Contribution à la connaissance des mineurs non-accompagnés

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Argos Panoptés déchaîné

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Argos panoptès

Nous observons et nous informons

Info

Ce soir, nous pensons très fort aux familles des trois victimes innocentes du sauvage attentat qui a endeuillé les chrétiens de Nice, les français de toutes confessions et notamment les musulmans qui veulent vivre en paix dans notre beau pays.

Le sauvage assassinat qui a fait trois morts innocents à Nice ce 29 octobre 2020 est un jeune tunisien de 20 ans ! Il se nommerait Brahim A. Il s’agirait d’un clandestin qui se serait introduit en Italie via l’île de Lampedusa où il aurait débarqué début septembre. Comment a-t-il quitté cette île, qui le téléguidait ? Qui l’a caché et hébergé dans les quartiers nord de Nice ? Rappelons que c’est de ces quartiers que provenait une autre racaille qui avait provoqué un massacre le 14 juillet 2016 sur la promenade des Anglais (86 morts, 458 blessés). Ce fumier venait d’arriver début octobre à Nice. L’enquête devrait permettre d’extirper une des métastases du cancer islamo-fasciste implanté à Nice.

Il semblerait que les caméras de surveillance l’ont tracé jusqu’à la gare de Nice où il serait arrivé en provenance d’Italie.

Merci aux policiers municipaux niçois qui l’ont seulement blessé. Il faudra que nos enquêteurs le fassent parler dès que la médecine l’aura retapé et qu’il nous dénonce ses complices. Ensuite, nous l’embastillerons, loi, très loin, aux Îles Kerguélen ou au large de la Guyane, à l’île du Diable (le nom Diable est parfait pour un suppôt de Satan, le shaïtane en arabe) ! Nous avons dans nos îles potentiellement l’éqivalent de Guantanamo (USA).

Jean Aymar


Validé par le webmestre qui a ajouté un lien :

Après les 3 attentats récents, les bouffons dangereux islamistes qui gouvernent le Pakistan, le Tchetchénie, la Tunisie, … en un mot les pays d’où viennent les terroristes, nous font la leçon Ils nous envoient des assassins revêtus d’une peau d’agneau de réfugiés fuyant l’islamisme et qui viennent égorger “nos filles et nos compagnes …” La suite de notre hymne national, vous la connaissez ! Les armes de la France, oui, notre capacité de résilience oui ! Jusqu’à quand allons nous laisser des bateaux à vocation “humanitaire” recueillir des terroristes et nous les convoyer gentiment sur le sol européen ? Le Président islamiste qui gouverne la Turquie semble avoir mis de l’eau dans son vin ? Il a rétropédalé mais trop tard.

Le webmestre

Après l’attentat du 25 septembre 2020 au hachoir par un jeune pakistanais, les opinions les plus diverses ont été émises sur les motivations de ce jeune homme. Le bilan a failli être lourd : deux blessés gravement dont le pronostic vital a été engagé pendant quelques heures. Deux innocents citoyens français ont été sauvagement agressés au hachoir ! Grièvement blessés, leurs jours ne sont plus en danger. L’auteur des faits et un Pakistanais (se prétendant tel), d’âge incertain. Un second supsect arrêté s’est révélé être un jeune citoyen héroïque qui a tentés d’arrêter le présumé « coupable ». Tout d’un coup, les perquisitions aux deux domiciles présumés du présumé coupable ont ramené un beau coup de filet. Neuf personnes dont le frère du coupable ont été mis en garde à vue. Sept on été maintenues en détention.

Qui est ce suspect ?

Hassan A. a declare être né en 2002 à Islamabad (Pakistan). Il était arrivé il y a 3 ans et bénéficiait du statut de « mineur isolé ». Selon le journal Le Monde, il avait été pris en charge par l’aide sociale à l’enfance qui avait déclaré « qu’il ne présentait aucun signe de radicalisation » ! M. le Ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin déclare que « la menace a été sous-évaluée » ! Pas celle des immigrés pakistanais mais celle de la rue où avaient étés les locaux de Charlie Hebdo, locaux déménagés. Rien qui ne soit en liaison avec l’origine du terroriste en herbe qui a failli tuer deux de nos concitoyens. C’est une bombe potentielle qui est venue, sous le statut de « mineur isolé » se joindre à la 5e colonne islamiste planquée dans notre pays, une bombe dormante dont quelqu’un a actionné la gâchette. Qui a envoyé cet individu chez nous où la législation sur les mineurs est une faille énorme dans notre sécurité nationale. On connaît la réponse : son père resté au pays (Pakistan) a félicité son fils pour son acte !

