Le salafispe et la République

Introduction

Le salafisme, selon divers auteurs islamologues, est une doctrine de musulmans regroupés en communautés, en apparence inoffensives. De nombreuses échoppes communautaires fleurissent et offrent la possibilité de se vêtir en vêtements islamiques autant qu’en produits de beauté orientaux et en livres saints (Selon Mohamed SIFAOUI, 07/11/2009 Le salafisme en 10 questions dont nous nous sommes largement inspirés). Récemment, on a vu des poupées pour enfants sans visage apparaître dans certaines boutiques du nord de la France. Nous citons Zone Interdite : « ces jouets correspondent à une interprétation salafiste ou wahhabite de l’islam, pas à une tradition ancienne ».

1 – Qu’est-ce que le salafisme ?

Le terme salafisme puise sa racine dans le mot arabe salaf qui signifie « les prédécesseurs ». On parle aussi d’essalaf essalah ou de « pieux prédécesseurs », désignant ainsi les tout premiers compagnons du prophète Muhammad (Mahomet). De nos jours, les salafistes les veulent pour exemple, appelant à un retour à un « islam des origines », celui du VIIe Siècle. Ils veulent un islam expurgé de la bidaâ ou des « innovations blamâbles » (boko haram). De leur point de vue, ces innovations pervertissent l’islam. C’est un rejet absolu de toutes les idées humanistes, des principes philosophiques tels la démocratie ou la laïcité. C’est l’école fondée par l’imam Ahmed ibn Hambal (780-855) au IXe siècle, le hanbalisme, qui a forgé les racines de l’idéologie salafiste. Les deux disciples de cette doctrine, l’imam ibn Tamiya (1263-1328) et Mohamed ibn Abdelwahab (1703-1792), en deviendron ensuite les deux références idéologiques. Abdelwahab fondera le wahabisme dont l’idéologie rigoriste fondera la monarchie saoudienne qui règne en Arabie Saoudite, entre autres émirats arabes.

De là, sont partis des « missionnaires salafistes » formés en Egypte (Université Al-Ahzar) dopés au XXe siècle par les pétrodollars. Les wahabites prônent et appliquent la « charia ». Ce salafisme s’est propagé dans le monde.

Au XXe siècle, la pensée se politise en Egypte avec les Frères musulmans (1928, Hassan el Bannah 1906-1949). On les désigne parfois « salafistes en costard-cravate » par opposition aux « salafistes en barbe et khamiss » (ou en djellaba). Ces gens veulent se retirer de notre monde pour vivre leur islam historique mai ces nostalgiques en veulent aux croisés et à ceux qui les ont chassé d’Al-Andalus (Grenade, Espagne p.e.).

Le passage vers le jihad se fait lorsque les tenants se sentent en force et recherchent la confronation que prônent les versets du Coran issus de la période de Médine et qui abrogent les versets mecquois. Récemment, Al-Quaeda et DAECH ont illustrè sans conteste la mise en oeuvre d’actions mortifères !

2 – Que veulent les salafistes ?

Cette minorité du monde musulman est active (et belliqueuse, sous le couvert de la taquiya, la visière ou apparence piétiste calme). Ils font tout pour occuper le devant de la scène avec leurs activistes militanrts effrénés et autres idéologues. La pensée salafiste occupe un grand nombre de mosquées et des publications littéraires. Il cherchent à convertir, appelant au communautarisme avec une idéologie où le politique et le religieux sont indissociables (source coranique, VIIe siècle).

Ils veulent le monde, tout le monde, le monde entier (voir les écrits de Sayyid Abu A’la Maududi, pakistanais : 1903-1979). Les Frères musulmans souhaitent ériger un groupe de pression à même de peser sur les débats nationaux et internationaux. Ils visent à faire naître un « vote musulman ». Tous les moyens sont bons même séduire nos jeunes filles éblouies, naïves, les « niqabiser », les engrosser au besoin!

3 – Combien sont-ils en France

Il est difficile de connaître avec exactitude le nombre de ces « fous de dieu » présents en France (et en Europe). Selon une estimation, 5% des 5 millions de musulmans de France sont des pratiquants réguliers fréquentant le 1.900 mosquées et salles de prière avec assiduité. Les salafistes représentent une forte minorité de ces pratiquants mais donnant l’impression d’être majoritaires par leur excitation militante, leur activisme : ils font beaucoup de « mousse ».

L’UOIF serait la filiale française des Frères musulmans, les rencontres annuelles du Bourget et le vote de la loi contre les signes religieux ostentatoires ont montré ces accoutrements vestimentaires qui donnent une idée du poids réel de ces idéologues « pacifiques ».

Il existerait une cinquantaine de mosquées ou de lieux de prière tenus par ces partisans du wahhabisme saoudien et de la pensée salafiste prosélyte.

