Revoir les salaires des hauts-fonctionnaires à la baisse

Le rêve (illustration Wikipedia)

Il faut bien rêver un peu

Un scoop ! Un rêve ? Nos oligarques d’état concernés ?

Le salaire des hauts-fonctionnaires revu à la baisse ! ? Rassurez vous citoyens-contribuables de France et de Navarre, c’est une info qui date du 10 décembre 2009 et qui concernait la Grande-Bretagne (l’Angleterre et consorts).

J’ai fait un rêve, celui où nos oligarques super-rémunérés (ceux qui gagnent plus que notre Président de la République) voyaient leurs luxueux placards dorés perdre une partie de leurs dorures. Au fait, dans quelle tranche d’imposition figurent ces oligarques d’état ? Combien paient-ils sur la manne en fonds publics (vos impôts) ? A quoi servent les « comités théodule » qui servent de moelleux divans de siestes à certains ? A quoi sert un Directeur de la Banque de France alors que cette banque n’a plus aucun pouvoir pour gérer l’euro ?

Cette information venait de la célèbre association de contribuables « Contribuables Associés ». Cliquez sur ce lien.

Le rouspéteur de service
Astérix le Gaulois


Un citoyen très en colère !
respectueux des lois républicaines




La résilience citoyenne

Introduction

La pandémie qui a frappé notre pays, les catastrophes naturelles de plus en plus fréquentes (inondations, tornades, tempêtes, …) nous confrontent chaque jour au problème de la résilience des citoyens. Qu’est donc cette qualité qui nous permet de nous relever, de reconstruire, de repartir ? Comment des institutions républicaines nous permettent de faire face ?

En physique des métaux, la résilience est la qualité qui caractérise la capacité d’un métal à reprendre sa forme, à la suite d’une déformation. En psychologie, c’est la capacité à surmonter les chocs traumatiques. Dans les deux domaines, il s’agit d’une qualité, celle de résister à un choc. Nous nous intéresserons au domaine de la psychologie et particulièrement à celui des masses, la masse des citoyens qui peuple notre pays. Je me suis inspiré ici de l’article de M. Alexandre MALAFAYE en collaboration avec Brice de GLIAME (trimestriel « Engagement » de l’ASAF, n° 121 décembre 2018, pp. 31 à 33). Cet article méritait quelques compléments de ma part (AA-IHEDN, 1985) et extraits remaniés de l’ouvrage « 99 questions sur … la Défense » (Ouvrage collectif sous la direction de Paul-Henri GARCIA.- SCEREF-CRDP Languedoc-Roussillon, 2004, 232 p.).

1 – Les domaines d’application

En psychologie, la résilience s’applique à des être humains (individus ou groupes), à la collectivité nationale, au couple, à la famille, etc.

1.1 – Cas de l’individu ou du groupe

Le cas de l’individu ou du groupe met en question la capacité de faire face à « l’effet de sidération » qui suit un choc à revenir à sont état normal en dépit d’évênements douloureux ou violents tels, par exemple, un attentat terroriste faisant des victimes.

1.2 – Cas d’une nation (collectivité nationale)

Le cas d’une nation s’apprécie au moment de crises, de catastrophes naturelles, d’accident majeur, de guerres et d’attaques terroristes, etc. Pris dans son sen le plus positif, le terme évoque l’aptitude à se redresser, à se relever collectivement sans avoir remis en cause ses valeurs et ses principes fondamentaux lesquels structurent la nation.

Ici se place le cas de ce qui se passe après un attentat terroriste de grande ampleur comme ceux du 13 novembre 2015 (Saint-Denis, 10e et 11e arrondissements, Bataclan). La réaction des Français a été qualifiée de résiliente pour diverses raisons :

en raison du sursaut qui a suivi,

parce-que les actes n’ont pas dressé les Français les uns contre les autres et à provoquer une guerre civile.

Il convient de souligner que la résilience d’une société ne saurait reposer sur la seule capacité de chaque citoyen à faire face à l’adversité.

1.2.1 – La construction de la résilience d’une nation

La construction de la résilience d’une nation s’articule autour de quatre axes :

  • le cadre légal, celui de l’État de droit qui permet d’affronter les crises graves,
  • le projet de société qui fédère des citoyens et forge le sentiment d’appartenance avec le désir de faire front ensemble,
  • l’affichage des symboles et des valeurs communs,
  • la confiance des citoyens envers ses représentants.

La résilience, comme la sécurité, ne se décrète pas, elle relève d’une démarche volontaire.

1.2.2 – Résilience acquise ou innée ?