Les « madrassas » pakistanaises

Une madrassa est une école coranique. Selon le journal Libération « Les madrassas assurent l’éducation des enfants des milieux pauvres au Pakistan, elles sont d’autant plus attractives que les élèves y sont logés et nourris gratuitement. … Malheureusement, c’est parfois l’enfer qui attend ces enfants ». Elles foisonnent au Pakistan, surtout dans les zones tribales et les campagnes. Dire que ce jeune homme ne présentait aucun signe de radicalisation est une grave lacune dans la connaissance des mécanismes de l’islamisme pour un responsable du suivi de ces jeunes « mineurs isolés ». Ceux qui s’expriment ainsi ignorent tout (ou sont naïfs) du mécanisme de la taqya, mécanisme enseigné dans la tradition islamique et pratiqué pas les islamistes modernes comme anciens : la dissimulation érigée en art de guerre ! « A Rome, fais comme les Romains » : dissimule tes pratiques, prépare un mauvais coup sans te dévoiler.
Il faut être naïf pour ignorer ce qui est enseigné dans les écoles coraniques : dès le plus jeune âge (8 à 10 ans), les jeunes pakistanais sont assujettis dans ces écoles à l’apprentissage du Coran. Ils apprennent en arabe phonétique le Coran car leur langue de base est l’ourdou. De toute façons, l’arabe ancien dans lequel est écrit ce livre n’a rien à voir avec les dialectes arabe locaux pratiqués dans différents pays dits arabes. Cet arabe est la langue ancienne que seuls de grands lettrés sont capables de lire, parler ou écrire (c’est le cas de professeurs d’universités comme celle d’Al-Azhar au Caire).
Donc, dès leur plus jeune âge, les enfants apprennent par cœur ce livre qui contient des versets de paix et de tolérance abrogés par des versets plus « belliqueux » tels la sourate dite de l’épée. Du par cœur non compris, le jeune passe à des versets « expliqués », commentés par des maîtres proches des talibans pakistanais. On y enseigne, en se référant au Coran, des théories belliqueuses tirées des versets du Coran. Nous citons l’Expresse « La radicalité de ces écoles affleure jusque dans le centre de la capitale Islamabad. Habib Ullah, étudiant à la madrassa Jamia Faridia, ne cache pas son admiration pour Oussama Ben Laden, tué en 2011 dans le nord du Pakistan, ou sa haine des chiites, qui représentent 20% de la population de ce pays à majorité sunnite. ».
Ces informations sont publiques pour qui sait interroger les moteurs de recherche comme Google. Cet exercice devrait faire partie de l’apprentissage de ceux de nos dirigeants jusqu’au plus haut niveau. Cela éviterait de permettre l’accueil de bombes dormantes qui viennent se réfugier dans nos pays occidentaux en profitant de la faille de sécurité que constitue la législation sur les mineurs non-accompagnés (MNA). Ces mineurs, qui les envoie ? S’est-on posé la question ? Pourquoi ? Viennent-ils de pays en guerre ? L’accueil des MNA est régi par une directive européenne (Directive du Conseil 2001/55/CE, article 2, §f). Cette directive n’empêche en rien de soumettre ces jeunes gens à une batterie de tests de dépistage osseux pour contrôler leur âge et de dépistage de radicalité. Trop d’attentats terroristes ont eu lieu en France ces dernières années au nom d’un islam dévoyé (islamisme) pour que la plus grande prudence soit de mise avec les ressortissants de ces pays (Pakistan, Afghanistan, …) ou par des jeunes de nos pays qui y sont allés séjourner (affaire Merah et autres, …). L’excuse de la minorité ne doit plus être invoquée pour accueillir avec libéralité et sans suspicion n’importe quel jeune. Tout mineur non-accompagné, provenant de pays suspects d’abriter des centres d’enseignement islamistes comme le Pakistan, doit subir un « debriefing » poussé, approfondi, concernant ses objectifs, ses motivations, les raisons qui l’ont poussé à émigrer et sur son acceptation de nos lois. Sur ce dernier point, la discussion devrait porter sur la supériorité de la loi républicaine sur toute loi religieuse et sur le concept de laïcité. En cas de doute sur la sincérité de ses réponses et sur son âge, il sera renvoyé vers son dernier point d’embarquement, à défaut de connaître son lieu exact de provenance. Sans états d’âmes ni hésitation, il en va de la vie et de la sécurité de nos concitoyens pour leur éviter des coups de hachoirs mortels.
Nous sommes en guerre contre l’islamisme, la loi de la République ne peut admettre d’autre loi supérieure fut-elle religieuse. Or, un juge du tribunal des mineurs de Pontoise, saisi par les services sociaux, a refusé de soumettre l’individu à un test osseux pour déterminer son âge. Pour des raisons idéologiques ?