Les mosquées salafistes wahhabites sont souvent implantées au cœur des cités populaires (en région parisienne Sartrouville, Argenteuil, Gennevilliers, etc.) ou dans d’autres grandes villes (Lille, Strasbourg, Marseille, Besançon, etc.) ainsi que dans Paris-intra-muros (Barbés, Belleville, etc.).

4 – Qui finance la propagation

Outre l’État saoudien (au travers de la ligue islamique mondiale : LIM) a longtemps financé cette idéologie conforme à son wahhabisme. D’autres états mécènes du golfe persique (Emirats) accordent aussi quelques millions de dollars pour faire rayonner le « vrai islam » (le salafisme). En France, des mosquées ont été construites avec des financements provenant de ces monarchies (théocraties) et de la LIM : Evry, Mantes la Jolie, etc. Les universités saoudiennes (Riyad, La Mecque, Médine et autres) forment des milliers d’étudiants saoudiens ou étrangers (islamiques). Ces « missionnaires » sont aussi formés au Pakistan (Karachi, etc.). Cette dernière enseigne de « déobandisme », version indo-pakistanaise du salafisme (Abu-A’la Maududi est un des précurseurs). Cette idéologie a formé les fameux « talibans ».

Les Frères Musulmans ont eux aussi bénéficié de l’aide des Saoudiens notamment pour l’ouverture du Centre Islamique de genève (fondé par Saïd Ramadan, le père de Tariq et gendre de l’égyptien Hasan el-Banna).

Quand l’UOIF est créé au début des années 60 (par des islamistes tunisiens et l’activiste libanais Fayçal Mawlawi), il y aura de nombreux soutiens émanant des émirats Arabes Unis. Le financement (entre 30 et 80%) passe par des fondations privées de personnalités arabes.

Mais il y a l’autofinancement. Les diverses mosquées de disputent le produit de la redevance de certification halal sur les viandes et produits alimentaires divers, un commerce communautaire que les salafistes ne cessent de promouvoir et de contrôler. Il est très lucratif !

5 – Quels sont les idéologues

A côté des idéologues du VIIe siècle, il y a les contemporains et notamment les Égyptiens issus de la mouvance des Frères musulmans. Citons Sayyid Qutb (1906-1966) ou Youssouf al-Qardawi (le théoricien des attentats suicides et de l’instauration de la loi divine ou charia (sharia, etc). Citons Tariq Ramadan qui se laisse complaisamment traiter de théologien alors qu’il est en rélaité un idéologue sournois de la pensée salafiste des Frères Musulmans (il est le petit fils du fondateur auquel il voue une admiration sans bornes). Bien qu’il n’hésite pas à fustiger le wahhabisme (une attitude d’opportunité visant à tromper son auditoire), il n’est ni un progessiste ni un réformateur. La pensée des Frères musulmans entre ses mains (et d’autres) est un instrument de lutte politico-religieuse (dans le droit fil de l’islam originel) destiné à propager un salafimes costard-cavate plus « doux ». Il utilise les codes de langage et d’écriture occidentaux pour abuser son auditoire et adapter son discours aux opinions publiques européennes ainis abusées, trompées. Les médias ont été longtemps dupes.

D’autres « penseurs », des saoudiens principalement, ont assuré le « rayonnement » du salafisme wahhabite. Citons le cheikh Ibn Baz (1909-1999), précheur d’un islam pur et dur (celui des versets du Coran dits de Médine ? !), Salim bin Fawzan al-Fawzan (très apprècié des salafistes occidentaux : il recommande à ses adeptes de ne pas « ressembles aux mécréants (koufars) dans ce qui leur est spécifique »). Fawzan est de ceux qui incitent les femmes à se « burquiniser » (se voiler intégralement, refusant le voile classique). Citons aussi le cheik Mohamed ibn Saleh al-Otheimine (il interdit aux musulmans de « féliciter les mécréant juifs et chrétiens notamment durant leurs fêtes religieuses ». Citons enfin le cheikh Nacereddine al-Albani (1914-1999), idéologue albano-syrien qui a produit une floraison de fatwas (édits religieux) tout aussi intégristes les unes que les autres prohibant l’usage des médias (radio et télévision) !

6 – Quels sont les relais médiatiques ?

Bien que certains idéologues interdisant les médias (notamment la télévision), d’autres appellent à ce que l’utilisation de ces médias soit exclusivement réservé à la propagation de l’islam (émission La voix de l’Islam, France 2 dimanche matin !). Les chaînes satellitaires arabes accordent une large place à ces salafistes préchant « la bonne parole », dans de multiples directions (Occident comme Orient) avec une certaine surenchère.

