Qui gouverne la France réellement ?

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Nous reprenons la contribution d’un de nos lecteurs sur l’ancien Forum.


Prologue-Introduction

Nous n’en pouvons plus depuis plus d’un an de cette pandémie. Le premier confinement le 19 mars 2021 a coûté cher, très cher à l’économie de notre pays. Celui-ci s’est privé volontairement d’un médicament qui pouvait aider à enrayer la propagation du virus, j’ai nommé la chloroquine et l’hydroxychloroquine.

Le petit livre noir du Professeur Christian Perronne publié en juillet 2020 pose une question sur l’hydroxychloroquine, une question à laquelle personne n’a répondu clairement (page 152) :

« Le Président du HCSP, Franck Chauvin, professeur de santé publique et membre du Conseil Scientifique Covid-19 signe l’avis. Et dans cet avis, qu’est-ce qui est écrit ? Qu’il faut réserver l’hdroxychloroquine aux formes graves de la maladie. Devant le tollé suscité par ce texte chez les médecins et dans la population, le Pr Chauvin déclare quelques jours plus tard dans le Canard Enchaîné qu’il reconnaît que cet avis est absurde mais qu’il a subi des pressions pour le signer. Des pressions ? Lesquelles ? De qui ? On aurait aimé en savoir plus ! »

Le Professeur Christian Perronne a été sanctionné, il a été démis de ses fonctions au CHU de Garches. Il a récidivé avec un nouveau livre « Décidément, Ils n’ont toujours rien compris ! » (31 mars 2021). Nous citons le commentaire bibliographique :

« Sanctionné par le pouvoir, déchargé en 24 heures de son poste de chef de service, harcelé par ses critiques, Christian Perronne persiste et signe.

Mais dans ce nouveau livre accablant l’auteur va plus loin. Pourquoi ne peut-on plus débattre librement en France, notamment de tout ce qui touche à la santé publique ?

Comment expliquer la survie prolongée des incompétents qui font de la lutte contre la Covid-19 un spectacle tantôt pathétique, tantôt comique ? Certains ont disparu du paysage audio-visuel (nous ne les nommerons pas).

Pourquoi le ministre de la Santé, Olivier Véran change-t-il si souvent d’avis ? Jusqu’où va l’influence de Big Pharma sur son ministère ? … »

La question est posée, la réponse vient du livre écrit par un journaliste scientifique Xavier Bazin Big Pharma Démasqué ! : de la chloroquine aux vaccins, la crise du coronavirus révèle de face noire de notre système de santé (Guy Trédanel éditeur, 2021, 2e édition, 247 p., préface du Dr. Eric Ménat) . Nous avons déjà signalé ce livre en vous encourageant à l’acquérir et à le lire, en déclarant que nous n’avons aucun lien d’intérêt avec l’auteur et l’éditeur.

La chloroquine est-elle vraiment dangereuse ? Qu’en pensent les experts en France mais aussi à l’étranger ? D’où vient cette étude qualifiée de frauduleuse par de nombreux auteurs de frauduleuse et qui a motivé une grosse ânerie médico-scientifique ? La littérature scientifique que nous citons ne donne que la partie émergée de l’iceberg. Wikipedia donne des résultats controversés. Une mise au point est accessible qui examine cette controverse.

1. – La Lancet-Gate

L’affaire de la prestigieuse revue scientifique dénommée « The Lancet-Gate » met en cause le sérieux ce ce journal prestigieux qui était une référence dans le monde médico-scientifique. Le livre de Xavier Bazin lui consacre de nombreuses pages (pp. 33 à 42). Wikipédia dévoile le nom de la firme US qui a publié une étude le 22 mai 2020 : Surgisphere and Co. Nous citons Wikipedia :

« Le 22 mai 2020, une méta-analyse des données médicales anonymisées collationnées par l’entreprise américaine Surgisphere et publiée dans The Lancet arrive à la conclusion que l’utilisation de l’hydroxychloroquine [HCQ] est corrélée à un risque d’arythmie ventriculaire et à un plus grand danger de décès hospitalier que d’autres traitements. L’article est vivement critiqué et rétracté le 4 juin 2020, la société Surgisphere ayant refusé de communiquer les données brutes pour un audit indépendant […] ¨» [nous soulignons}..

Cette étude vivement critiquée a été rétractée par l’éditeur de la revue The Lancet. L’étude est qualifiée de frauduleuse par Xavier Bazin (p. 44). Néanmoins, elle a été à l’origine de la suspension par l’Agence Nationale du Médicament des essais cliniques sur l’hydroxychloroquine, j’ai nommé Discovery. Pourtant, Xavier Bazin l’affirme (p. 44) :

« Les responsables de Discovery eux-mêmes ont décidé le 17 juin [2020], d’arrêter l’étude sur l’hydroxychloroquine, au moment où elle signalait un effet postif contre la Covid-19. »

Ce sont des faits. Wikipedia confirme que l’une des causes de l’arrêt de Discovery serait le manque de disponibilité du Remdesivir ? Que veut-on démontrer ? Qui commande en France ? La manipulation de la grosse industrie pharmaceutique est elle réelle ? Une étude frauduleuse et bidonnée a eu des conséquences graves en matière de mortalité chez des patients à qui les médias continuent de claironner qu’il n’y a pas de traitement contre la Covid-19 !

2. – Les chiffres qui sont cachés

Le journaliste scientifique Xavier Bazin démontre de manière difficile à contredire que les chiffres concernant l’action bénéfique de l’hydroxychloroquine (HCQ) ont été bizarrement occultés par des tours de passe-passe statistiques et des jeux de mots sur les résultats. Tout a été fait pour occulter les effets bénéfiques sur les patients, dans les tous premiers moment de l’infection CoVid19 et dissimuler les effets délétères de l’antiviral RemDésivir de Gilead, anviviral difficilement disponible, aux effets délétères reconnus par l’OMS sur le foie et les reins des patients traités avec ce produit à 2.000 € l’unité de traitement. Alors que l’HCQ, vieille molécule, ne coûte que quelques centimes le comprimé disponible en masse et administré par comprimé voie orale. Le RemDesivir doit être administrè en milieu hospitalier par perfusion médicalisée.

Pourquoi deux poids et deux mesures ? Le géant pharmaceutique Gilead Sciences a-t-il soudoyé tous les acteurs médiatico-médical ? Contre un traitement ne rapportant plus de juteux revenus (HCQ) dont l’efficacité a été minorée voire niée ? Le Lancet-Gate est un évênement fâcheux qui n’a portant pas ébranlé la conviction de nos Hautes-Autorités sanitaires françaises et européennes. Gilead Sciences gouverne-t-il la France et l’Europe ? La lecture attentive des sites Internet qui sont cités par l’auteur journaliste scientifique Bazin constitue un acte d’accusation grave contre l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (pp. 51-81) et son homologue européen, l’Agence Européenne des Médicaments. M. Bazin n’est pas le seul journalise scierntifique à s’être interrogé sur les scandales suscités pat ce que la justice pourrait qualifier de délit de favoritisme ! La controverse sur les conflits d’intérêt de l’ANSM-AFFSP fait l’objet d’un paragraphe des plus intéressants !

