Voir les choses en face

Les banlieues de notre pays ont vu s’installer, avec les populations immigrées, une religion qui prétend à exercer un pouvoir temporel, associant politique et croyances. C’est l’islamisme, une version radicale, c’est à dire revendiquant les racines de l’Islam. Cet Islam n’admet pas le concept de laïcité, l’Islamisme est contre la République et prétend imposer la loi d’Allah (Dieu) au-dessus de la loi de la République. Cette religion a ses propres écoles dites école coraniques où est enseigné un Islam radical sous couvert de l’enseignement de la langue arabe du Coran. Ces écoles dissimulées enseignent aux jeunes la haine du koufar (l’incroyant, celui qui ne reconnaît pas Allah).

Alors, pourquoi s’étonner que de charmants bambins de 11 ans profitent et participent aux urgences urbaines en mettent le feu aux écoles publiques, celles où on enseigne le vivre ensemble et la tolérance de la religion de l’autre. L’école de la république est victime de cette 5e colonne jihadiste qui eseigne à ses enfants la haine de notre démocratie laïque. Allez et brulez ces nids de koufars ! Pour nous, ce sont des délinquants juvéniles à redresser et à rééduquer. Pour leur communauté ce sont de vaillants petits soldats d’Allah ! De futurs shaids (martyres).

A méditer. A suivre.

Jean Aymar

 




On vous l’avait dit, c’est arrivé

Le contexte

La chienlit provoquée par les vélorutionnaires-écolos-peau-de-lapin de Montpellier a failli faire une victime. Ces apprentis sorciers obnubilés par leur prurit vélorutionnaire, avec leur chef en tête, se sont mis dans la tête de mettre en place une écologie répressive. La répression est dirigée vers les automobilistes, quelle que soit le mode de propulsion de leur voiture : électriques, moteur thermique dièsel ou essence, propulsion hybride, … Les blocs de béton posés à tort sur l’avenue Albert Dubout ont failli provoquer un drame. L’accès difficile des secours au collège Gérard-Philippe, d’après Midi-Libre a rendu impossible l’accès des véhicules à moteur des pompiers de Montpellier qui avaient été appelés par les autorités du collège “Gérard Philippe”. Une jeune élève de 5e ayant fait un malaise, les secours n’ont pu arriver au collège, les entrées de secours étant inacessibles aux véhicules de secours !

La réponse

La Métropole, en la personne de Mme Julie Frèche, Déléguée au Transport, Mobilités actives, a répondu à notre quotidien Midi-Libre. Cette réponse ne fait aucune mention de mea-culpa de l’élue. Gouverner c’est prévoir, d’autant plus que des parents d’élèves avaient alerté les autorités municipales sur le danger que faisait courir en cas d’accident la difficulté des secours à arriver. Heureusement pour Mme Frèche : la jeune élève a pu regagner son domicile dans la soirée ! Est-ce que l’élue apprentie sorcière vélorutionnaire mesure l’importance de sa responsabilité, de sa légèreté ? Nous avons employé le terme de chienlit si cher à un de nos généraux devenu Président de la République ?

Conclusion

Vous étranglez la circulation des automobiles, vous asphyxiez Montpellier, vous rendez la circulation des secours difficile, voire impossible dans notre ville et ce au frais des contribuables à qui ces “aménagements” coûtent la peau des fesses ! Dehors, démission des incapables qui mal conseillent notre Maire et Président ! Ce sont des nuisbles inutiles !

Le Père Siffleur
Contribuable de l’Hérault
Lanceur d’alertes




L’obscurantisme inquiétant


extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

Un observatoire

Les anti-vaccins et anti-pass ont eu la liberté de manifester librement sur la voie publique, montrant par là leur ignorance feinte ou voulue. Il convient de mettre les choses au point, citoyens ! Citoyen, un grand nom pour des gens instruits et qui sont de grands amateurs de liberté. La liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres. Est-t-on libre de ne pas se vacciner au risque de transporter un virus potentiellement mortel et d’infecter les autres ? La réponse est celle d’un citoyen responsable : non ! On n’a pas le droit d’être porteur d’une maladie grave, mortelle, alors qu’existent des moyens de détecter sin on est porteur et que la vaccination protège contre la maladie ! L’intérêt général commande de se faire détecter si l’on ne veut pas être en contact avec les autres qui ne sont pas malades. C’est le virus qui nous l’impose. Peut-être l’hydroxychloroquine interdite par le gouvernement de M. Macron pourrait être ajoutée aux gestes barrières ?