 




Des morts et des blessés à Strasbourg : attentat terroriste


Argos Panoptés déchaîné

Argos panoptès

Information

Hier soir, 11 décembre 2018, les radios faisaient état vers 19h d’une fusillade à Strasbourg. Au fur et à mesure de la soirée se précisait un bilan catastrophique, au moins 3 morts et 12 blessés. Cliquez sur ce lien pour plus de détails. Ce matin, 12 décembre, le bilan était revu un peu à la baisse :

  • 2 morts (hélas !)😢,
  • 1 blessé et état de mort clinique (hélas !)😢,
  • 12 blessés dont 6 dans un état d’urgence absolue, pronostic vital engagé🤦‍♀️.

L’auteur présumé de cet acte odieux est un certain Cherif CHEKAT, 29 ans, français d’origine maghrébinefrown né à Strasbourg, titulaire d’un impressionnant pedigree de délinquant multirécidiviste depuis son plus jeune âge, condamné à 27 reprises en France, en Allemagne et en Suisse. Pour plus de détails, cliquez sur ce lien vers le site du Progrès de Lyon.

Hier soir 13 décembre 21h00, les médias annoncent la mort du délinquant abattu par une patrouille. 48 h de traque et un résultat : la mort du criminel dénoncé, semble-t-il par une habitante du Neuhoff.

D’après Xavier RAUFER (Criminologue, dans Atlantico décembre 2018 – 3), cet attentat terroriste revêle (nous citons)  « que le bilan sécuritaire de la présidence Macron vire au désastre. ». Plus loin dans son article, l’auteur demande « Comment un islamiste dangereux, criminel et fiché S a-t-il pu passer au travers des mailles de ce filet ? ». Et allant plus au fond du problème, l’auteur met en cause les services du renseignement intérieur (ex DST et RG fusionnés) qui refusent d’admettre le concept d’hybridation entre la criminalité de droit commun, le jihadisme et le salafisme islamique (« à mi-chemin de la terreur et du crime »). Pourtant, au début du quinquennat Macron, une Coordination nationale du renseignement et de la lutte antiterroriste, siégeant à la Présidence élyséenne, a été instituée pour « unifier les cultures et les ripostes de la communauté du renseignement. » La conclusion de Xavier RAUFER est glaçante « Mais à mesure que M. MACRON s’affaiblit, donc n’effraie plus, les mauvaises habitudes reprennent. Chacun se la joue en solo. Les crispations se multiplient. ».

Et qui paie pour cette incurie que dénonce l’auteur criminologue ? « Résultat : Strasbourg, trois morts et 13 blessés. »

Nous nous inclinons devant les victimes et la douleur de leurs familles, nous souhaitons un prompt rétablissement des blessés.

Les ressources existent : des policiers et des gendarmes compétents, des volontaire réservistes citoyens motivés, des jeunes citoyens-citoyennes civiques, etc. Tous sont là, malgré la gabegie régnante.

Un Gaulois civique et citoyen

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Un volontaire de la Réserve Citoyenne de  la Gendarmerie Nationale

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Des penseurs en terre d’islam

Introduction au problème

Allah Akbar

Les lois de la République, notre Constitution en particulier et d’autres, garantissent à tous la liberté de pensée et par là, la liberté religieuse, celle de croire ou de ne pas croire. Cette loi s’impose à tous. Tous, quelque soit sa religion. La loi républicaine ne saurait tolérer que d’autres lois prétendent lui être supérieures.

Il y a dans le monde une religion qui prétend imposer sa loi, l’Islam dans sa forme radicale ou islamisme qui se veut pouvoir spirituel et temporel ! S’inspirant d’un livre réputé être une dictée divine, le salafisme (religion des ancêtres ou salafs) prétend revenir aux fondamentaux. Quels fondamentaux ? D’autres religions dont celles de la famille chrétienne disent qu’il faut aimer ses ennemis. On ne peut aimer que ce qu’on connait. D’où des centres d’études ayant l’Islam pour objet à l’image de ce centre dominicain installé en terre d’Islam, au Caire, dans un couvent de frères dominicains. Dans le sillage de l’Ecole biblique de Jérusalem et de l’Institut pontifical d’études arabes et d’islamologie des Pères Blancs de Tunis (fondé en 1926). La revue mensuelle « FC Famille chrétienne » (17-23 février 2018, n° 2092)relate un reportage chez les dominicains du Caire. Les pages 20 à 31 ont retenu notre attention.

1 – Une bibliothèque de recherche

Un catalogue de bibliothèque riche qui est utilisé par des étudiants(es) de l’Université Al-Ahzar viennent y travailler leurs thèses. Ils sont plusieurs dizaines par jour. La numérisation des ouvrages avance à grands pas (au cas où ?).

2 – Penser l’Islam au delà des clichés

Sunnisme, chiisme et salafisme sont sous la loupe des chercheurs. La recherche porte aussi sur les origines officielles de l’Islam (SIRA ou biographie de Mahomet, Hadiths ou anecdotes et et propos rapportés) mais aussi les sources profanes, non-islamiques.

L’article (pp. 26-31) met en garde sur une approche manichéenne, sans nuances, de l’Islam Tout n’est pas blanc ni noir. « L’Islam n’est pas un objet qu’on peut regarder avec détachement comme si l’on assistait à un cours au Collège de France sur les Mayas ou la Rome antique. ».