Les casseroles que traîne l’AFFSP-ANSM portent le nom de Médiator, Depakine, Levothyrox, etc. Cette agence renommée ANSM en 2012 traîneraît un lourd passif de conflits d’intérêt de ses experts !

Il s’agit d’un domaine touchant à la Santé des Français ! Face à une “gripette” mortelle qui a ravagé des pays (Brésil : 470.000 morts !). C’est une maladie mortelle si on ne prend pas les mesures adéquates pour empêcher la propagation.

La question se pose de savoir qui exerce réellement le pouvoir dans notre pays, face à cette pandémie et aux débuts hésitants de la réponse sanitaire face à la maladie Pour faire le point, les sites Internet ne manquent pas et les livres publiés par des professeurs de médecine. Pour faire face à une invraisemblable multiplication de comités et de conseils divers. Pourquoi ce foisonnement apparent de nids à bureaucrates ? Nous allons essayer de répondre.

3. – La dilution des responsabilités

3.1. – Le sommet de l’état ou la base : la Présidence

On peut considérer l’organisation administrative de notre pays vue comme une pyramide ou un gigantesque mille-feuilles. A la base (ou au sommet, selon comme on se place) est le Président de la République, Monsieur Emmanuel Macron (énarque et banquier élu avec une incroyable abstention 25,4%). Il dispose d’un cabinet bien garni en collaborateurs, chargés de mission et d’un cabinet militaire.

3.2. – Le Gouvernement, les ministres et consorts

Le Premier Ministre apporte son concours (il dispose lui aussi d’un Cabinet bien fourni en collaborateurs) et contrôle ce que font ses ministres, en particulier le Ministre de la Santé (un médecin neurologue avec son cabinet ministèriel). Celà fait trois hommes et leurs collaborateurs (faites le compte !). Le socle est déjà bien garni, il faut lui ajouter les directions opérationnelles techniques :

  • DGOS ou direction générale de l’offre des soins,
  • DGCS ou direction générale de la cohésion sociale,
  • DSS ou direction de la sécurité sociale,
  • CNAMTS ou caisse nationale d’assurance maladie des travailleurs salariés,
  • les 18 ARS ou agences régionales de la santé (le Préfet y siège mais son pouvoir de décision est à démontrer),
  • ASPF ou agence santé publique France,
  • ANSM ou agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé,
  • HCSP ou haut-conseil de la santé publique,
  • ANM ou académie nationale de médecine,
  • CNE ou comité national d’éthique.

Ce qui nous fait treize administrations censées être dirigées par le Président via le Premier ministre et celui de la Santé. Vous pourrez faire le compte de “compétences” en place. Mais il faut encore une couche au mille-feuilles. Le Président (Jupiter tonnant) en rajoute une couche spécialement créée pour le CoVid-19 :

  • CS ou Conseil scientifique,
  • CARE ou comité analyse, recherche et expertise,
  • Comité vaccin Covid19,
  • Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale,
  • CCL-COVID ou Comité de Contrôle et de liaison Covid-19,
  • Comité vaccinal des citoyens (tirés au sort : les 35 alibis !),
  • Task-force vaccins (vous connaissez ?),
  • Conseil de défense,
  • Cellule interministèrielle de gestion de la Crise COVID,
  • CTV ou Comité technique des vaccinations de la Haute-Autorité de santé.

Le Professeur Perrone (Décidément ils n’ont rien compris.- Albin Michel, 2021) y rajoute un conseiller communication de la crise, une ancienne de chez ENGIE proche de Xavier Bertrand. Il est vrai qu’après la communication catastrophique de Madame N’DIAYE !

Le Professeur Perrone résume :

« … Un Président, 2 ministres, 13 conseils, agences ou organismes existants spécialistes de la santé. On en a mis 10 de plus, et une conseillère. Ca fait du monde … » (pp.99-100)

La question se pose de savoir s’ils travaillent ou s’ils s’agitent dans le désordre ? Des personnalités (un Général de l’Armée assisté d’une inspectrice de l’administration) font un rapport (demande par le Primat des ministres) conclut à un manque de cohésion dans la chaîne de commandement, chacun travaille dans son coin pour un résultat nul (résumé Perrone 2021, p. 100). La liste est accablante, nous dirions une agitation stérile et une dilution des responsabilité ! C’est pas moi, c’est l’autre ! Aucune coordination ! Nous renvoyons aux pages 99 à 105 pour décrire ce qu’un certain autre général aurait qualifié de chienlit !

3.3. – Et les consorts

Le livre du Professeur Perrone (2021) est féroce. Il y a les autres, les souterrains plus ou moins visibles : des USAsiens, conseillers et profiteurs en tous poils ! (pp.

  • Société Bain & Company, une USAsienne qui est censée piloter la France dans le dépistage du Corona-Virus (Marianne, 4 avril 2020),
  • Microsoft et Cie récupère l’hébergement de l’intégralité des données de santé des Français (pourquoi ? où est l’appel d’offres international ? avant la passation d’un marché public d’état !),
  • cabinet de conseil USAsien McKinsey & Company en matière de communication (a-t-on besoin de communication ou d’opérationnels dans nos hôpitaux ?).

Le Professeur Perrone souligne le caractère multi-conseillé du Président de la République. Au cas où ? La dilution de la responsabilité joue : c’est pas moi, c’est l’autre ! La paperasse fait tampon. Et tout ce monde suce la mamelle financièrement généreuse de La Princesse : dos large et mamelle généreuse ! Quoi qu’il en coûte ?

Et il y a la couche Europe du mille-feuilles ! Le Parquet européen dont on nous annonce aujourdh’ui la création (1/06/2021) va avoir du travail. L’Agence européenne des médicaments va devoir certainement rendre compte de son action et dénoncer les responsables du scandale du Remdesivir (Xavier Bazin 2021, pp. 71-84), un remède inefficace et dangereux. Celà n’a pas empêché l’Europe.d’en commander pour plusieurs millions de dollars (des €uros ici). A suivre !

4. – Réponse : qui gouverne ?