Je suis un Citoyen, avec un C majuscule, un Patriote ennemi de toute forme de dictature de tout fascisme, un ancien élève des Instituteurs descendants et héritiers de ces Hussards noirs de la République, des maîtres qui connaissaient par coeur notre histoire et l’enseignaient sans notes et sans cahiers. J’ai été l’élève de nos Professeurs d’Histoire naturelle qui de la 6e à la Terminale nous ont enseigné les Sciences naturelles et en 3e la magnifique histoire de Pasteur, ce chimiste qui a découvert les microbes et les vaccins !

Louis Pasteur
Louis Pasteur dans son laboratoire

A mon tour, devenu licencié és-sciences, diplômé d’études supérieures de biologie, j’ai enseigné de la 6e à la Terminale sciences expérimentales cette magnifique histoire naturelle que l’on dénomme de nos jours SVT (sciences de la Vie et de la Terre) avant de soutenir un Doctorat de Sciences Biologiques option Ecologie. Je suis un sachant, un retraité qui a mis son savoir et ses connaissances au service de sa patrie, Volontaire de la Réserve Citoyenne de la Gendarmerie Nationale (VRCGN).

Logo Gendarmerie Nationale
Logo Gendarmerie Nationale

Nous sommes face à un ennemi implacable qui a fait plus de 100.000 morts dans mon pays, j’ai nommé le Corona-Virus n° 19, le CoVid-19, un ennemi visible, implacable, qui produit des variants dans le monde entier. Les moyens de détection ont été mis en place, les moyens pour vacciner aussi. Ce virus a hélas des ennemis, des idiots utiles que je contemple en ce moment à la télévision saccageant devant une pharmacie une tente où on offre la détection du virus, gratuitement. Honte à vous idiots utiles du virus, mélanchonistes déambulant avec la violence au poing : imbéciles, idiots, ignorants ou faisant semblant de l’être ! Je suis pas tendre envers ceux qui marchent aux côtés de nos gouvernants mais ils ont enfin, oui ENFIN, fait ce qu’il fallait pour combattre le dictateur-virus CoVid-19 agent du Sars-2. L’obscurantisme est SON allié, un allié redoutable. Heureusement, plus de 44 Millions de vaccinés sont là pour témoigner l’efficacité du vaccin ! 486.000 vaccins administrés par jour ! Vous perdez, votre allié le virus aussi ! Il ne passera pas !

Mauvais garnements, sauvages, vandales, la fin de la récréation doit être sifflée et la liberté de rétablir la santé des français doit régner partout en France. A bon entendeur, salut.

VRCGN34-1
Docteur en sciences biologiques
Ecologue et écologiste indépendant

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Un volontaire de la Réserve Citoyenne de la Gendarmerie Nationale

Logo IHEDN




Antivaccinations : CQFD

Un coronavirus

En faut-il encore d’autres ?

Ce qu’il fallait démontrer ! A la Martinique, deux leaders syndicaux anti-vaccinations décédés. Il semblerait que ces deux victimes de leurs préjugés aient contracté la maladie du CoVid19 pendant une réunion avec le Préfet.

Un des défunts était un leader du mouvement anti-vaccinations, Alain Decaille, « était l’un des membres de l’intersyndicale qui avait appelé à la grève générale, le 22 novembre, contre l’obligation vaccinale et le passe sanitaire, en soutien aux soignants ». Le virus SarS-2 ne fait pas de politique ni de syndicalisme. Il ne faut pas confondre.

Le Préfet, lui, était vacciné, il a fait une forme légère, il est en voie de guérison. Les deux antivaccs, eux, sont partis ! C’est un cas entre autres, où le vaccin protège contre les formes graves.


Un citoyen-biologiste très en colère !
respectueux des lois républicaines




Les obscurantistes sont parmi nous


extrait bandeau IHEDN site institut

Une information vient d’être publiée La Mouette ! Inadmissible ! Un petit entrefilet en page 8 du n° 945 de juillet 2021 nous révêle l’existence d’un CPHCVO dans les CHU de Montpellier. Nous décryptons : collectif du personnel hospitalier contre la vaccination obligatoire et le pass sanitaire !!!