2.1 – Schizophrénie ou souffrance ?

Les chercheurs mettent évidence la schzophrénie de l’Islam mais aussi la souffrance. Nous avons retenu que « pendant des siècles, les musulmans ont vécu avec la certitude de professer la religion qui parachevait les deux autres étages de la fusée : judaïsme et christianisme. ». L’Islam n’est plus, comme au XIIe siècle le sommet de l’avance scientifique et culturelle. Les musulmans se sentent la lanterne rouge du monde politique, social. Si en économie, le pétrole assure des revenus sans travailler, il apparaît que l’atome échappe encore aux pays musulmans.

2.2 – Salafisme ?

Le salafisme, récemment imposé comme orthodoxie ou comme référence majeure de l’Islam est présenté comme un enfant de la modernité. « C’est un mouvement moderne, né au moment où la société islamique traditionnelle a été mise en crise par la modernité occidentale, dont la domination a été totale (technique, scientifique, militaire …) ».

Celà pourrait expliquer la véhémence des propos des Imams salafistes qui traient les chrétiens de fils de porcs et les juifs de fils de singes (ou vice-versa). Les singes juifs dont les armes tuent impunément des musulmans occupent leur pays biblique, la source de leur judéité !

2.3 – Athéisme et Islam

Dans le monde musulman actuel l’athéisme est inconcevable (il fait partie de la liberté religieuse garantie par nos lois). La pénétration de la modernité occidentale dans le monde arabo-musulman en est la conséquence. Pourtant, c’est un sujet tabou dans 13 pays musulmans qui en font un délit condamnant à la peine de mort ! Les musulmans apostats disent que « DAECH fait office de vrai repoussoir ». Les membres du « Conseil des ex-musulmans en France » réclamment « l’interdiction de toutes des formes de menaces et d’intimidations religieuses. ».

3 – En conclusion ?

La religion des musulmans doit évoluer. Comment, là est le problème ! Qui doit la faire évoluer ? Les musulmans modérés désireux de vivre en paix !


extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

Un observatoire




Un mort, quatre blessés à Paris : DAECH revendique

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Information

Hier soir, 12 mais 2018, un islamiste radicalisé tue une personne et en blesse quatre à Paris (2e). L’assaillant a été abattu par la police. Cliquez ce lien pour lire l’information.

Les informations commencent à émerger dans les médias. L’identité de l’assaillant est désormais connue. C’est selon les autorités un « Français né en Tchétchénie » et fiché S. Un Tchétchène, Khamzat Azimov (Site France-Info), naturalisé français conséquence de la naturalisation de sa mère en 2010, alors qu’il était mineur (13 ans) !

Europe-1 disait ce matin, 14 mai 2018, que la Tchétchénie est un vivier de terroristes islamiques. N’oublions pas que le chef de DAECH « Al-Baghdadi avait appelé à frapper directement sur le sol européen d’une part et par tous les moyens que ce soit d’autre part ». Le terrorisme islamique est SANS FRONTIERES, les nationalités n’ont pas de valeur sauf que l’origine communautaire joue à fond !

Tuer des français, belle façon de remercier la France qui les a accueillis et soustrait à la vindicte russe. Celà s’appelle réchauffer des vipères dans son sein ! Ou formulé autrement «Nourris des corbeaux, ils t’arracheront les yeux.» (proverbe espagnol transcrit). Le site France-Info parle d’une filière caucasienne ! Quoi qu’il en soit, les parents sont responsables de l’éducation de leurs enfants.

Plus que jamais, il appartient aux citoyens de se mobiliser. Plus que jamais, la question des citoyens vigilants et actifs engagés dans les réserves citoyennes et la Garde Nationale, sous contrôle des autorités, cette question se pose de manière aigue. Les policiers du renseignement sont débordés, ils doivent faire des arbitrages sur les moins dangereux ! Khamzat Azimov était réputé « peu dangereux » !

Peu dangereux, voire ? Les signaux faibles sont importants à suivre ! Nous devons être sur nos gardes, la France a le droit de se défendre.


extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

Ici on s'honore du titre de Citoyen




Un Islam compatible avec les valeurs républicaines

Pour en parler

Un récent débat relance la polémique entre la compatibilité entre un islam de France et un islam importé de l’étranger. Tout tient dans l’interprétation qui est faite du livre sacré des musulmans : le Coran. Depuis le 7e siècle, ce livre réputé incréé, copie conforme de celui qu’Allah garde auprès de lui et dont il a fait descendre une copie à son prophète, est lu et interprété de manière très différente par les imams, les muftis et les ulémas des divers pays musulmans.