La réponse à la question sur « qui gouverne la France ? » Son gouvernement, bien sûr, son pouvoir exécutif incarné par son Président de la République, Monsieur Emmanuel MACRON. C’est lui le CHEF, le multiconseillé : un général chef d’état-major général l’a appris à ses dépens. C’est un super key opinion leader (un KOL) ! Dans le cas de la santé publique et de la pandémie. Comme tel, il a le droit à toutes les attentions de ceux qui cherchent à imposer LEUR façon de voir. Les manipulateurs et les manipulés, les ILS des deux titres du Professeur Perronne. Xavier Bazin, le journaliste scientifique (mai 2021) n’hésite pas, il dénonce dans son livre BIGPHARMA, c’est à dire un certain conglomérat d’intérêts financiers gigantesques qui domine l’industrie pharmaceutique, plus particulièrement démonté (Bas les masques …, pp. 187-221). Et là, apparaît clairement la confusion entretenue sciemment ou par ignorance entre la recherche scientifique et l’art de pratiquer la médecine.

4.1. – La recherche scientifique

La recherche scientifique est l’action menée par des scientifiques en vue de produire et de développer des connaissances. Cette recherche est plurielle, menée par des grands organismes institutionnels (CNRS, CEA, INRAE, INSERM, ….) et des Universités. Les domaines sont les sciences physiques, mathématiques, biologiques, humaines, médicales, environnementales, … La Science progresse par observations, déductions, expérimentations, appuyée selon les domaines sur de modestes feuilles de papier et des tableaux blancs (en mathématiques essentiellement) comme de grands équipements coûteux (CERN). Nous nous intéressons particulièrement, ici, au domaine de la recherche médicale. Cette recherche s’exerce sans expérimentations sur l’être humain, c’est strictement interdit ! Les observations sont faites dans les centres hospitaliers universitaires autour desquels gravitent des centres associant médecins praticiens, chercheurs fondamentalistes et personnels techniques d’appui (ingénieurs de recherche, d’études, techniciens de laboratoires, …). Les observations sur les patients en cours de traitements, les autopsies de patients décédés, les expérimentations animales, … sont les seules sources de données. Alors qu’en est-il de la mise au point des remèdes, les médicaments ? Ces derniers sont produits par l’industrie pharmaceutique laquelle investit des sommes considérables pour développer de nouvelles molécules qu’il faut bien pouvoir tester. Ce sont les essais cliniques :

« […] qui permettent d’évaluer de nouveaux traitements […] ou de nouvelles modalités de soins. En effet, avant de proposer de nouveaux traitements à tous les patients concernés, il est impératif de prouver que ces nouveaux traitements sont efficaces et bien tolérés. »

Là se place le nœud du problème : le contact entre l’exercice de la médecine, l’art de guérir des patients et la recherche médicale ou à vocation médicale.

Une maladie peut être mortelle, le médecin qu’il soit généraliste sur le terrain ou le grand professeur et chercheur, a le devoir impératif (serment d’Hippocrate) de guérir son patient avant toute chose et de tirer le meilleur parti des remèdes existants (molécules existantes et éprouvées) sans effets secondaires mettant en danger la vie de ce dernier.

La recherche scientifique médicale est menée surtout par des médecins, des professeurs de médecine surtout. Là se pratiquent des essais cliniques qui obéissent à des protocoles dont le but n’est pas de guérir mais de mettre au point de nouveaux remèdes. Le pouvoir de guérison se fait en comparaison avec des groupes de patients à qui on donne de l’eau claire, salée ou sucrée (placebo) : une substance sans pouvoir soignant et qui dans le cas d’une maladie mortelle peut entraîner la mort de tout ou partie du groupe placebo. Il y a là une contradiction absolue avec la mission de guérison, l’essais clinique est une expérimentation de substances sur l’être humain et en cas de maladie potentiellement mortelle, le placebo est une absence de soins !

4.2. – L’art de guérir les patients

Le médecin, celui qui traite des patients exerce son art en diagnostiquant son patient et en lui prescrivant un traitement. Il peu aussi estimer que l’état de son patient nécessite une hospitalisation plus ou moins lourde en confiant son patient à un centre hospitalier privé (clinique, …) ou public (CHU, …). L’art de guérir va de pair avec la liberté de prescription du médecin lequel a suivi plus de 7 ans d’études générales sanctionnées par un Doctorat en médecine. Je passe sur les années d’internat, sur l’externat, les spécialisations. Des années d’études dont le sommet est le Professorat en médecine et une carrière avec des responsabiltés en centres hospitalo-universitaires.

Il fut une époque assez récente où le médecin délivrait une ordonnance et où un Docteur en pharmacie composait le remêde, le médicament, dans son officine !, sa pharmacie. On est passé au développement de grands laboratoires développant des spécialités pharmaceutiques issues de la recherche bio-physico-chimique, brevetées pour 20 ans en vue de rapporter des revenus aux laboratoires et à leurs actionnaires. Là, le profit vient corrompre le processus vertueux pour faire de l’industrie pharmaceutique un producteur de juteux dividendes (des dizaines de milliards d’Euros ou de Dollars). Xavier Bazin (2021) affime (p. 193) qu’ils forment

« un cartel anti-concurrentiel par définition, qui opèrent de surcroît un marché dans un marché administré dans lequel les États autorisent les médicaments, fixent les prix et, dans la plupart des cas, en assurant le remboursement ».

On est loin des sources, le cartel des industries pharmaceutiques (10 groupes, 50% du marché mondial) a pris la main sur la santé publique, notre santé. Nous vous laissons le plaisir de découvrir comment ce cartel, Big-Pharma, a pris le pouvoir mondialement et dans notre pays en particulier qualifié de « très perméable à l’influence » (exemple cité par Xavier Bazin Mme Agnès Buzyn, ancienne Ministre de la Santé et médecin, prédécesseur de M. Olivier Véran, lui aussi médecin (neurologue).

4.3. – L’influence au plus haut niveau

Le journaliste scientifique Xavier Bazin dénonce dans son livre (p. 194) un certain dîner (référence à un article de Médiapart) le 8 juillet 2019 où le Chef de l’État, en compagnie de son Ministre Buzyn, invite plusieurs représentants de l’Industrie pharmaceutique. Xavier Bazin souligne que, coïncidence, le lendemain 9 juillet, Mme Buzyn annonce le déremboursement de l’homéopathie (notre infra p. 195). Quelle coïncidence fâcheuse ! Un de nos lecteurs a décortiqué pour nous l’article de M. Mérôme Jardin (MEDIAPART) et a découvert le site de l’APM-News qui annonçait pour le 8 juillet 2019 la réception offerte à Big Pharma le 8 juillet 2019 à l’Élysée (La pharma mondiale reçue …). On découvre qu’une autre réception a bien eu lieu le 9 juillet 2018 « Un dîner à l’Élysée » la veille de la réunion du CSIS le 10 juillet 2018. On se demande pourquoi ces réunions au sommet de l’État ? La coïncidence entre ces réunions et certaines décisions favorables à l’industrie pharmaceutique bio-chimique est troublante. Si Jupiter domine bien depuis son poste de Président de la République, lui et ses ministres semblent entendre des murmures provenant de Big-Pharma, du cartel anticoncurrentiel dont nous avons cité ci-dessus le rôle joué dans un marché administré, régulé, financé par notre Sécurité Sociale, la Princesse au dos large qui paie champagne, vins fins et mets raffinés offerts dans ces dîners entre hauts-personnages !