La résilience n’est pas innée, c’est un trait de caractère qui se construit, se développe et se renforce. Pourtant, on pourrait croire le contraire ? Il ne faut pas confondre l’esprit belliqueux, guerrier, velléitaire de certains peuples avec l’esprit de défense. En France, de nos jours, la résilience est le fruit d’une patiente construction sociale, inscrite dans le temps long. Elle remonterait à la révolution de 1789 et aux soldats de l’an II ?

1.2.3 – Les institutions qui développent la résilience

De tout temps et en tous lieux, il y a eu des nations avec une longue tradition de servage, d’esclavage sous la férule de tyrans. La plupart de ces nations se sont soulevées, libérées, dotées d’institutions démocratiques. La France l’a démontré avec ses soldats-citoyens qui sont partis en 1914 se battre contre l’envahisseur allemand (prusso-austro-bavarois). La France est une nation qui prétend se défendre et non attaquer. Si la seconde guerre mondiale a connu un fléchissement national qui a conduit à un armistice funeste, la résistance à l’envahisseur a fini par unir un peuple qui a gagné sa victoire avec l’aide de ses colonies, des résistants, des soldats refusant l’abaissement et des alliés qui leur ont fourni des armes. La nation en armes !

Des institutions existent de nos jours qui vont permettre au citoyen de s’impliquer dans sa propre sécurité, en développant l’esprit de défense.

2 – L’esprit de défense

Le grand mot est lancé : l’esprit de défense ! Le constat est fait que les ressources de l’État ne peuvent pas tout faire devant la diversité des menaces et leur inscription dans un temps long. Il faut un changement de posture : le citoyen peut et doit s’investir, (nous citons) « s’impliquer dans sa propre sécurité », sans haine ni désordre, quand le mal est là, quand un évènement tragique survient.

2.1 – Indifférence ou résilience

Il ne faut pas céder à la facilité consistant à confondre l’indifférence ou la facilité avec la résilience. Cette dernière qualité, nous l’avons dit, (nous citons) « suppose une démarche volontaire ». Le citoyen participe à la défense de son pays. L’indifférence peut conduire au pacifisme et à l’esclavage. La défense conduit à la résilience.

Mais comment définit-on la défense ?

2.2 – La défense

Tout organisme vivant (plante, animal, être humain) développe des mécanismes visant à répondre à une menace ou une agression. Ce mécanisme est la défense. Nos sociétés se défendent et il n’existe pas d’état qui ne possède une armée et des forces de sécurité pour se défendre.

En France, la défense est nationale, globale, armée. Elle est centralisée et, depuis la suspension du service national, elle est confiée à des professionnels, ce qui tend à démotiver, sauf exceptions, les citoyens qui deviennent passifs.

2.3 – L’esprit de défense au service de la résilience nationale

Le constat a été fait que la centralisation de la gestion centralisée de la sécurité a éloigné le citoyen des problématiques de sécurité au quotidien. La France a un gros retard à rattraper en la matière mais dispose d’atouts. La France n’en est, cependant; qu’aux balbutiements.

2.2.1 – L’IHEDN

L’Institut des Hautes Études de la Défense Nationales (IHEDN), un établissement public admnstratif (EPA) forme des citoyens de la société civile, des fonctionnaires de haut-niveau et des militaires, ensemble, à l’esprit de défense. L’objectif n’est pas de former des tireurs à l’arme à feu mais d’aviser, de préparer les citoyens dans une perspective de résilience. Il les prépare à mieux affronter l’adversité dans une perspective de résilience individuelle et collective. Un des axes de son action est dirigée vers notre jeunesse par le canal de ses professeurs : j’ai nommé les Trinômes Académiques, Armée, Éducation Nationale, IHEDN. Ce réseau apporte une contribution utile, en particulier aux réserves citoyennes.

2.3.2 – Les réserves citoyennes

Depuis la « mise en sommeil » du service militaire obligatoire et l’institution d’une armée de métier, le problème se pose de manière aigüe des réservistes notamment dans des armes de spécialistes ou de nouveaux théâtres d’opérations comme le cyber-monde et la cyber-sécurité. Des places existent au sein des armées, des forces de sécurité (gendarmerie, police, douanes) pour accueillir pour des périodes plus ou moins longues, des citoyens volontaires de tous âges. Ce sont les réserves citoyennes. Cette mobilisation des citoyens a été montrée après les attentats de 2015.

La réserve citoyenne de défense et de sécurité est composée de volontaires agréés par les autorités militaires pour contribuer au renforcement du lien entre les armées et la société civile. Si vous souhaitez en faire partie, vous devez remplir certaines conditions, notamment d’âge et de nationalité. La participation à la réserve citoyenne n’ouvre pas droit à rémunération ou indemnisation. Il existe une réserve citoyenne dans chaque arme.