L’Islam des origines (La Mecque, Médine, la Mecque) est celui d’un jeune caravanier qui épouse une riche veuve, commence ses révélations qui dérangent, s’enfuit à Médine et revient en chef de guerre et massacre ses ennemis au rang desquels les Juifs de Médine puis de La Mecque.

L’Islam des origines est celui d’un chef de guerre conquérant dont les successeurs vont partir à la conquète du monde «tout le monde» écrira le Pakistanais Abu Ala Maududi (1903-1979). Les fondamentalistes ne veulent pas entendre parler de séparation de la religion et de l’Etat.

Il y a incompatibilité totale entre le fondamentalisme islamiste et les valeurs démocratiques dans la mesure où le pouvoir qui vient de Dieu (les fondamentalistes : la théocratie) est incompatible avec le pouvoir qui vient du suffrage du Peuple (la démocratie) ou formulé autrement la loi de Dieu qui veut primer sur celle du Peuple !

Ceux qui prêchent pour un Islam du 7e siècle n’ont rien à faire dans notre République. Place veut ve veute à ceux qui vont faire un ijtihad et mettre en place une vraie religion qui ne veut pas reconnaître notre république qui assure la liberté de croire à chaque citoyen, dans la mesure où ses croyances respectent les lois en vigueur.

Alors, au travail. Les musulmans sont seuls à décider s’ils veulent réfléchir, travailler dans l’ijtihad, l’effort de réflexion.


Un Auditeur IHEDN 1985




Un nouvel islam apaisé ? Entendu sur Fréquence Protestante

Argos Panoptes observe et note.

Information

Entendu le 27/04/2018 sur la radio Fréquence Protestante.
M. Dalil Boubaker n’a pas compris !
L’Islam du 21e siècle ne peut être celui du 6e siècle ! L‘ijtihad (arabe : ijtihād, اِجْتِهاد ), doit prévaloir sur le jihad.
L’ijtihad est un effort de réflexion qui doit être celui des Ulémas et des Muftis.

Argos Panoptes




L’Islam et le peuple juif

Le problème


L’Islamisme ou islam rétrograde, fondamentaliste et radical entretient, depuis des émetteurs impossibles à contrôler, une propagande antisémite que notre pays ne peut pas tolérer. Le quotidien Le Parisien de ce jour 22 avril 2018 publie un manifeste de 250 personnalités dont 3 anciens Premiers Ministres.

Cette propagande, venue de l’étranger est diffusée par des satellites, chauffe à blanc des quartiers (territoires perdus de la République ?). Il en résulte un anti-sémitisme rampant qi est en train de gagner du terrain dans notre pays. Si rien n’est fait, c’est toute une frange de notre population qui est stigmatisée au nom d’une religion dont les écrits diffusent depuis des siècles une doctrine parfois contradictoire mais intangible.

Pour comprendre le danger qui nous menace, parmi plusieurs ouvrages, il convient de citer et d’inviter à lire celui de Mark A. Gabriel «L’Islam et le peuple juif»(Editions Ourania (Romanel-sur -Lausanne, Suisse), 2012).

L’ennemi n’est pas le Musulman (selon Mark A. Gabriel)

Mark affirme que l’ennemi n’est pas le Musulman qui est berné par l’Islam. Il vient d’un pays islamique et les Musulmans étaient sa famille avant qu’il ne se convertisse, lui qui était professeur d’histoire islamique et diplômé de l’université Al-Azhar.

«La religion musulmane s’appelle l’islam et c’est elle qui engendre les mauvais comportements et les problèmes. Les musulmans sont les premières victimes de l’islam : dans le monde entier, ce sont eux qui souffrent le plus de l’islam. A cause de l’islam, ils passent leur vie à essayer de plaire à Allah, sans jamais avoir l’assurance qu’ils y sont parvenue. A cause de l’Islam, ils meurent en combattant pour Allah, dans l’espor qu’ils iront au paradis. A cause de l’islam, ils ne savent pas comment se pardonner à eux mêmes ni commet pardonner aux autres.»

Il conclut «Détestez l’Islam mais aimez les [êtres humains] musulmans. Si vous avez des amis ou des connaissances et des voisins musulmans, soyez bons envers eux.».

Pourquoi ?

Un peu d’histoire

Selon Mark A. Gabriel, les récitants (récitateurs ?) du Coran sont très appréciés dans les familles musulmanes pieuses. Il leur arrive de raconter de drôles d’histoires dont leurs auditeurs sont friands. Ils n’inventent rien, ils se contentent de réciter ce qu’ils savent. La Sourate 5 (Al Maïdah – La table est servie) parle « d’infidèles transformés en porcs et en singes ». De même, la Terre serait plate, portée par 4 éléphant montés sur une tortue … !

On trouve au verset 60 : «Dis: « Puis-je vous informer de ce qu’il y a de pire, en fait de rétribution auprès d’Allah? Celui qu’Allah a maudit, celui qui a encouru Sa colère, et ceux dont Il a fait des singes, des porcs, et de même, celui qui a adoré le Tagut, ceux-là ont la pire des places et sont les plus égarés du chemin droit« .».