Inadmissble, vous avez bien lu ! Nous sommes revenus à l’âge de l’obscurantisme ! Dans un établissement public destiné à soigner des malades et non à les infecter, à les rendre sains, des personnels se permettent de mettre en avant le droit à ne pas prévenir le CoVID19, un virus mortel qui a fait 100.000 décès en France ! Le vaccin est le moyen le plus sûr de barrer la route au virus et à ses variants.

Des personnels qui refusent de se vacciner n’ont rien à faire dans un établissement de soins. Il y a d’autres métiers.

Ecrivez leur, exprimez leur votre désapprobation : cphcvo@protonmail.com. Personne n’est obligé de travailler dans un centre de santé publique au risque de contaminer ses contemporains. Le CoViD19 est potentiellement mortel.

Avant de soigner les autres, il convient de se protéger pour ne pas être un vecteur de la maladie !


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Un citoyen très en colère !
respectueux des lois républicaines

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Nous nous inclinons devant les victimes du devoir

Rouget de l'Isle chante la Marseillaise
Rouget de l’Isle chante la Marseillaise

Hommage à nos forces de l’ordre. Trois gendarmes tués, abattus, un gendarme blessé, à Saint-Just prés d’Ambert (Puy-de-Dôme). Un carnage perpétré par un forcené lourdement armé qui s’est suicidé. La Gendarmerie Nationale est en deuil, trois familles sont touchées, les chefs de famille ne sont plus, victimes de leur devoir de militaires au service de la Nation.

Volontaire de la Réserve Citoyenne de la Gendarmerie Nationale (VRCGN), mon devoir est de rendre hommage à l’action de ces militaires, cueillis par surprise par un individu lourdement armé qui aurait dû être approché avec la plus grande prudence. Ils ont fait leur devoir, celui d’un volontaire de la réserve citoyenne est de mettre en valeur leur courage. Ils ont sauvé l’épouse ce ce forcené qui s’était réfugiée sur le toit de sa maison.

Force est restée à la loi, honneur aux courageux militaires de notre Gendarmerie Nationale. Respect, reconnaissance, solidarité avec nos gendarmes.

Un VRCGN de l’Hérault
AA-IHEDN
Membre de l’ASAF
Membre associé à l’ASAF


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Un volontaire de la Réserve Citoyenne de la Gendarmerie Nationale

valide votre contribution au blog et s’associe à votre douleur avec respect, reconnaissance, solidarité avec nos gendarmes
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IHEDN snobé ! Un virus MANI-porté ou aéroporté ?

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observatoire phare

Argos Panoptes

Nous observons, nous avons l’oeil !

Argos Panoptés

Un virus MANI-porté ! Aie ! Aéroporté ? A suivre ! Il serait arrivé à pied de la Chine ?

L’armée française et tout ce qui y touche de près ou de loin, comme l’IHEDN, tout n’est pas bon à jeter ! Les médecins militaires sont bons à prendre ! Les CEM contestataires, dehors !

Contribuables de l'Hérault

Signature du Citoyen-Contribuable 34

Contribution validée par le modérateur.

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Nous soutenons le Professeur Raoult


Tableau de Delacroix la Liberté
Tableau de Delacroix la Liberté
Ils veulent sa peau
Ils veulent sa peau

Chers lecteurs, ici NOUS SOUTENONS LE PROFESSEUR DIDIER RAOULT,

Signez la pétition de soutien à Didier Raoult. Nous relayons l’appel de Guillaume Chopin :

Le poids des lobbies pharmaceutiques risque une nouvelle fois d’avoir raison de notre santé…

…et de la voix des gens comme vous et moi.

Il faut tout faire pour éviter ça et faire valoir notre droit à une médecine indépendante et sûre.

En s’en prenant au Pr. Raoult, ils s’en prennent à chacun de nous.

Informez vos amis, vos proches et transférez-leur ce message :

  • envoyez-le par mail
  • faites suivre la pétition sur whatsapp
  • partagez-là sur Facebook

C’est important. La vie de centaines de malades du Covid est en jeu.