2.3.3 – La garde nationale

Actuellement « La Garde nationale, ce sont des femmes et des hommes volontaires qui décident, en parallèle de leur vie civile, de s’engager dans la réserve opérationnelle au service de la protection des Français ». C’est ainsi que définit le site consacré à cette nouvelle formation.

3 – Les exemples étrangers

Deux pays sont exemplaires en matière d’engagement citoyen, l’un a une vielle tradition, j’ai nommé la Suisse (Confédération Hélvétique), l’autre une tradition plus récente, le Sénégal.

3.1 – La Suisse

La Confédération hélvétique (nous abrègerons en Suisse) dispose d’une armée de milice[1]. C’est une armée où les civils sont formés pour participer à des missions militaires en complément de leurs formations professionnelles. Il s’agit d’un type d’armée principalement utilisé en Suisse. C’est un système d’organisation couramment pratiqué dans la vie publique de ce pays, elle tient sa forme d’une idée républicaine selon laquelle un citoyen a les capacités d’assumer des charges et des tâches publiques à titre extra-professionnel et bénévole. C’est une expression empruntée au vocabulaire militaire (du latin militia, service militaire) dont l’origine remonte à la démocratie athénienne et au début de la république romaine ; depuis l’antiquité la notion de milice comprenait l’exercice de charges civiles.

L’Armée suisse est encadrée par des militaires professionnels. Elle est équipée de systèmes d’armement et d’équipements modernes, sophistiqués et bien entretenus, elle a pour mission d’assurer la défense du territoire suisse, la sauvegarde des conditions d’existence de la Suisse et de contribuer à la promotion de la paix à l’étranger. De par sa politique de neutralité, la Suisse s’efforce de maintenir une défense aussi autonome que possible, bien que le rapport de politique de sécurité 2000, intitulé Sécurité par la coopération ait ouvert la voie à une coopération accrue avec l’étranger, notamment en matière de participation à des exercices communs. Sa devise est Sécurité et liberté. Les réservistes suisses sont régulièrement appelés à des périodes militaires. Ceux qui résident à l’étranger sont tenus à payer un impôt spécifique s’ils ne peuvent répondre à leur devoir militaire.

La doctrine militaire s’articule dans le cadre d’une coopération plus ou moins explicite avec les pays limitrophes, doctrine du pas de vide militaire qui vise à éviter que la Suisse ne devienne le ventre mou d’une Europe soumise à une invasion massive. Toutefois les menaces militaires ont changé, notamment avec la chute de l’Union des républiques socialistes soviétiques (URSS), ce qui a forcé l’Armée suisse à effectuer une série de réformes, telles que la décision, prise en mai 2011 de mettre hors service les batteries Bison et les pièces d’artillerie de forteresse.

L’Armée suisse est classée 39e armée selon la liste des armées nationales par effectif.

3.2 – Le Sénégal

Le Sénégal est un pays de l’Afrique de l’Ouest bordé par l’océan Atlantique à l’Ouest et par la Mauritanie au nord, le Mali à l’est et la Guinée-Bissau au sud.

Ce pays a développé un réseau opérationnel national d’assistants à la citoyenneté de proximité, l’ASP. Ce réseau est composé de 10.000 volontaires, des citoyens acteurs de la sécurité. La présence de ces acteurs a permis de diminuer la délinquance et facilite la remontée d’informations utiles, notamment face à la montée de l’islamisme radical.

En conclusion

Le chemin à parcourir dans notre pays, en France, est long à parcourir avant d’atteindre un niveau de résilience optimal. A côté des réticences d’ordre politiques (mauvaise expériences passées avec l’engagement citoyen assimilé à la délation), la méfiance des militaires à l’égard des « galons en zinc », il y a le manque de motivation des intéressés, les citoyens. Il y a pourtant urgence pour amener la résilience à son meilleur niveau. Le chemin passe par l’école de la République dans ses niveaux (primaire, secondaire et supérieur) et le pouvoir politique a le devoir impératif de favoriser, sans tarder, l’engagement des citoyens. Serions nous moins intelligents que les Suisses ou les Sénégalais ?


Un Auditeur IHEDN 1985

[1] La Milice française, souvent appelée simplement Milice, était une organisation politique et paramilitaire française créée le 30 janvier 1943 par le gouvernement de Vichy pour lutter contre la Résistance, qualifiée de terroriste. C’était une police supplétive de la Gestapo allemande.




Le salafisme vs la république

Problèmatique

Le salafisme, selon divers auteurs islamologues, est une doctrine de musulmans regroupés en communautés, en apparence inoffensives. De nombreuses échoppes communautaires fleurissent.

Elles offrent la possibilité de se vêtir en vêtements islamiques autant qu’en produits de beauté orientaux et en livres saints (Selon Mohamed SIFAOUI : Le salafisme en 10 questions, 07/11/2009 – dont nous nous sommes largement inspirés).

