Pourquoi ? Vous le saurez en lisant les ouvrages que nous citons. Mme Agné Buzyn, ancienne ministre de la Santé en prend aussi pour son grade (p. 93 et p. 107) dans la dépréciation de la chloroquine. Pourquoi ?

Pour 14,90 € et un centime de frais de port, vous en aurez pour votre argent, directement chez l’éditeur Guy Trédaniel. Curieusement, si vous vous adressez ailleurs, les délais de livraison sont incompréhensibles : plusieurs semaines ? INTROUVABLE dans les rayons pourtant abondamment pourvus des grandes surfaces. Pourqoi ?

Notre pays est lourdement endetté. Le quoi-qu’il en coûte de notre Président a lourdement endetté notre pays alors que peut-être la pandémie aurait pu être combattue autrement et plus efficacement. L’affirmation qu’il n’y avait pas de traitement contre le COVID19 avait-elle pour but de favoriser les multinationales pharmaceutiques avides de profit ? C’est un crime, « une manipulation à grande échelle qui a causé des milliers de mort et des ravages sanitaires et économiques. » (Bazin, p. 22).


extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

Un observatoire




La Chine est un pays qui s’arme et conquiert : menace


observatoire phare

Argos Panoptes

Nous observons, nous avons l’oeil !

Argos Panoptés

La Chine démasquée par le Canard Enchaîné

Le peuple chinois actuel est l’héritier d’une civilisation millénaire et respectable qui a laissé dans l’histoire de l’humanité une empreinte indélbile. A ce titre, il mérite bien notre respect. Il n’en va pas de même des dirigeants actuels qui, sous couvert du Parti Communiste Chinois (PCC) et de son secrétaire général, ont asservi ce peuple. Certains luttent, pot de terre contre pot de fer. Taïwan résiste ! Pouc combien de temps ?

Introduction

La Chine du PCC avance masquée vers une hégémonie mondiale : elle veut dominer le monde, elle nous a envoyé un virus, elle veut faire un “Grand bon en avant”, c’est une puissance militaire qui s’affiche, Xi Jinping a asservi son peuple et considère la France comme “terre de conquête”. Lisez le numéro spécial “Les dossiers du Canard Enchaîné” n° 157 d’octobre 2020.

Le dossier du Canard nous révêle, entre autres, comment la Chine a acheté à l’Ukraine, après la chute de l’empire soviétique, la coque d’un porte-avions (ex Varyag, cf p. 69), a mis deux ans pour l’acheminer en Chine où sa destination comme hôtel-casino flottant à Macao était bidon ! Sa véritable destination était un chantier naval chinois où l’attendaient moteur (machines dit-on en langage de marin), ses équipements électroniques (d’origine soviétique-russe), etc. achetés en sous-main par une société écran. Les plans aussi avaient voyagé par la route (huit camions). Il est devenu Le Liaoning. La Chine s’est offert un second porte-avions copié bien sûr sur le Varyag, le Shandong, entièrement construit en Chine ! D’une pierre, deux coups !

La Chine emploie un langage imagé, très poétique elle avance masquée. La main de fer dans un gant de velours est un adage qui s’applique bien. Le Président Xi Jinping (le Grand Satrape Oussequipeu) tient le pays sous une main de fer et son gant de velours ne cache plus rien. Le monde est à conquérir, le langage poétique ne cache plus rien sauf aux yeux des idiots utiles qui sont qualifiés de grands amis de la Chine ! La technique est celle de la diplomatie du loup que dénonce le Canard (il est bien renseigné). La première étape de cette tactique du masque est l’entrisme. Un de mes amis l’a vécue à la FAO et témoigne ci-après.

1 – L’entrisme chinois

1. 1 – Les institutions internationales

C’est l’article pages 14-15 qui a retenu notre attention.

1.1.1 – L’Organisation Mondiale de la Santé

La Chine n’est pas le seul pays à pratiquer cette tactique. On a vu à l’occasion de la crise du CoVid19 que l’organisation mondiale de la Santé (OMS, une agence de l’ONU) avait été dirigée par une chinoise puis par un ressortissant éthiopien tout acquis à la cause chinoise Tedros Adanon Ghebraesus, élu à ce poste grâce à l’amitié que lui porte le gouvernement chinois. Le Canard le traite de « marionnette chinoise ». Avant lui, Mme Margaret Chan avait dirigé (2 mandatures de 4 ans) l’OMS et fait reconnaître la médecine traditionnelle chinoise (bile d’ours et corne de bouc et de rhinocéros) par l’OMS en 2017. Cette médecine moyenâgeuse comporte aussi l’acupuncture, la diététique, le massage Tui Na, les exercices énergétiques, le tai-chi-chuan, … Il y a aussi les remèdes à base de chauve-souris (une bête malade aurait pu contaminer un consommateur de Wuhan et propager le SRAS-CoV2) en voulant soigner son asthme ou son affection rénale ! Ne riez pas ! « Ces savoirs ancestraux, jamais scientifiquement étudiés ni prouvés » n’ont fait que progresser, hélas ! comme l’emploi « des os de tigre contre les rhumatismes » ou autres écailles de pangolin pour réveiller les libidos décroissantes ! De telles calembredaines sont enseignées officiellement en France et ailleurs !