Big-Pharma a trouvé là un ancien banquier dont l’action en ce début de pandémie en octobre 2019 a failli amener notre pays à la catastrophe économique et sanitaire. Est-ce une coïncidence si on trouve sur le site de SANOFI un point sur la situation du Plaquenil et une mise en garde contre le Plaquenil associé à … (hydroxychloroquine et azithromycine). Gageons que le Professeur Didier Raoult saura réagir à cette attaque contre son traitement qui marche si bien contre la CoVid-19 !

observatoire phare

Le veilleur et lanceur d’alerte




Quand un aveugle conduit d’autres aveugles

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Ici on s'honore du titre de Citoyen

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Citation biblique : nous rappelons


« Laissez, ce sont des aveugles qui conduisent d’autres aveugles. Or, si un aveugle en conduit un autre, ils tomberont tous deux dans un fossé. » La Bible, Matthieu 15-14.


Nous avons reçu de plusieurs amis distants une série de communications qui convergent toutes vers un même point : l’incurie gouvernementale. Par aveuglement ou par clientélisme, nos gouvernants en chef sont aveugles. Et une partie de nos concitoyens sont aveugles, aveuglés par les médias au service des gouvernants.

Notre pays est en train d’affronter une crise sanitaire sans précédent, nous avons subi des attaques terroristes d’islamistes sans précédent, nous avons l’impression de marcher dans la boue, englués dans la gadoue, la gadoue ! (Jane Birkin !).

1 – La crise sanitaire

Elle a commencé à être perçue au début de 2020. La Chine a établi un cordon sanitaire autour de son territoire, la France évacue 220 de ses ressortissants qui seront placés en quarantaine près de Marseille. Partis de Wuhan (Chine) le 30 janvier 2020, ils sont arrivés le 31 à Marignane. Il seront hébergés à Carry-le-Rouet dans un centre de vacances. Cliquez ce lien.

Alors, commence un invraisemblable feuilleton composé d’épisodes gouvernementaux relatés par différents organes de presse : les effets de la pandémie en France. Comme le Professeur Christian PERRONNE, nous n’aimons pas avoir à écrire sur ce sujet mais le devoir nous impose de le faire. Dans son livre noir « Y a-t-il une erreur qu’ILS n’ont pas commise ? : Covid19 : l’union sacrée de l’incompétence et de l’arrogance » (Christian PERRONNE, juillet 2020, Albin Michel, 208 p.). L’arrogance, oui, un sacré facteur d’aveuglement pour ignorer que « gouverner c’est prévoir ». Ce livre noir détaille en 11 chapitres toutes les « couenneries » du gouvernement présidé au sommet par Monsieur Emmanuel Macron, Président de la République.

En complément, vient l’ouvrage du Professeur Didier RAOULT « Epidémies : vrais dangers et fausses alertes » (Didier RAOULT, avril 2020, Michel Lafon, 172 p.). Cet éminent professeur de médecine, microbiologiste de réputation internationale, vient compléter l’ouvrage de son collègue infectiologue. Tous deux ont eu à affronter dans leurs établissements respectifs la pandémie commencée vers novembre 2019 à Wuhan (Chine), officiellement le 16 novembre 2019 selon Wikipedia. Hélas, pas de cordon sanitaire en France dans les aéroports, surtout en provenance d’extrême orient. Nous avons des témoignages sur des retours de Thaïlande.

Dans son livre, Didier Raoult analyse plusieurs épidémies (c’est sa spécialité ?) et particulièrement la pandémie à Coronavirus SARS-CoV-2. Il porte de graves accusations (pp. 89-112). La première sur le traitement à la chloroquine, la seconde sur le manque de prévoyance et de réactivité du gouvernement et sur ses instances sanitaires.

1.1- La chloroquine

Sur la chloroquine les professeurs Perronne et Raoult (respectivement pp. 87-105 et pp. 102-108) dévoilent une incroyable affaire dans laquelle le Pr. Raoult dénonce de manière formelle :

« L’évolution de la situation a fini par être grotesque avec un Directeur de l’ANSM qui a fait classer la chloroquine et l’hdroxychloroquine (qui sont des médicaments qui ont été les plus utilisés dans le monde) comme substance vénéneuse et en interdire la prescription aux médecins. ». (p. 107)

Les médecins généralistes sont toujours interdits d’utiliser ces substances pourtant mondialement utilisées. Le Professeur Raoult poursuit :

« Ainsi l’état a organisé l’impossibilité d’utiliser le seul médicament qui pouvait avoir une activité, sous prétexte d’une toxicité fantasmatique dont l’idée même a été abandonnée depuis, et s’est jeté ensuite sur le complément qui a été utilisé, un antibiotique, l’azithromycine, qui est le plus prescrit de tous les antibiotiques dans les infections respiratoires et se retrouve maintenant lui aussi accusé de tous les maux. Ces interdictions ont été associées à des remontrances du Conseil de l’Ordre qui semble jouer, dans cette affaire, un rôle exactement opposé à celui de sa nature, c’est-à-dire qu’au lieu de défendre la liberté de prescription de chaque médecin face à son malade, il fait les gros yeux aux médecins qui tenteraient de soigner leur patient avec un médicament dont il faut reconnaître qu’il est recommandé maintenant dans la moitié des pays du monde, en particulier ceux qui ont les taux les plus bas de mortalité. » (p. 108)

C’est grave ! L’ANSM a fait l’objet de controverses et de polèmiques que nous laissons découvrir à notre lecteur. Qui est ce « un Directeur » que dénonce sans le nommer le Pr. Raoult ? Nous savons que la Ministre Buzyn Agnés a commencé à classer les chloroquines en novembre 2019. Pourquoi ? Le directeur général Didier Martin démissionne en novembre 2020, son intérim est assuré par la Dr Christelle Ratignier-Carbonneil, nommée directeure le 14 décembre 2020. Une coïncidence ? Serait-ce la Docteure Ratignier-Carbonell qui a convaincu le successeur de Mme Buzyn, le Docteur Véran, d’interdire les chloroquines dans notre pays renommé Absurdistan !

1.2 – La stratégie contre le virus chinois

Le Professeur Raoult nomme le SARS-CoV-2 ou Coronavirus le « virus chinois ». C’est bien de Chine que ce virus est venu. Il précise :

« La vitesse de réaction au cours d’une épidémie aiguë ne fait pas appel aux mêmes stratégies. Appeler les mêmes artisans de la guerre contre le SIDA relève de la même erreur que le fait de choisir les artisans de la première guerre mondiale pour gérer la deuxième. Une guerre de défense contre une guerre d’attaque. Une guerre où il s’agissait de tenir contre une guerre où il s’agissait d’agir. Les humains destinés à faire l’un ou l’autre ne sont pas les mêmes. C’est dans ce sens que j’ai pu écrire que pour diriger cette guerre contre le coronavirus [virus chinois], on avait chois Pétain. Ce choix des anciens combattants de la guerre précédente (le SIDA) a entraîné une panique dans touts les sphères de la société que nous n’avons pas fini de payer sur le plan économique. » (pp. 111-122).