1 – Qu’est-ce que le salafisme ?

Le terme salafisme puise sa racine dans le mot arabe salaf qui signifie « les prédécesseurs ». On parle aussi d’essalaf essalah ou de « pieux prédécesseurs », désignant ainsi les tout premiers compagnons du prophète Muhammad (Mahomet). De nos jours, les salafistes les veulent pour exemple, appelant à un retour à un « islam des origines », celui du VIIe Siècle. Ils veulent un islam expurgé de la bidaâ ou des « innovations blamâbles » (boko haram). De leur point de vue, ces innovations pervertissent l’islam. C’est un rejet absolu de toutes les idées humanistes, des principes philosophiques tels la démocratie ou la laïcité. C’est l’école fondée par l’imam Ahmed ibn Hambal (780-855) au IXe siècle, le hanbalisme, qui a forgé les racines de l’idéologie salafiste. Les deux disciples de cette doctrine, l’imam ibn Tamiya(1263-1328) et Mohamed ibn Abdelwahab (1703-1792), en deviendron ensuite les deux références idéologiques. Abdelwahab fondera le wahabisme dont l’idéologie rigoriste fondera la monarchie saoudienne qui règne en Arabie Saoudite, entre autres émirats arabes.

De là, sont partis des « missionnaires salafistes » formés en Egypte (Université Al-Ahzar) dopés au XXe siècle par les pétrodollars. Les wahabites prônent et appliquent la « charia ». Ce salafisme s’est propagé dans le monde.

Au XXe siècle, la pensée se politise en Egypte avec les Frères musulmans (1928, Hassan el Bannah 1906-1949). On les désigne parfois « salafistes en costard-cravate » par opposition aux « salafistes en barbe et khamiss » (ou en djellaba). Ces gens veulent se retirer de notre monde pour vivre leur islam historique mai ces nostalgiques en veulent aux croisés et à ceux qui les ont chassé d’Al-Andalus (Grenade, Espagne p.e.).

Le passage vers le jihad se fait lorsque les tenants se sentent en force et recherchent la confronation que prônent les versets du Coran issus de la période de Médine et qui abrogent les versets mecquois. Récemment, Al-Quaeda et DAECH ont illustrè sans conteste la mise en oeuvre d’actions mortifères !

2 – Que veulent les salafistes ?

Cette minorité du monde musulman est active (et belliqueuse, sous le couvert de la taquiya, la visière ou apparence piétiste calme). Ils font tout pour occuper le devant de la scène avec leurs activistes militanrts effrénés et autres idéologues. La pensée salafiste occupe un grand nombre de mosquées et des publications littéraires. Il cherchent à convertir, appelant au communautarisme avec une idéologie où le politique et le religieux sont indissociables (source coranique, VIIe siècle).

Ils veulent le monde, tout le monde, le monde entier (voir les écrits de Sayyid Abu A’la Maududi, pakistanais : 1903-1979). Les Frères musulmans souhaitent ériger un groupe de pression à même de peser sur les débats nationaux et internationaux. Ils visent à faire naître un « vote musulman ». Tous les moyens sont bons même séduire nos jeunes filles éblouies, naïves, les « niqabiser », les engrosser au besoin!

3 – Combien sont-ils en France

Il est difficile de connaître avec exactitude le nombre de ces « fous de dieu » présents en France (et en Europe). Selon une estimation, 5% des 5 millions de musulmans de France sont des pratiquants réguliers fréquentant le 1.900 mosquées et salles de prière avec assiduité. Les salafistes représentent une forte minorité de ces pratiquants mais donnant l’impression d’être majoritaires par leur excitation militante, leur activisme : ils font beaucoup de « mousse ».

L’UOIF serait la filiale française des Frères musulmans, les rencontres annuelles du Bourget et le vote de la loi contre les signes religieux ostentatoires ont montré ces accoutrements vestimentaires qui donnent une idée du poids réel de ces idéologues « pacifiques ».

Il existerait une cinquantaine de mosquées ou de lieux de prière tenus par ces partisans du wahhabisme saoudien et de la pensée salafiste prosélyte.

Les mosquées salafistes wahhabites sont souvent implantées au cœur des cités populaires (en région parisienne Sartrouville, Argenteuil, Gennevilliers, etc.) ou dans d’autres grandes villes (Lille, Strasbourg, Marseille, Besançon, etc.) ainsi que dans Paris-intra-muros (Barbés, Belleville, etc.).