Au verset 61 et suivants (62, 63, 64, …, 70) il est d’abord question de Juifs puis de gens du livre. Le voisinage est fâcheux puisque Mark A. Gabriel rapporte que les auditeurs comprennent que «Ce sont les juifs qui ont été maudits et tranformés en singes et en porcs, parce qu’ils étaient rebelles contre Allah et qu’ils ont persécuté ses prophètes»

Comment ne pas s’étonner de la haine multiséculaire entre Juifs et Musulmans ? Ces phrases de haine sont extraites du «Saint Coran». Il se dit qu’«Allah ne ment jamais et qu’il n’y aura jamais la paix avec les Juifs jusqu’au jour du jugement [dernier].».

Les peuples de l’Arabie au temps de Mahomet

Au temps de Mahomet, l’Arabie était peuplée de tribus dont certaines étaient juives, d’autres chrétiennes. Un cousin de la future épouse de Mahomet, Khadidja, était Warakat bin Neufal, un des hauts responsablesde la plus grande église (chrétiens ébionites ou nestoriens ?). Ce christianisme était là, différent de celui décrit dans le Nouveau Testament. Les juifs, pour certains étaient messianiques (chrétiens sans avoir perdu leur judéité). Il y avait aussi des idolâtres.

Tradition et Coran

La tradition est représentée par un ensemble de récits sur la vie de Mahomet, les Hadiths. Ce sont des récits :

  • de paroles supposées avoir été dites par Mahomet.
  • des actes de Mahomet,
  • des évênement survenus en présence de Mahomet,
  • des paroles de d’Allah ne figurant pas dans le Coran (hadiths qudsi).

Selon Malek Chebel et Malcolm Clark (L’islam pour les nuls.- First Editions, 2008), les hadiths servent à l’édification des Musulmans. Comment se positionner vis-à-vis de la modernité et des régimes démocratiques ?

Islam de France

Les musulmans contemporains se classent en quatre catégories :

  • les musulmans modérés qui mettent en pratique certains enseignements de l’Islam mais ne veulent rien faire de difficile ou de contraire aux lois de la France,
  • les musulmans convaincus qui font beaucoup d’efforts pour conformer leur vie aux enseignements de l’islam : ils prient cinq fois par jour, font l’aumône et observent le jeune du Ramadan mais hésitent à entrer en conflit avec les lois de la République.
  • les musulmans orthodoxes, qui sont des convaincus mais veulent, de surcroît revenir aux enseignements du 7e siècle, se laissent souvent pousser la barbe.
  • les musulmans radicaux ou fanatiques sont des musulmans convaincus qui mettent la tradition en action et militent dans des organisations extrémistes (Hams, Al Quaida) ou partent rejoindre DAECH, au nom de la guerre sainte. Ils vont tuer et être tués en Syrie ou dans nos villes.

La question se pose car il n’existe pas de hiérarchie institutionnelle, du moins chez les musulmans d’obédience sunnite. Les réactions aux divers attentats, dont celui du 11 septembre ont entraîné des réactions diverses selon la catégorie à la quelle ils appartiennent.

Citoyen et musulman

Il est inadmissible que les musulmans écoutent les paroles de haine venues de l’étranger. L’esprit citoyen va-t-il prendre le dessus sur l’esprit communautaire ?

Le contrôle des satellites diffuseurs

Il existe un mode de diffusion «universel» : les satellites. Ce média nécessite des moyens technologiques très sophistiqués :

  • les lanceurs de satellites,
  • les constructeurs,
  • les exploitants.

Un des principaux exploitants est français, il s’agit d’Eutelsat., société dont un des actionnaires serait la Caisse des Dépôts et Consignantions. Est-il un des diffuseurs de la haine qui se déverse sur non concitoyens de confession israélite, haine que dénoncent nos 250 intellectuels français ?

NOtre gouvernement peut et doit exercer un strict contrôle sur tous les prêcheurs de haine, au sol comme dans l’espace.


Un Auditeur IHEDN 1985




Embrigadement des jeunes


Argos Panoptés déchaîné

Argos panoptès

Introduction

Un barbu
Dans ses écrits, le fondateur des Frères Musulmans, Hassan El-Banna dit vouloir «un individu musulman dans sa pensée et dans sa croyance, dans sa moralité et dans ses sentiments, dans ses actes et ses comportements. C’est une formation à l’échelle de l’individu.» Il dit attacher une grande attention à la formation de la jeunesse. Tous les régimes totalitaires que nous connaissons ont ce souci : s’emparer de l’esprit des jeunes et les modeler à leur idéologie. Les écoles coraniques sont un des éléments de cette prise en charge. On y apprend le Coran par coeur, sans n’y vraiment rien comprendre.
Comment expliquer l’influence des prédicateurs « barbus » pour susciter ce fanatisme chez les jeunes qui partent vers les théâtres d’opérations ? Les réponses sont multiples. En fait, il s’agit du processus de radicalisation qui va mener un ou plusieurs jeunes vers le crime terroriste, au non d’Allah.