Merci Professeur Raoult, je complète en spécifiant en historien amateur qu’avant Pétain, il y a eu en France Paul Raynaud « nous vaincrons parce que nous sommes les plus forts ». Puis Edouard Daladier avec les accords de Munich et le généralissime Maurice Gamelin avec les Vosges et la percée de Sedan. Nous avons eu une ministre partie à l’assaut de Paris, une porte parole pratiquant l’amusement public, un compteur de morts, un Président et son cabinet de 27 énarques et trois militaires, un Premier ministre et un cabinet aussi pléthorique en énarques que celui du Président et un conseil scientifique présidentiel dont le Professeur Raoult à claqué la porte.

On se pose la question de l’essai comparé de plusieurs anti-viraux (dénommé Discovery) qui s’est enlisé dans des gadoues collantes et nauséabondes dégageant des odeurs de conflits d’intérêts. Entre un médicament ancien et bon marché défendu par un Professeur mondialement connu (qualifié d’hurluberlu et de Docteur Foldingue ou Docteur Maboul) et le très coûteux antiviral contre le SIDA, le RemDesiVir d’un des membres du BigPharma (Gilead avez-vous dit ?, Pr. Raoult 2020, p. 107), l’essai a sombré. Où sont passés ceux qui défendaient le RemDesiVir ? Qu’est devenu le stock commandé à grand frais par la Commission Européenne ? Cette commission qui est intervenue pour commander des vaccins.

1.3 – Le feuilleton des vaccins

Il est très intéressant pour un pratiquant du pragmatisme enseigné dans les études scientifiques de lire ce qu’a écrit en avril 2021 le Professeur Raoult (chapitre 12 pp. 143-146) sur les vaccins. Aucun scientifique et biologiste ne saurait mettre en cause l’efficacité d’un vaccin. Le problème de la production des vaccins est lié à celui du maintien d’une recherche scientifique de pointe. Il y a en France des compétences, il n’y a pas de vaccin français. Nos scientifiques sont partis là où l’industrie pharmaceutique des USA les a accueillis et financés.

Notre industrie pharmaceutique a mis le drapeau en berne et abandonné le combat. La disponibilité des vaccins a ralenti le début de la vaccination. La vaccination n’est que le moyen ultime et efficace qui vient compléter les gestes barrières déjà en place. La vaccination devrait permettre de stopper le virus chinois originel mais il y a un mais ! Là où le virus circule et se développe survient un phénomène connu des biologistes : les mutations ! Le virus chinois originel a muté. On a appelé le résultat des variants :

  • variant anglais,
  • variant sud-africain,
  • variant brésilien ou plusieurs variants brésiliens.

Le mauvais contrôle de nos frontières ou l’absence de contrôle (qui sévissait à Roissy fin janvier-début février 2020) a dû être combattu férocement par certains médias périphériques que nous devons remercier. Ils ont forcé un gouvernement aveugle et sourd voire autiste à exercer la protection de notre population française, une ardente obligation constitutionnelle et une urgence sécuritaire. Le document produit en avril 2021 « Pour une stratégie globale contre l’islamisme et l’éclatement de la France » (Cercle de Réflexion Interarmées, avril 2021, 21 p.) dit que :

« Les quatre libertés (libre circulation des biens, des capitaux, des services et des personnes) s’entendent au sein de l’Union Européenne et non entre l’UE et le reste du monde. En forçant à l’ouverture des frontières extérieures, l’UE a mis en danger son économie, le bien-être et la sécurité de ses populations, ce que la pandémie COVID 19 a révélé […] » (p. 9).

Monsieur Jean-Baptiste Jebbari, Ministre des transports a soutenu mordicus que la fermeture des vols en provenance du Brésil était impossible, nous citons les propos du Ministre sur le site Internet Déplacements-Pro :

« Face à la situation hors de contrôle au Brésil et son variant, les passagers en provenance du pays inquiètent. Jean-Baptiste Djebbari a cependant tenu à rappeler qu’une fermeture des lignes aériennes n’était pas à l’ordre du jour. ».

Devant la colère qui gronde, le site dit encore dans une mise à jour :

« Face à la gronde du corps médical et l’incompréhension de l’opposition, Jean-Castex a annoncé aujourd’hui à 16h la suspension provisoire des vols entre la France et le Brésil. « Toute personne doit présenter un test négatif à l’embarquement, un test négatif et une période d’isolement de 10 jours », a déclaré le Premier ministre. Avant d’annoncer : « Nous constatons que la situation s’aggrave et nous avons donc décidé de suspendre jusqu’à nouvel ordre tous les vols entre le Brésil et la France ».».

Le ministre aveugle le 13 avril 2021 est recadré et démenti par son Primat. M. Jean Castex décide le 15 avril 2021 de suspendre les vols vers et en provenance du Brésil ! Voir l’article du quotidien Lez Monde. Hélas, l’Amérique du sud (Brésil, Argentine, Chili, etc.) et notre TOM de La Guyane sont touchés. Une quarantaine étroitement contrôlée sera instaurée pour les voyageurs venant de pays à variants, cliquez sur ce lien. Enfin, les yeux des aveugles s’ouvrent et nous exerçons notre souveraineté nationale ! Il a fallu 15 mois pour qu’enfin il y ait un contrôle de nos frontières nationales, le contrôle des quarantaines sera-t-il exercé avec la même efficacité que celui exercé par la Grande-Bretagne.

Il y a malheureusement d’autres menaces que le virus chinois, ses variants et le Covid-19. Ce qui nous amène à ouvrir un second chapitre sur les menaces de l’islamisme en rapport avec l’aveuglement de nos gouvernants, Président en-tête.

2 – La menace islamiste et l’éclatement de notre nation

Le document précité du CRI vient conforter et résumer 30 années d’ancien auditeur de l’IHEDN et de réflexions sur la sécurité de mon pays. Contre l’aveuglement de mes concitoyens, pour un avenir radieux à mes enfants et petits-enfants, pour mon pays. Pour les générations à venir.

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En 1997, une étude d’une association régionale que je ne nommerais pas pour des raisons de sécurité, une étude sur la République et les Sectes, concluait « Islam : danger ». Nous avons voulu bien faire la distinction, comme le fait le CRI, entre l’Islam religion de la sphère privée et l’islamisme, doctrine politco-religieuse « utilisant la dynamique religieuse pour satisfaire des ambitions politiques impérialistes ».