4 – Qui finance la propagation

Outre l’État saoudien (au travers de la ligue islamique mondiale : LIM) a longtemps financé cette idéologie conforme à son wahhabisme. D’autres états mécènes du golfe persique (Emirats) accordent aussi quelques millions de dollars pour faire rayonner le « vrai islam » (le salafisme). En France, des mosquées ont été construites avec des financements provenant de ces monarchies (théocraties) et de la LIM : Evry, Mantes la Jolie, etc. Les universités saoudiennes (Riyad, La Mecque, Médine et autres) forment des milliers d’étudiants saoudiens ou étrangers (islamiques). Ces « missionnaires » sont aussi formés au Pakistan (Karachi, etc.). Cette dernière enseigne de « déobandisme », version indo-pakistanaise du salafisme (Abu-A’la Maududi est un des précurseurs). Cette idéologie a formé les fameux « talibans ».

Les Frères Musulmans ont eux aussi bénéficié de l’aide des Saoudiens notamment pour l’ouverture du Centre Islamique de genève (fondé par Saïd Ramadan, le père de Tariq et gendre de l’égyptien Hasan el-Banna).

Quand l’UOIF est créé au début des années 60 (par des islamistes tunisiens et l’activiste libanais Fayçal Mawlawi), il y aura de nombreux soutiens émanant des émirats Arabes Unis. Le financement (entre 30 et 80%) passe par des fondations privées de personnalités arabes.

Mais il y a l’autofinancement. Les diverses mosquées de disputent le produit de la redevance de certification halal sur les viandes et produits alimentaires divers, un commerce communautaire que les salafistes ne cessent de promouvoir et de contrôler. Il est très lucratif !

5 – Quels sont les idéologues

A côté des idéologues du VIIe siècle, il y a les contemporains et notamment les Égyptiens issus de la mouvance des Frères musulmans. Citons Sayyid Qutb (1906-1966) ou Youssouf al-Qardawi (le théoricien des attentats suicides et de l’instauration de la loi divine ou charia (sharia, etc). Citons Tariq Ramadan qui se laisse complaisamment traiter de théologien alors qu’il est en rélaité un idéologue sournois de la pensée salafiste des Frères Musulmans (il est le petit fils du fondateur auquel il voue une admiration sans bornes). Bien qu’il n’hésite pas à fustiger le wahhabisme (une attitude d’opportunité visant à tromper son auditoire), il n’est ni un progessiste ni un réformateur. La pensée des Frères musulmans entre ses mains (et d’autres) est un instrument de lutte politico-religieuse (dans le droit fil de l’islam originel) destiné à propager un salafimes costard-cavate plus « doux ». Il utilise les codes de langage et d’écriture occidentaux pour abuser son auditoire et adapter son discours aux opinions publiques européennes ainis abusées, trompées. Les médias ont été longtemps dupes.

D’autres « penseurs », des saoudiens principalement, ont assuré le « rayonnement » du salafisme wahhabite. Citons le cheikh Ibn Baz (1909-1999), précheur d’un islam pur et dur (celui des versets du Coran dits de Médine ? !), Salim bin Fawzan al-Fawzan (très apprècié des salafistes occidentaux : il recommande à ses adeptes de ne pas « ressembles aux mécréants (koufars) dans ce qui leur est spécifique »). Fawzan est de ceux qui incitent les femmes à se « burquiniser » (se voiler intégralement, refusant le voile classique). Citons aussi le cheik Mohamed ibn Saleh al-Otheimine (il interdit aux musulmans de « féliciter les mécréant juifs et chrétiens notamment durant leurs fêtes religieuses ». Citons enfin le cheikh Nacereddine al-Albani (1914-1999), idéologue albano-syrien qui a produit une floraison de fatwas (édits religieux) tout aussi intégristes les unes que les autres prohibant l’usage des médias (radio et télévision) !

6 – Quels sont les relais médiatiques ?

Bien que certains idéologues interdisant les médias (notamment la télévision), d’autres appellent à ce que l’utilisation de ces médias soit exclusivement réservé à la propagation de l’islam (émission La voix de l’Islam, France 2 dimanche matin !). Les chaînes satellitaires arabes accordent une large place à ces salafistes préchant « la bonne parole », dans de multiples directions (Occident comme Orient) avec une certaine surenchère.

A quand la surveillance par nos policiers et nos services de renseignement de ces officines ?


Un Auditeur IHEDN 1985




Indamissible : pas d’impunité

Une gilet jaune

Il faut sévir, la justice doit passer

Info

Paris à feu et à sang, l’Arc-de-Triomphe souillé par des tags : INADMISSIBLE ! Un gendarme qui subit un commencement de lynchage : INADMISSIBLE ! Des immeubles, des résidences privées, des magasins saccagés et pillés : INADMISSIBLE ! Une arme dangereuse volée : INADMISSIBLE !

Les casseurs arrêtés, plus de 400 ! devront rendre des comptes : la justice doit passer, sans faiblesse !