Nous avons manqué de vigilance

Dans le contexte actuel du procès des terroristes de l’hyper cacher et de Charlie-Hebdo ainsi que de la publication des caricatures mahométanes, un grave manquement à la sécurité a été commis à Paris. Qui du coordonnateur de la lutte anti-terroriste, du Préfet de Police de paris, du Ministre de l’Intérieur et de son cabinet ou du plus haut de l’État (Primature ou Présidence) porte la responsabilité du manque de vigilance ? Le Ministre de l’Intérieur a porté une accusation … sur les autres ! Il ne s’est pas posé la question de sa responsabilité ! Au peuple et aux citoyens de dire leur mécontentement. Ce qui s’exprime sur les radios périphèriques (RMC, Sud-Radio, …) est ahurissant (RMC les GG, 9h30 : 30/09/2020).
On ne peut surveiller tout le monde mais on peut faire un échantillonnage stratifié avec comme critères la provenance des individus, leur statut de réfugiés pseudo-mineurs. Mais ceux qui ont commis des délits en France (vols, port d’armes ou d’objets ayant vocation à l’être, agressions, …) n’ont rien a faire en liberté en France. Leur vocation est de retourner d’où ils viennent. Par contre, ceux qui se tiennent correctement et ont vocation à s’intégrer, doivent voir leur situation examinée à la lumière des besoins de notre pays et recevoir une réponse en conséquence.


Annexe : extrait de la Directive CEE

« Directive du Conseil 2001/55/CE

Article 2

Aux fins de la présente directive, on entend par:

a) “protection temporaire”, une procédure de caractère exceptionnel assurant, en cas d’afflux massif

f) “mineurs non accompagnés“, les ressortissants de pays tiers ou apatrides âgés de moins de dix-huit ans qui entrent sur le territoire des États membres sans être accompagnés d’un adulte qui soit responsable d’eux, de par la loi ou la coutume, et tant qu’ils ne sont pas effectivement pris en charge par une telle personne, ou les mineurs qui ne sont plus accompagnés après leur entrée sur le territoire des États membres ; »

Rien ne doit légalement s’opposer que notre état souverain exerce son droit régalien de contrôle de l’âge par tout procédé médical, si besoin.
Ici on s'honore du titre de Citoyen

Un volontaire de la Réserve Citoyenne de la Gendarmerie Nationale

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Embrigadement des jeunes


Argos Panoptés déchaîné

Argos panoptès

Introduction

Un barbu
Dans ses écrits, le fondateur des Frères Musulmans, Hassan El-Banna dit vouloir «un individu musulman dans sa pensée et dans sa croyance, dans sa moralité et dans ses sentiments, dans ses actes et ses comportements. C’est une formation à l’échelle de l’individu.» Il dit attacher une grande attention à la formation de la jeunesse. Tous les régimes totalitaires que nous connaissons ont ce souci : s’emparer de l’esprit des jeunes et les modeler à leur idéologie. Les écoles coraniques sont un des éléments de cette prise en charge. On y apprend le Coran par coeur, sans n’y vraiment rien comprendre.
Comment expliquer l’influence des prédicateurs “barbus” pour susciter ce fanatisme chez les jeunes qui partent vers les théâtres d’opérations ? Les réponses sont multiples. En fait, il s’agit du processus de radicalisation qui va mener un ou plusieurs jeunes vers le crime terroriste, au non d’Allah.

1 – Le culte de l’héroïsme

Le culte de l’héroïsme s’incarne dans limage du martyr qui va accèder directement au paradis et à ses félciités, par le sacrifice qu’il fait. Le jeune jihadiste devient indifférent à l’idée de la mort, celle qu’il va donner, comme la sienne. La vraie vie pour eux est au paradis, il faut la mériter par le sacrifice (chahid) en mourant dans le meurtre des ennemis. La seule attitude légitime est de tuer et de mourir. Ceci découle des règles intransigeantes qui rendent obligatoire l’affrontement entre les «vrais musulmans» et les infidéles (les kafirs).
La chahada (la profession de foi islamique «Il n’y a de dieu qu’Allah et Mohamed est son prophète» ne fait pas que proclamer l’exclusivité de Dieu, mais nie le droit de vivre aux infidèles. Le vison jihadiste n’est pas seulement inhumaine, elle est profondément deshumanisée. L’infidèle ne peut échaper à la damnation éternelle que par son ralliement et sa conversion. Celà résulte de la vision jihadiste du monde, profondément dichotomique, basée sur un affrontement absolu entre le bien t le mal. Seul est admis le retour aux traditions originelles, radicales, des salafs. Les matrices afghanes et syro-irakiennes ont fonctionné : 2 millions de morts en Afghanistan.
Ceci ne suffit pas à expliquer le passage à l’acte criminel. Alain Bauer, François Freynet et Christophe Soullez ont écrit un livre «Comment vivre au temps du terrorisme»(First Document, First Editions, 2017) om le phénomène de radicalisation est passé au crible de nos connaissances (p. 136-145).