2.1 – La laïcité à la française

La France, notre pays, est le seul pays au monde à afficher clairement la séparation de la sphère temporelle et de la sphère spirituelle dans le concept de laïcité. C’est exactement le contraire de l’islamisme qui prétende gouverner le monde avec des concepts tirés de livres religieux, affirmant la primauté du spirituel sur le temporel. L’islamisme prétend mettre la loi religieuse au-dessus de la loi républicaine. Les tenants de l’islamisme revendiquent des droits de l’homme déduits des livres de la religion islamique (la Charia).

La France accueille une importante population de musulmans (nous n’admettons pas le terme communauté), cible privilégiée des islamistes. Or, la France doit garantir à toutes les croyances religieuses leur libre exercice, y compris l’absence de toute pratique et de croyance religieuse. La population musulmane n’est pas homogène et les islamistes prétendent unifier cette population sous une seule loi, la leur, au nom d’un concept communautaire définissant l’Oumma.

La France doit se défendre pour elle-même et ses citoyens historiques de souche (les souchiens) et les nouveaux qu’elle accueille, afin de garder cette spécificité laïque. Cette spécificité, sans nuire à liberté absolue de conscience, permet de protéger chaque citoyen et résident des excès des religions impérialistes. La République assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens, sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Une telle attitude est un obstacle à l’impérialisme religieux des tenants de l’islam politique qui ont essayé de combattre cette laïcité assimilée à de l’islamophobie. Car en langue arabe et par le jeu de l’alphabet arabe et du manque de voyelles, islam et islamisme s’écrivent de manière identique. La France est une cible, ce que démontrent amplement 20 années d’attentats aux cris d’Allah Akbar.

2.2 – La cible française

Le terrorisme dont notre pays est la cible n’est que l’écume des choses, la pointe émergée d’un iceberg qui rôde dans les profondeurs. Un danger bien plus grand est la stratégie qui consiste à s’installer par le biais d’un entrisme des différents mouvements islamistes et des pays qui les soutiennent. Une infiltration lente à travers les fractures de notre société consumériste qui est d’autant plus affaiblie par :

  • le poison de l’incivisme grandissant,
  • son incapacité à assumer son histoire (tendance affirmée à la pratique de la repentance),
  • par le délitement sécuritaire et l’incapacité de la justice à sévir rapidement,
  • par l’absence de projet fédérateur de construction d’un avenir en commun,
  • etc.

Les musulmans qui sont la cible de l’extrémisme religieux ne reçoivent pas de l’Etat la protection à laquelle ils ont droit, d’autant que les états dont ils sont issus eux ou leurs ancêtres ne renoncent pas à vouloir les contrôler, même s’ils sont citoyens français. Nous citons Salman Rushdie cité par le CRI :

« Combattre l’extrémisme [politico-religieux] n’est pas combattre l’Islam. Au contraire, c’est le défendre. » et défendre la liberté de le pratiquer dans le respect de nos valeurs républicaines.

Par une stratégie en peau de léopard dont les taches grandissent, les islamistes progressent dans l’ombre, le terrorisme ayant été jugé contre-productif. Le salafisme, puisqu’il faut le nommer par son nom et d’autres mouvements (takfirs, etc.) avancent masqués sauf dans les taches qui correspondent à des « territoires perdus de la République ». Des territoires qu’il convient de reconquérir d’urgence et où prospèrent les trafics de drogue et d’armes.

2.3- Que faire ?

Nous empruntons ce qui suit au document du CRI dont il convient, par ailleurs, de lire avec attention le contenu pour faire tomber les écailles qui obscurcissent la vue de nos responsables politiques de tout bord, sans distinction partisane.

« La République française doit avoir une stratégie multidimensionnelle de lutte contre l’islamisation, mais aussi et avant tout contre son propre délitement patriotique, sociétal, identitaire, sécuritaire.

Cette stratégie lui impose la désignation de ses ennemis les islamistes et de leurs soutiens à l’extérieur de nos frontières ; la redéfinition du cadre juridique international qui, inadapté pour cette guerre hybride, fait de l’Occident une proie ; la restructuration de ses alliances et notamment la vigilance sur la Turquie et l’Algérie.

Cette stratégie lui impose aussi d’affirmer son identité et son histoire afin d’en faire le creuset dans lequel se reconnaîtront, s’assimileront et s’épanouiront de façon apaisée tous les citoyens, de lutter sans faiblesse contre l’insécurité, l’illégalité et la criminalité qui corrompent et épuisent le civisme ; de maitriser les flux migratoires et d’assimiler tous ses invités.

[…]»

Comment ne pas se souvenir du périple fou de ce jeune tunisien originaire de Djerba (Tunisie) embarqué dans un passage clandestin, débarqué à Lampedusa, muni d’un viatique coupe-frontière de réfugié et débaquant sans avoir été contrôlé à Toulon pour y tuer de sang-froid (égorgement) trois personnes dans la basilique Notre-Dame-de-l’Assomption. Un trou béant dans notre frontière européenne ! 3 morts de manière horrible dont une mère de famille de trois enfants. Qui est responsable ? Quelques semaines auparavant c’est à Conflans-Sainte-Honorine qu’un professeur a été égorgé par un réfugié tchetchène venu de Rouen. Sommes-nous impuissants ?

3 – L’impuissance française et ses conséquences

Le plus-jamais ça marche-t-il ? Il s’agit de répondre d’urgence à cette impuissance française qui face à la pandémie et aux menaces ne protège plus nos compatriotes. Nous ne nous réclamons d’aucun parti politique sinon de celui du bon sens citoyen. Il convient de reconstruire un idéal français et des services de sécurité qui vont avec.

La défense nationale n’est pas seulement militaire : elle est globale et concerne tous les aspects de la vie publique de la Nation. Un exemple.

3.1 – Les services de sécurité intérieurs et extérieurs

Récemment, cinq jeunes femmes de Béziers ont été arrêtées dans la nuit de samedi à dimanche 4 avril 2021. Elles projetaient des attentats contre les lieux de culte chrétiens, à l’occasion des fêtes de Pâques. Le quartier populaire de La Devèze (Béziers) est un de ces territoires perdus, une tache de la peau de léopard qui a grandi dans ce quartier que ses premiers habitants pieds-noirs ont progressivement déserté. Si le sigle de la DGSI apparaît sur l’article de RTL, un autre article publié par Le Métropolitain précise que le signalement qui a conduit à l’arrestation de ces femmes radicalisées et venu du Maroc. Que faut-il penser ? Le royaume du Maroc surveille ses ressortissants même en France. Tout comme la Turquie, l’Algérie et la Tunisie. La Turquie ne nous signalera rien, il convient de s’en méfier tout comme de l’Algérie.