1.1.2. – L’Organisation des Nations Unies FAO

L’une des premières organisations à avoir été “entrée” (pénétrée) par la Chine est l’organisation des Nations-Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO). On a vu, en 1971, toute une équipe de traducteurs-imprimeurs chinois-chinoises débarquer et installer Via delle Terme di Caracalla (Rome) des machines à imprimer en alphabet mandarin près de la Grande Bibliothèque David Llublin où travaillait un de mes amis. Il était pratiquement impossible de s’approcher des locaux, les importuns étaient fermement priés, avec un grand sourire, de passer leur chemin. Les traducteurs exploitaient systématiquement les ouvrages et les imprimeurs imprimaient en mandarin les traductions sur de curieuses machines horizontales. Chaque soir, les personnels chinois partaient en autobus et revenaient de même le matin. Ils ne fréquentaient pas le restaurant d’entreprise de la FAO, leurs repas étaient amenés et pris sur place. Gageons que ces chinois n’ont pas eu le loisir de visiter Rome et l’Italie. Boulot-dodo-autobus !

1.1.3 – Les autres membres du système des agences des Nations Unies

La Chine a investi d’autres agences et organisations avant que la ficelle trop grosse entraîne des réactions hostiles de pays dont la clairvoyance ne se réveille. Quinze agences spécialisées de l’ONU ont été visées, quatre ont maintenant à leur tête des ressortissants chinois (OACI, FAO, ONUDI, UIT). Le Canard signale que sept chinois occupent des postes onusiens de directeurs adjoints !

De quoi faire taire toutes les critiques et influer gravement sur les décisions internationales !

2 – La main-mise sur des industries stratégiques

La désindustrialisation de certains pays a fait que des industries jugées peu rentables en occident car polluantes, ont été s’installer en Chine, notamment des industries chimiques.

2.1 – La grande pharmacie chinoise

La crise sanitaire résultant de la pandémie à CoViD19 a révélé la grande dépendance de l’Occident vis-a-vis de l’Asie et tout particulièrement de la Chine. Cette situation concerne les molécules de base de médicaments courants, les protections sanitaires (masques, gants, etc.), des respirateurs, etc. Les entreprises “Big-pharma”, plutôt que de maîtriser leur production d’un bout à l’autre de la chaîne, ont fragmenté et sous-traité leur production en Asie (Inde et Chine). Elles ont délocalisé et externalisé à tout va ! Comme la production d’antibiotiques (90% en Chine), de paracétamol (60%), d’ibuprofène (50%), etc.

2.2 – Les industries “vertes”

Panneaux solaires, batteries pour voitures, équipements de réseaux et télécommunications (routeurs, ordinateurs, 5G, etc.) sont produits en Chine. Nous sommes à merci de ce pays à qui ont été données des technologies de pointe jugées anodines.

2.3 – Le cas des réseaux téléphoniques

Les équipements et réseaux ne sont pas des industries vertes, leur production pollue, ce qui n’inquiète pas le Parti Communiste Chinois (le véritable maître de la Chine) dirigé par M. Xi Jinping. Tous les produits de la firme Apple sont produits en Chine qualifiée d’usine du monde. L’industriel Huawei a défrayé la chronique avec son smartphone. Il est producteur d’équipements de la technologie 5G qui est en train de s’installer insidieusement. Même la monnaie numérique est en train de devenir une technologie chinoise, un cheval de bataille contre les USA et le dollar !

Nous arrêterons là l’énumération des domaines stratégiques de la conquête chinoise du monde. Xi Jinping veut faire bénéficier le monde entier de sa “bienveillance” et nous asservir.

Le PAV Liaoning ex Varyag


extrait bandeau IHEDN site institut

Un membre de l’ASAF

Association de soutien à l'Armée Française




Le Président de la République visite la Recherche

Monsieur Emmanuel Macron, chef de l’État, Président de la République,  a décidé de prendre le pouls de nos malades, pas les patients atteints du SARS-CoV-2 (COVID-19) mais les professeurs qui se tapent dessus à coup de remdesivir, lopinavir, et autres ritonavir, oubliant toute dignité. Il a visité le centre hospitalier du Kremlin-Bicètre, ce matin 9 avril 2020 et cet AM l’IHU de Marseille. Il a voulu ainsi marquer l’intérêt qu’il porte aux traitements en cours. Celui à la chloroquine semble marcher ! Tant mieux pour les malades !

Assez de guerres pichrocolines !


Nous ne résistons pas au plaisir de vous faire découvrir le savoureux dessin publié hier 8 avril par nos amis de La Mouette

L’Agglorieuse du 8 avril 2020
(toute ressemblance avec une personne existante serait le fruit du hasard)