J’ai été spolié d’une partie de ma retraite, la réduction d’un tiers de la taxe d’habitation ne compense pas ! Trop de taxes, trop de pression fiscale : dépensocrates, ça suffit. Des baisses d’mpôts seront les bienvenues, compensées par des baisse de dépenses publiques.

Gouverner, c’est prévoir ! Dépensocrates imprévoyants ! Prévoyez ! Ou partez !


extrait bandeau IHEDN site institut

Un membre de l’ASAF

Association de soutien à l'Armée Française




Monsieur Darmanin : un écolo-économiste ?


observatoire phare

Argos Panoptes

Nous observons, nous avons l’oeil !

Argos Panoptés

Ministère des Finances Paris

Nous écoutons

Info

Ce matin 16/11/2018 Monsieur Gérald DARMANIN (il n’y a pas de particule « de ») se déclare au micro de Jean-Jacques BOURDIN un furieux militant écologiste et un brillant économiste. 34 M€ de taxes, 34 M€ de budget affectés à l’écologie ! Il dément que seule une part de la taxe aille à l’Ecologie. 34 = 34 !

Les finances de la France sont plombées par l’endettement ! La dette de la France réjouit les « phynanciers » qui ont prêté de l’argent à la France. Ces gens là n’ont pas intérêt à perdre leur source de revenus.

La baisse des impôts est-elle réelle ou est-elle une fiction ? Pour ma part, j’ai eu une baisse (une diminution partielle) de ma taxe d’habitation qui ne compense pas le coup de rabot sur ma retraite ! Pas de quoi encenser Monsieur DARMANIN !

Qu’en pensez-vous ? Vous pouvez comme moi écrire une nouvelle ou un billet sur le blog ou une contribution sur ce forum. Votre texte sera validé par le webmestre si vous respectez la charte de bonne conduite sur Internet.

Gaulois râleur en colère.


extrait bandeau IHEDN site institut

Un citoyen très en colère !
respectueux des lois républicaines

Ici on s'honore du titre de Citoyen




Bataclan : 3 ans après

Nous ne voulons pas de ça chez nous !

Pas de DAECH

Nous nous souvenons

Introduction

Le 13 novembre 2015, des attentats abjects frappaient durement notre pays et Paris, sa capitale. Ces attentats commandités par DAE’CH-EI, exécutés par des fous illuminés gorgés de propagande islamiste, faisaient 129 morts et 354 blessés.

Souvenons nous pour que pareilles atrocités ne reviennent plus dans notre pays. Ceux qui gouvernaient la France en 2015 portent une lourde responsabilité, ainsi que leurs prédécesseurs dans une moindre proportion. Tout le monde a été pris au dépourvu à l’exception de quelques connaisseurs qui dénonçaient le naïveté des gouvernants incapables de prévoir (gouverner c’est prévoir !) ce qui allait se passer !

Depuis l’Etat Islamique en Irak et au Levant a été durement secoué mais occupe encore quelques bastions. Avec la nomination d’un Coordonnateur national du Renseignement au plus haut niveau de l’état, la France s’est dotée des moyens de prévention.

La prévention est indispensable pour assurer à tous les citoyens la sécurité à laquelle ils ont droit, dans le respect de toutes les religions qui respectent nos lois républicaines. Force doit rester à la loi.

 


extrait bandeau IHEDN site institut

Un membre de l’ASAF

Association de soutien à l'Armée Française




Nous soutenons les forces de sécurité


Logo Gendarmerie Nationale


Logo Police Nationale

Soutien aux forces de l’Ordre

Information

Une femme gardien de la paix s’est suicidée. Nous soutenons, comme citoyens, l’ensemble des forces de police-gendarmerie-armée dans leur lutte pour nous garantir une vie en sécurité pour nos conjoints, nos enfants et petits-enfants, amis, parents, etc.

Le malaise de la police-gendarmerie vient du laxisme avec lequel nos lois sont appliquée. Les délinquants sont élargis trop facilement, les pôvres !

Nous nous inclinons avec respect devant ceux qui tombent ou qui sont acculés à mettre fin à leurs jours. La Nation doit soutenir et protéger ses défenseurs !

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Un volontaire de la Réserve Citoyenne de  la Gendarmerie Nationale

Logo IHEDN




Des violences ayant entraîné la mort


observatoire phare

Argos Panoptes

Nous observons, nous avons l’oeil !

Argos Panoptés
Le Carnyx

Nous observons

A Pont-de-Beauvoisin le 17 novembre à 8h00, un manque de dialogue a provoqué la mort d’une retraitée manifestante. Une conductrice qui conduisait son enfant malade chez le médecin s’est affolée quand des manifestants lui ont refusé le passage de son gros véhicule et se sont mis à cogner sur sa voiture. Affolée, la conductrice a foncé et renversé une retraitée âgée d’une soixantaine d’années, la tuant !