3.2 – La double nationalité

C’est là qu’intervient notre politique de protection des citoyens français dont les parents ou eux mêmes sont originaires de pays musulmans. Même trois générations après, un enfant né de père musulman est considéré par le pays d’origine comme ressortissant. Un de mes amis marocain, en 1969, époux d’une française, me le disait déjà. Le fait de naître en France fait jouer le droit du sol mais le droit musulman du pays d’origine en fait un musulman, marocain même trois générations après. Ceux qui souhaitent sincèrement s’intégrer malgré ce rappel de la communauté musulmane (Oumma). De génération en génération, le rappel est là ! A moins de changer de nom de famille et de prénom. Un immigré peut-il pleinement s’assimiler à une société qui l’acceuille après avoir fui une société qui le menaçait et continue de le faire ?

Le refus de la double nationalité doit être clairement affirmé.

3.3 – Implication toute entière de la Nation

La promesse présidentielle de défendre ceux qui combattent pour la défense des valeurs de la République doit être tenue. Ou alors, celui qui a fait cette promesse doit s’en aller et comprendre la gravité de la situation découlant de la pandémie et des menaces extérieures et intérieures. Le dénigrement des forces des forces de sécurité (douane, police, gendamerie, forces armées, services spéciaux, etc.) doit cesser. Ces services vitaux pour notre sécurité doivent être défendus tout comme les soigants de nos hôpitaux publics dont la casse doit cesser. Les délinquants doivent sentir le poids de l’épée de la Justice et de la cuirasse républicaine.

En conclusion

Il faut, y’a qua :

  • garantir l’état de droit et la sécurité pour tous ;
  • appliquer strictement le principe démocratique de représentativité du citoyen par les élus qui ne voient pas être la propriété d’un parti mais des citoyens qui l’ont élu (bannir le godillot et son whip) ;
  • maîtriser l’immigration légale et mettre fin à l’immigration illégale rendue impossible par le contrôle des frontières et le retour au pays d’origine des migrants ;
  • mettre en place une véritable politique d’aide aux pays en voie de développement, pays de départ des clandestins et notamment les supposés mineurs non accompagnés,
  • etc.

La conclusion de Comité de Réflexion Interarmées (CRI) sur la guerre hybride commencée contre l’Europe et la France doit être prise très au sérieux. Cette guerre multiformes est supposée s’achever sur une guerre civile, au pire sur une défaite cruelle et sans lendemain pour nos enfants. Ce que nous ne souhaitons pas. Tout doit être fait pour que la désintégration nationale et les abandons de souveraineté ne nous y conduisent pas. Notre pays est qualifié de résilient. Pourvu que cette résilience ne fasse pas caser le barreau d’acier soumis trop souvent à des flexions violentes.


Un citoyen-biologiste très en colère !
respectueux des lois républicaines

Ici on s'honore du titre de Citoyen




J’accuse

Un dangereux Corona-virus L'Agglorieuse

Il y en a assez ! Ca suffit !

La rave-party d’Ille-et-Vilaine s’est terminée par la verbalisation de plus de 1.400 participants sur les 2.400 présents. Tous ou presque se sont évaporés dans la nature sans avoir été testés au Corona-Virus ! Ceux qui auraient été porteurs du virus et qui l’ont généreusement distribué aux aux autres et qui l’ont ensuite distribué aux quatre coins de l’Europe. C’est une grave défaillance dans notre système de défense sanitaire.

Ce matin, 11 janvier 2021, les radios (RMC, entre autres) répercutent la nouvelle de la présence du variant britannique (anglais) du virus mortifère. Les frontières françaises sont des passoires : aucun contrôle aux aéroports. Un cluster marseillais s’est installé, résultat de la défaillance gouvernementale, de la négligence du contrôle qui aurait due être renforcée ! Rien, nada, niemals ! On n’a rien contrôlé à Marignane (aéroport de Marseille), surtout des voyageurs provenant d’Angleterre où la situation sanitaire empire !

Le contrôle des frontières est une mission régalienne de l’Etat ! L’Etat est en faute dit Madame la Maire-adjointe de Marseille Samia Ghali ce matin sur RMC.

J’accuse l’Etat de laxisme ! Quand un aveugle guide un autre aveugle, ils ont toutes les chances de tomber ensemble dans un trou dit la parabole des aveugles (évangile de Luc, 6-39) ! L’aveugle Ministre de la Santé et l’aveugle Ministre de l’Intérieur, lequel des deux guide l’autre ? L’un a la compétence scientifique, l’autre celle de la gestion des crises mais chacun tire de son côté et ne semble pas se coordonner ! Une conduite bicéphale de deux égos ! Nous sommes tombés dans un trou avec nos deux aveugles. Celui qui devrait gérer la crise (le Ministre de l’Intérieur) n’est pas aux commandes et nous fait penser à ces deux forçats évadés enchaînée dont chacun cherche à tuer l’autre au lieu de coopérer au salut commun. Ce salut commun est le NOTRE ! Le bien public, où est-il ?

Jean Peuplus

Contribuables de l'Hérault

Signature du Citoyen-Contribuable 34

Contribution validée par le modérateur.

Ici on s'honore du titre de Citoyen




La souveraineté numérique française

Nous veillons

Le numéro 129 de l’hiver 2020 de la revue trimestrielle Engagement de l’ASAF publie un article très intéressant sur la souveraineté numérique sous le titre Soumission ou Souveraineté (pp. 61-63). Soulignons que notre hébergeur OVH est français et qualifié de « licorne » (une startup valorisée à plus d’un milliard de dollars).
Nous avons, en France, la capacité de remplacer les GAFAM et de restaurer notre souveraineté numérique avec le développement des logiciels libres et les capacités de stockage de nos hébergeurs français. Oui, ils existent !
Les logiciels libres sont robustes, leurs failles ou les négligences de programmation sont facilement repérables, faciles à corriger par nos ingénieurs militaires. Des versions de LINUX militarisées peuvent aisément développées et maintenues. Confier les ordinateurs de nos armées à Windows de Microsoft est criminel, je pèse mes mots ! Les portes dérobées dont sont dotées ces productions ne sont pas une fiction ! Elles existent et permettent de tracer l’emplacement de chaque ordinateur qu’elles équipent. Ce qui va à l’encontre de notre Code de la Défense !
 

Un volontaire de la Réserve Citoyenne de la Gendarmerie Nationale





Défense de notre souveraineté nationale

Introduction

Des paroles prophétiques ? Dans l’hebdomadaire Marianne du 26 juillet 2019 (n° 1167), Mme Natacha Polony donne son opinion (site Marianne du 25 juillet 2019) écrit « Comment faire renaître un peu de confiance ? Les esprits les plus lucides n’ont pas attendu les homards de François de Rugy (RugyGate), ni même la crise des « gilets jaunes », pour sentir qu’il y avait là un enjeu vital pour les institutions républicaines.