2 – L’hybridation

C’est le processus dans lequel il y a une tendance des groupes terroristes à s’impliquer dans des activités illicites :

  • pour leur financement, par le trafic de drogue ou des attaques de banques,
  • comme but en soi.

L’exemple en est donné de Khaled Kelkal ( en 1995) puis avec le gang de Roubaix (1996). La France connaît la douloureuse expérience des hybrides navigant entre les fichiers de police (renseignements et police judiciaires), échappant à l’attention de services incapables de dépasser leurs cloisonnement (guerre des polices). D’autres exemples nous montrent aux USA où mène l’aveuglement et la naïveté, avec les deux tchetchènes Djokar et Tamerlan Djojhar, radicalisés par Internet (revue Inspire). Cette revue a été interdite et son site démantelé.

2.1 – Les loups solitaires

Cette expression désigne un concept fourre-tout parfois hâtivement employé en matière de terrorisme, à tort par les journalistes ignorants et les services de renseignement, comme explication après l’échec de la prévention d’un acte terroriste. Trés fréqu’emment, après coup, se déroule une pelote de fils conducteurs aboutissant au démantèlement de réseaux jihadistes discrets. Nous posons par principe qu’il n’y a pas de loup solitaire !
Il convient de distinguer des fous solitaires.
Les soubresauts de l’agonie du courant Al-Qaïda ont conduit à la situation actuelle qui prolonge la disparition progressive des actions de terrain extérieures à la France.

2.2 – La radicalisation 2.0.

Bauer et al. font état des centaines de jeunes entre deux cultures, nés ou élevés en Occident, indécis sur leurs racines et qui partent combattre en Afghanistan, en Tchétchénie, en Bosnie, en Irak ou en Syrie, poussés par des prêcheurs de haine aussi discrets qu’efficaces.
Auprés des jeunes délinquants, le discours du martyr pardonné par Allah par son sacrifice, attendu par des vierges éternelles au paradis, ce discours semble porter. La radicalisation des jeunes nés en Occident et perméables à la culture du pays d’accueil semble difficile à comprendre. Que dire des jeunes nés de familles non-musulmanes qui se tretranchent ensuite dans l’interprétation la plus rigoureuse et la plus extrémiste de leur nouvelle foi ?
Le refus du matérialisme, de la pornographie permet de se radicaliser dans une religion de conte de mille et une nuits.

3 – Le milieu carcéral

Le passage en  milieu carcéral est un dénominateur commun à de nombreux jeunes radicalisés. On sait depuis longtemps que pour des jeunes délinquants, l’incarcération constitue une Université du crime. Il en va de même pour le jihadisme et la criminalité islamiste. La contamination des adultes rédicalisés de propage aux jeunes. Les jeunes délinquants sont fortement inlluençables et font la connaissance d’apprentis jihadistes mûris ou d’individus déjà passés à l’acte.

3.1 – Endoctrinement sectaire

L’endoctrinement pas des imams salafistes ou autres se fait de la même manière que dans une secte :

  • briser le lien familial (familles, copains, …),
  • briser les contours identitaires,
  • effacer les souvenirs,

3.2 – Dialectique

Les extrémistes usent d’une dialectique visant à faire de leur religion la seule susceptible d’apporter la rédemption et la vérité au futur jihadiste.

3.3 – Populations concernées

On ne doit pas avoir d’à-priori sur le profil du futur radicalisé. Le phénomène peut toucher autant des jeunes disposant d’une bonne situation professionnelle ou d’une bonne culture universitaire. elle peut aussi toucher des jeunes sans qualification professionnelle et ayant grandi dans une famille déstructurée.
Dans ce dernier cas, l’abandon à la suite d’un divorce (répudiation facile en islam et polygamie) est un puissant facteur de déstabilisation familiale comme le montrent des exemples récents.

En conclusion

Il y a alors un rejet de la société dans laquelle ils vivent avec la haine des valeurs du monde occidental. Ils se réfgient dans l’interprétation qu’ils vont faire et:ou qu’on va leur fournir sur la nécessité d’imposer un islam idéalisé et radical face à la décadence de l’Occident impie. L’Internet contribue à en faire des autodidactes du terrorisme avec les images des drapeaux noirs et des kalachnikovs
 

extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

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