Nous ne saurions accepter ni cautionner quelque violence que ce soit, notamment le fait de taper sur une voiture, je dirais taper bêtement ! Les responsables de ces actes ont provoqué la panique de la mère de famille : ils ont refusé le dialogue, ils portent une lourde responsabilité. Cela ne saurait aussi exonérer de responsabilité ceux qui nous matraquent fiscalement en taxant nos retraites ! La réduction d’un tiers de la taxe d’habitation est loin de compenser le coup de rabot ! Il s’y ajoute des taxes avec alibi écologique dont on ne sait toujours pas où va l’argent : nous ne sommes pas sûr que cet argent aille bien à la lutte contre les changements climatiques.

Les Français ont besoin de leurs voitures et les mesurettes proposées ne compenseront jamais l’absence de plan concerté pour des transports en réseau bien concerté.

Gaulois, sonnons la trompe, le carnyx ! Sans violences !


Les Carnyx au combat

Contribuables de l'Hérault

Signature du Citoyen-Contribuable 34

Ici on s'honore du titre de Citoyen




Des bébés humains malformés

Introduction

Logo Ministère santé publique

Un de mes amis est Docteur en sciences biologiques, écologue et écologiste. Appelons le Astérix ! Un de ses amis et conseiller est Docteur en pharmacie industrielle et écotoxicologue. Appelons le Panoramix (le druide). Je leur donne ci-après la parole et sur ce site, leur lutte est citoyenne. Ce sont des Gaulois indisciplinés, insoumis, contestataires, désintéressés, des citoyens français vigilants et fiers de leur civisme. Ces enfants nés malformés ont été pourtant désirés, ils sont aimés et les parents ne s’attendaient pas à les voir ainsi. On leur avait dit que c’était une « fatalité ». Quelque chose s’est produit au cours des premiers jours de la grossesse de leur maman. Quoi ? Voyez cet article.

Il a fallu l’intervention de la Ministre de la Santé Agnés BUZYN sur les médias (RMC-BFMTV et autres) pour que l’Agence Sanitaire Santé Publique France (logo de cet article) descende de de son piédestal et cesse sont discours “y’a rien à voir, circulez”. Le licenciement de la Directrice et du personnel ainsi que la fermeture du registre « REMERA » étaient en cours au prétexte d’un manque de rigueur ! Mme Delphine BATHO, ancienne Ministre de l’Environnement déclare ce jour 2 novembre 2018 sur RMC “Je demande que l’inspection générale des affaires sociales soit saisie.” Oui, nous le demandons avec elle, appuyés sur ce qui suit. Ceux qui ont voulu “étouffer” cette affaire doivent payer.

« En Loire-Atlantique, en Bretagne et en Rhône-Alpes (Ain, village de Druillat), des bébés sont nés avec des anomalies : sans mains ou sans bras. Ils sont malformés. Les questions qui se posent, s’agissant d’êtres humains, sont : pourquoi, comment ! Trois départements en France sont concernés. Une enquête a mis à jour ce qui pourrait devenir un scandale sanitaire. L’agence sanitaire « Santé Publique France », déclare  « aucune cause y compris environnementale n’a pu être mise en évidence ». Nous, écologues et écologistes ne peuvons admettre une pareille conclusion ! Pas plus que le licenciement annoncé puis annulé de la directrice du REMERA.

Pour certains observateurs dont Yannick JADOT député européen EELV, la piste des pesticides est mise en avant. Le Ministre de l’Agriculture Didier GUILLAUME a fait des déclarations qui indignent, employant « la rhétorique scientiste et sophiste du négationnisme (blog Mediapart, 20 octobre 2018). Ce monsieur semble ignorer le principe de précautions inscrit dans la constitution que la loi fait obligation au producteur du pesticide incriminé de produire la preuve de l’inocuité de son produit. La négation politique du principe de précaution se fait en invoquant abusivement la science contre ce qu’elle énonce afin de disqualifier et de sanctionner les lanceurs d’alerte. C’est ainsi que la directrice du registre régional des malformations (un médecin) qui a alerté sur les naissances avec malformations a failli être licenciée et son équipe dispersée au 31 décembre 2018. Le 31 octobre 2018, au micro de Jacques BOURDIN (RMC et BFM-TV), la Ministre de la Santé Agnès BUZYN annonce l’annulation des licenciements mais fait appel à de nouvelles études scientifiques. Le lobby des pesticides a-t-il gagné un nouveau délai !