Une société dans laquelle le soupçon se généralise, dans laquelle chacun finit pas se demander d’où parle tel ou tel, s’il ne défend pas quelque intérêt caché, si le discours scientifique, même, n’est pas instrumentalisé par des puissances financières, est une société qui crève. Quelque chose s’est brisé, qui faisait le ciment de la démocratie. Quelque chose qui s’appelle le bien commun. ». La Directrice de la rédaction, une grande journaliste, a prophétisé l’appropriation, au nom du néolibéralisme, du bien public. L’hebdomadaire poursuit la dénonciation des mensonges et des blocages (n° du 1er mai).

De nos jours, en mai 2020, après l’extension à la France, l’Europe et le monde de la pandémie à SRAS-CoV-2, nous pensons que la pétaudière actuelle était prévisible, il y a longtemps que, citoyen et contribuable de l’Hérault, je dénonce avec mes amis, le non-respect de l’intérêt général et l’appropriation du bien public par des intérêts privés dont la conséquence est la crise actuelle avec l’incurie des pouvoirs publics. Elle poursuit « Car l’excès de soupçon ne naît pas d’un manque de transparence mais du constat répété que des intérêts privés ont pu s’approprier ce bien commun dont l’Etat est le garant au nom des citoyens. Si chaque décision, chaque arbitrage, semble se faire non pas en fonction de la volonté majoritaire, mais au nom d’intérêts catégoriels, en faveur de quelques-uns, qui ont su peser plus lourd, s’installent dans toutes les strates de la société deux gangrènes mortelles : le ressentiment et cette tentation du chacun pour soi qu’on appelle l’incivisme ». Cette grande dame, citoyenne et mère de famille, voit aujourdh’ui se réaliser les années d’observation impartiale et objective de la vie publique. Elle ne cesse de pourfendre le mensonge comme moyen de gouvernement.


1 – Minimisation de la gravité du virus

Nous avons dénoncé la minimisation de la gravité du virus et de sa contagiosité. Il en est résulté une mauvaise appréciation de la progression de l’épidémie devenue pandémie. La petite grippe ou “gripette” a tué plus de 25.531 décès sur 132.000 cas dont 52.736 guérisons. Cette minimisation a cessé rapidement face à la vérité terrain. C’était une pandémie due à un virus inconnu provoquant une maladie émergente. Nous étions démunis ! Démunis au point de vue connaissances comme au point de vue infrastructures : il y avait pénurie. La ministre Agnès Buzyn quitte son ministère remplacée par Olivier Véran. La presse (Marianne n° 1207, 1er au 7 mai) cite Mme Buzyn (en date du 21 janvier 2021, p. 23) « Le risque d’introduction en France de cas liés à cet épisode est faible. » !!! Nous avons vu !

2 – Dissimulation de la pénurie

Nous avons dénoncé le gros mensonge qui nous a été servi pour dissimuler la pénurie. Ça continue avec la pénurie de tests de dépistage.

Le mensonge sur les stocks de masques et leur utilité. Nous avons dénoncé la suppression des EPRUS.

Nous dénonçons l’incapacité à tester massivement les Français.

3 – Idéologie primant sur la raison

Nous dénonçons le confinement tardif et l’idéologie qui a primé sur la raison. Il ne pouvait être question de fermer nos frontières alors qu’un parti d’opposition le préconisait !

La haute-technostructure qui prévaut en France est issue de l’Ecole Nationale d’Administration (ENA). Nous avons dénoncé ce

4 – Nous soutenons une France forte

Nous soutenons une France forte qui suppose un État fort capable de mobiliser en propre et sans assistance étrangère tous les moyens nécessaires à la protection de ses citoyens.

Une France forte non-seulement de son agriculture (pétrole “vert”) mais aussi de son industrie qui doit être réinstallée sans être une source de pollution.


Un Auditeur IHEDN 1985




Des traités à ratifier ?

Défense de notre souveraineté nationale !

La réponse est non ! Ces traités violent nos principes et nos lois, ils portent atteinte à notre souveraineté nationale. Je suis pour la défense des normes nationales qui protègent notre santé, pour la consommation de produits locaux ne nécessitant pas de grands voyages. Les produits lointains doivent faire la preuve qu’ils respectent nos lois et ne pas servir au BUSINESS.

Je suis contre ces traités qui contournent nos lois. Non au CETA et au MERCOSUR. Je soutiens Monsieur HULOT, il a raison, il est des nôtres. Je soutiens l’action de nos jeunes, j’ai une petite fille de 16 ans et je ne souhaite pas lui laiiser ainsi qu’a sa soeur et à mon petit fils une planète déglinguée et assoiffée. Greta Thunberg doit continuer à motiver nos petits-enfants.

Je n’ai qu’un regret : après mon doctorat de biologie mention écologie (1971) sur les relations entre le climat et la végétation de la Cévenne ardéchoise, je n’ai pu avoir un poste de chercheur mais je sais de quoi je parle quand il s’agit de climat. Ma formation de licencié és-Sciences de la terre a été cultivée et embellie depuis et, en 2019, si je ne suis pas un chercheur brillant et membre d’éminents comités internationaux, je peux me permettre de poursuivre ma mission. En 1967, professeur de sciences naturelles dans un lycée privé, j’ai montré à un Inspecteur général mon cours d’écologie alors que les manuels scolaires n’étaient pas encore sortis. Merci à mon professeur de botanique, le Professeur Charles Sauvage, qui devint mon maître à Montpellier.

AsterX34


Un Patriote indigné




La République une et indivisible

Emblême de la République

Les armoiries de la République

Nos fondamentaux

La devise nationale est « Liberté Egalité Fraternité ». Les principes fondamentaux de notre République sont là ! Ils traduisent des droits intangibles, à la fois politiques et sociaux qui ont été reconnus aux citoyens par les différents régimes républicains. L’article 1er de la Constitution s’inscrit dans ce cadre puisqu’il proclame « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale ».

 Une République indivisible : aucune partie du peuple, aucun individu, ne peut s’attribuer l’exercice de la souveraineté nationale. Le peuple seul exerce cette souveraineté.par la voie de ses représentants (les députés) ou le référendum. Le référendum est une procédure de vote permettant de consulter directement les électeurs sur une question ou un texte, lequel sera adopté qu’en cas de réponse positive.

L’unité et l’indivisibilité garantissent une application uniforme du droit sur l’ensemble du territoire national. Aucune loi dictée par quelque groupe que ce soit ne peut se prévaloir d’une quelconque préséance sur la loi de la République. Une doctrine religieuse ne peut prévaloir sur la loi de la République. Toute religion qui prônerait ou prône le contraire est anti-républicaine.

La loi de Dieu, la Charia des intégristes musulmans est dans ce cas. Loi divine ou pas, elle ne peut entrer en contradiction avec la loi de la République qui est au-dessus. Les autorités de la République doivent défendre la loi de la République en la faisant appliquer. « Dura lex, sed lex » !


extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

Un observatoire