1 – Le culte de l’héroïsme

Le culte de l’héroïsme s’incarne dans limage du martyr qui va accèder directement au paradis et à ses félciités, par le sacrifice qu’il fait. Le jeune jihadiste devient indifférent à l’idée de la mort, celle qu’il va donner, comme la sienne. La vraie vie pour eux est au paradis, il faut la mériter par le sacrifice (chahid) en mourant dans le meurtre des ennemis. La seule attitude légitime est de tuer et de mourir. Ceci découle des règles intransigeantes qui rendent obligatoire l’affrontement entre les «vrais musulmans» et les infidéles (les kafirs).
La chahada (la profession de foi islamique «Il n’y a de dieu qu’Allah et Mohamed est son prophète» ne fait pas que proclamer l’exclusivité de Dieu, mais nie le droit de vivre aux infidèles. Le vison jihadiste n’est pas seulement inhumaine, elle est profondément deshumanisée. L’infidèle ne peut échaper à la damnation éternelle que par son ralliement et sa conversion. Celà résulte de la vision jihadiste du monde, profondément dichotomique, basée sur un affrontement absolu entre le bien t le mal. Seul est admis le retour aux traditions originelles, radicales, des salafs. Les matrices afghanes et syro-irakiennes ont fonctionné : 2 millions de morts en Afghanistan.
Ceci ne suffit pas à expliquer le passage à l’acte criminel. Alain Bauer, François Freynet et Christophe Soullez ont écrit un livre «Comment vivre au temps du terrorisme»(First Document, First Editions, 2017) om le phénomène de radicalisation est passé au crible de nos connaissances (p. 136-145).

2 – L’hybridation

C’est le processus dans lequel il y a une tendance des groupes terroristes à s’impliquer dans des activités illicites :

  • pour leur financement, par le trafic de drogue ou des attaques de banques,
  • comme but en soi.

L’exemple en est donné de Khaled Kelkal ( en 1995) puis avec le gang de Roubaix (1996). La France connaît la douloureuse expérience des hybrides navigant entre les fichiers de police (renseignements et police judiciaires), échappant à l’attention de services incapables de dépasser leurs cloisonnement (guerre des polices). D’autres exemples nous montrent aux USA où mène l’aveuglement et la naïveté, avec les deux tchetchènes Djokar et Tamerlan Djojhar, radicalisés par Internet (revue Inspire). Cette revue a été interdite et son site démantelé.

2.1 – Les loups solitaires

Cette expression désigne un concept fourre-tout parfois hâtivement employé en matière de terrorisme, à tort par les journalistes ignorants et les services de renseignement, comme explication après l’échec de la prévention d’un acte terroriste. Trés fréqu’emment, après coup, se déroule une pelote de fils conducteurs aboutissant au démantèlement de réseaux jihadistes discrets. Nous posons par principe qu’il n’y a pas de loup solitaire !
Il convient de distinguer des fous solitaires.
Les soubresauts de l’agonie du courant Al-Qaïda ont conduit à la situation actuelle qui prolonge la disparition progressive des actions de terrain extérieures à la France.

2.2 – La radicalisation 2.0.

Bauer et al. font état des centaines de jeunes entre deux cultures, nés ou élevés en Occident, indécis sur leurs racines et qui partent combattre en Afghanistan, en Tchétchénie, en Bosnie, en Irak ou en Syrie, poussés par des prêcheurs de haine aussi discrets qu’efficaces.
Auprés des jeunes délinquants, le discours du martyr pardonné par Allah par son sacrifice, attendu par des vierges éternelles au paradis, ce discours semble porter. La radicalisation des jeunes nés en Occident et perméables à la culture du pays d’accueil semble difficile à comprendre. Que dire des jeunes nés de familles non-musulmanes qui se tretranchent ensuite dans l’interprétation la plus rigoureuse et la plus extrémiste de leur nouvelle foi ?
Le refus du matérialisme, de la pornographie permet de se radicaliser dans une religion de conte de mille et une nuits.

3 – Le milieu carcéral

Le passage en  milieu carcéral est un dénominateur commun à de nombreux jeunes radicalisés. On sait depuis longtemps que pour des jeunes délinquants, l’incarcération constitue une Université du crime. Il en va de même pour le jihadisme et la criminalité islamiste. La contamination des adultes rédicalisés de propage aux jeunes. Les jeunes délinquants sont fortement inlluençables et font la connaissance d’apprentis jihadistes mûris ou d’individus déjà passés à l’acte.