Madame Corinne LEPAGE ancienne Ministre de l’Environnement, avocate de renom, s’est battue depuis 10 ans, en vain, pour obtenir de Monsanto les résultats de leurs essais. Les scientifiques ont déjà répondu. La nouvelle loi votée récemment sur le secret des affaires est-elle utilisée pour protéger des producteurs de substances nocives et sanctionner les lanceurs d’alertes ? Va-t-on confondre les enquêteurs, officiels ou privés, agissant au nom de l’intérêt général avec des espions industriels ? Va-t-on refuser d’informer pour protéger le secret de substances potentiellement nocives pour l’environnement et la santé ? Les péripéties de Me LEPAGE montre tout le pouvoir d’intimidation d’une grande multinationale et son manque de coopération.

Le professeur Charles SULTAN, service d’Endocrinologie Pédiatrique du CHU de Montpellier, met en cause les pesticides qui sont tératogènes (générateurs de malformations). Il parle d’un « cluster » de malformations, c’est à dire une accumulation en un lieu restreint « qui n’est pas l’effet du hasard ». Il peut s’agir soit d’une origine génétique, soit d’une origine endocrinienne ou environnementale.

Le professeur Dominique BELPOMME (cancérologue) va dans le sens de l’élu européen Dominique Jadot lequel argue que la cause probable serait « les pesticides des champs environnants ». Le Pr. BELPOMME affirme qu’il s’agit « d’un véritable mensonge d’état » (Lettre des médecins du Sens n° 224 citée sur le site « Les symboles » en date du 10 octobre 2018). Le site Sens&Symboles évoque le « gouvernement qui n’a pas osé voter l’interdiction du Glyphosate » alors que ce produit a été jugé hautement cancérigène. Est-il tératogène, c’est à dire générateur de malformations fœtales ? Rappelons ici que selon des informations difficilement réfutables, les cas de malformations constatées dans l’Ain, en Loire-Atlantique et en Bretagne sont des « clusters » concentrés géographiquement « dans un périmètre restreint ». Cela peut-il modifier la conviction de Monsieur le Ministre de l’Agriculture lequel devrait relire le principe de précaution. Il est vrai qu’on peut mettre ses déclarations, comme le dit François VEILLERETTE, porte-parole de l’ONG Générations Futures : « On va mettre cette déclaration sur le compte de l’inexpérience ». Nous soulignons la déclaration de M. Benoît HAMON, ancien ministre : « Trois jours d’exercice et déjà porte-parols des lobbies : chapeau bas. ».

Quand les scientifiques (des gens sérieux et indépendants de tout lobby) auront analysé les cheveux ou le sang des mamans et des enfants, comparé ces derniers à des enfants réputés normaux, analysé les sols des champs environnants, du temps se sera écoulé et d’autres contaminations seront possibles. Combien d’enfants risquent de venir au monde malformés ? Quand on aura la preuve par « a + b = C », qui sera rendu responsable ? Les générations futures et ces enfants auront le droit de réclamer justice contre les lois scélérates et leurs auteurs ! « Bon appétit, Messieurs. – ô Ministres intègres ! Conseillers vertueux ! […] Soyez flétris, devant votre pays qui tombe, […] Tout se fait par intrigue et rien par loyauté, […] » disait le grand écrivain Victor HUGO par la voix de Ruy BLAS !

Nous posons la question aux ministres concernés, Agriculture et Environnement. »

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L’or blanc n’est pas de l’inox


observatoire phare

Argos Panoptes

Nous observons, nous avons l’oeil !

Argos Panoptés

Voiture en or blanc

Scandaleux

 L’or blanc n’est pas de l’inox ! C’est par dessous de l’or noir ! Un ami me communique de document que je cite ci-dessous.

« La récession ! Mais quelle récession? 
Il parait que le monde est en récession. 
Et bien, la récession mondiale n’a pas le même impact sur tout le monde…  
 Regardez bien!  (ci-dessus)

C’est une Mercedes Benz commandée par un milliardaire D’Abu Dhabi (évidemment)….. Ils ne veulent pas de migrants musulmans…ça c’est réservé pour les Européens humanistes…!
Le nouveau moteur V10 a 4 turbos qui l’équipe et développe la bagatelle de 1600 CV pour un couple de 2800 Nm le tout en consommant du biocarburant.   Grâce à cet atout de taille, le véhicule fait le 0-100 km/h en moins de 2 secondes et il parvient ainsi à franchir le 1/4 de mile en 6.89 sec.
Sa carrosserie n’est pas en acier inoxydable malgré ce qu’on pourrait croire.  
 Mesdames et Messieurs, croyez le ou non, elle est fabriquée en  OR BLANC !!! 

 Je suis certain que vous dormirez mieux cette nuit en sachant que vous payez votre essence à un prix exorbitant pour une bonne cause… »

Nos commentaires : elle roule au bio-carburant et pas au pétrole d’Abu Dahbi ? Pourquoi ?

Panoramix
Gaulois contestataire et batailleur