3.1 – Endoctrinement sectaire

L’endoctrinement pas des imams salafistes ou autres se fait de la même manière que dans une secte :

  • briser le lien familial (familles, copains, …),
  • briser les contours identitaires,
  • effacer les souvenirs,

3.2 – Dialectique

Les extrémistes usent d’une dialectique visant à faire de leur religion la seule susceptible d’apporter la rédemption et la vérité au futur jihadiste.

3.3 – Populations concernées

On ne doit pas avoir d’à-priori sur le profil du futur radicalisé. Le phénomène peut toucher autant des jeunes disposant d’une bonne situation professionnelle ou d’une bonne culture universitaire. elle peut aussi toucher des jeunes sans qualification professionnelle et ayant grandi dans une famille déstructurée.
Dans ce dernier cas, l’abandon à la suite d’un divorce (répudiation facile en islam et polygamie) est un puissant facteur de déstabilisation familiale comme le montrent des exemples récents.

En conclusion

Il y a alors un rejet de la société dans laquelle ils vivent avec la haine des valeurs du monde occidental. Ils se réfgient dans l’interprétation qu’ils vont faire et:ou qu’on va leur fournir sur la nécessité d’imposer un islam idéalisé et radical face à la décadence de l’Occident impie. L’Internet contribue à en faire des autodidactes du terrorisme avec les images des drapeaux noirs et des kalachnikovs
 

extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

Ici on s'honore du titre de Citoyen




Aucune femme ne devrait être obligée de porter un voile

Protestation


Le niqab au Yémen (illustration Wikipedia)

Monsieur Emmanuel Macron, Président de la République, a déclaré que «le voile des femmes musulmanes (ou le foulard) n’est pas conforme à la civilité de notre pays». Je traduis par ne fait pas partie de notre culture. «Aucune femme ne doit être obligée de la porter.»

Le foulard n’est pas une mode, c’est une provocation à nos valeurs républicaines citoyen-citoyennes, la liberté de la femme reconnue aux citoyennes de s’habiller comme elles le veulent. La France donne la liberté !

Les islamistes se servent du voile pour afficher et affirmer leur présence.

Il y a des pays musulmans (islamistes ?) où les femmes se battent pour ne pas le porter.




Le fascisme vert


observatoire phare

Argos Panoptes

Nous observons, nous avons l’oeil !

Argos Panoptés

Introduction

Une héroïne

Illustration Wikipedia.

Mme Zineb El Rhazoui est une rescapée de l’équipe de journalistes de Charlie Hebdo. Cette journaliste est née au Maroc et a publié de nombreux ouvrages dont «Détruire le fascisme islamique » (Edition Ring, 2017, 70 p.). Ce fascicule dénonce sans langue de bois, avec densité, tout ce que l’islam rigoriste veut imposer à notre civilisation et à notre culture et à nos racines chrétiennes.

Le premier chapitre de cet opuscule est consacré à dénoncer l’islamophobie, concept derrière lequel un Collectif Contre l’Islamophobie s’abritent des islamo-fascistes de tout poils désireux de faire prévaloir la loi de la Charia sur celle de la répubolique et de faire de l’islamophobie un «crime raciste». Que recouvre ce concept :

  • phobie : peur angoissante présentée à tort comme une attitude hostile pour justifier une répression ; comment empêcher un citoyen d’avoir peur en le menaçant des foudres de la loi alors que la phobie peut être parfaitement justifiée ;
  • islam : religion fondée sur le Coran et le Prophète d’Allah et dont les évênements récents, crapuleux, sanglants, aux cris d’«Allah Akbar» ne sont pas pour nous rassurer.

Loin de nous de stigmatiser des musulmans alors que les islamistes font tout pour les aglommérer en une communauté homogène. Or, on ne peut en aucun cas considérérer la communauté des Croyants comme homogène, ce que voudraient faire croire les islamo-salafistes et jihadistes. Pour s’en convaincre, il faut lire deux ouvrages «… pour les nuls» : «Le Coran pour les nuls» et «l’Islam pour les nuls». Feu Malek Chebel est partisan d’un islam réformé séparant l’aspect temporel et l’aspect spirituel. De quoi faire hurler les salafistes. Malek Chebel pose la question «Qu’est-ce qu’un vrai musulman ?».En face, Zineb présente les aspects les plus négatifs de l’islam et notamment les versets et les aspects les plus noirs  du Coran et de la vie de son prophète «le beau modèle». Elle cite Faradj Fouda (assassiné), Sayyid al-Qimni, Nasr Hamed Abu-Zayd, Hoda Shaarawi. Elle évoque les centaines d’écrivains poètes, artistes, féministes et journalistes, nés musulmans qui se sont opposés avec force et érudition au projet islamo-salafiste.

Zineb conclut :

«Aucune démocratie n’a le droit de se détourner de ses valeurs par complaisance envers ceux qu’elle estime être «faibles». Les valeurs républicaines sont faites pour tout le monde et le rappeler c’est revendiquer le lien indéfectible entre la République et tous ses enfants.».


extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1980

Un observatoire