Votre dévoué,

Guillaume Chopin


extrait bandeau IHEDN site institut

Jean PEUPLUS
Un Patriote indigné

Tableau de Delacroix la Liberté




Contrer l’islamisation et la radicalisation

Argos Panoptés

In

Contrer l’islamo-jihadisme terroriste

M. Olivier Roy a publié un ouvrage intéressant sur lequel il a été interrogé au Club de la Presse d’Europe1. Il s’est exprimé sur le jihadisme et les jihadistes, apportant une vue nouvelle sur ce phénomène qui nous apporte le terrorisme en France. Il parle d’«islamisation des radicaux » en contredisant Gilles Kepel et ses élèves qui parlent de « radicalisation de l’islam ». Olivier Roy parle de « losers ». Il est vrai que militairement, les partisans de l’État Islamique (ad-dawla al-islāmiyya ou DAECH) a été durement étrillé sur le terrain de l’Irak et de la Syrie. Ils ont perdu mais n’ont pas été éradiqués. Le fondateur de ce mouvement islamiste Abou-bakr-al-Bagdadi est mort au fond d’un tunnel mais des groupes jihadistes, restes du califat, subsistent sur le terrain et ont laissé des relais dans les pays occidentaux, en France en particulier. Comment lutter contre ceux qui ont ce dernier mois, alimenté de manière tragique l’actualité de notre pays.

1 – Un précurseur lanceur d’alerte

Nous ne pourrons dire que nous avons été surpris, surtout en haut-lieu, parmi les hauts-personnages qui nous gouvernent. Xavier Raufer, Alain Bauer, les groupes de travail des Associations régionales des Anciens Auditeurs de l’IHEDN ont suffisamment tiré la sonnette d’alarme. Nous serions gouvernés par des Autistes ou par des gens qui affirment que l’Histoire (avec un H majuscule) commence avec eux. A l’opposé, les scientifiques qui vont traiter un sujet vont rechercher ce qui a été écrit avant eux et en font le point de départ de leur recherche, soit pour contredire, soit pour confirmer et ajouter, de toutes façons, une nouveauté. M. Olivier Roy vient de nous livrer sa version, M. Macron et ses marcheurs devraient bien lire ce que leurs prédécesseurs ont écrit et les lois qui ont été votées. C’est ce que trois auteurs ont publié en 2015 (Le jihadisme: le comprendre pour mieux le combattre.- David Benichou (magistrat), Farid Khoroskhavar (universitaire) et Philippe Migaux (universitaire), Plon (département d’Edit), 2015).

1.1 – un livre a relire

Le livre que nous citons ici est à relire avec attention surtout le chapitre rédigé par le magistrat anti-terroriste (AT) David Benichou (pp. 324 à 403). Les pages consacrées au plan de lutte contre les filères syriennes (pp. 358-368) ont retenu notre attention en les rapprochant des déclarations d’Olivier Roy. Le juge, fort de son expérience de magistrat AT et de son observatoire des phénomènes terroristes nous précise que « Le régime de lutte anti-terroriste est caractérisé par des procédures dérogatoires au droit commun », ce que nous admettons. Les méthodes des terroristes sont abjectes et le fait de lâches. Cependant, avec les autres formes de criminalité, il partage les techniques d’enquêtes strictement encadrées par la loi.

Le juge affirme (page 129) que le terrorisme islamisto-jihadiste emploie les mêmes techniques à la fois ancestrales et modernes : ruse élémentaire (contre-filatures, cloisonnement des moyens de communication) et les formes modernes (navigation Internet, cryptage, détection de micros-espions, de caméras, …). Il affirme que le jihadisme n’est qu’une forme de ciminalité organisée qui emploie régulièrement des anciens braqueurs, de petites frappes (voyous), trafiquants de stupéfiants et de cigarettes, parfaits connaisseurs des techniques d’interrogatoires et d’enquête pour les avoir endurés. Le profil du terroriste se construit avec le temps, soit en prison, soit dans ses quartiers.

1.2 – La stratégie islamo-jihadiste fasciste-terroriste

Quel est le rapport avec l’Islam ? Le jihado-terroriste sait que la liberté de religion est garantie par la constitution. Il va se servir de l’Islam pour semer les graines de la discorde, habiller ses actes crapuleux des valeurs religieuses. Il nous réclame, au nom de nos valeurs les droits et libertés inscrits dans nos textes fondamentaux, pour instituer une organisation totalitaire à caractère religieux (une théocratie). Lui ou ses maîtres à pense osent puiser dans le versets les plus belliqueux du Coran et les hadiths les plus sombres les affirmations les plus radicalement opposés à nos valeurs.

Le juge nous dit (p. 129), en 2015, que « l’assassinat perpétré à Charlie-Hebdo en a été la sanglante démonstration » (refus de reconnaître la primauté de nos lois).

1.3 – Le manque total d’esprit humoristique

La culture moyenâgeuse reçue par les candidats au martyre ignore totalement ce qu’est l’esprit critique et notamment le caractère humoristique d’une caricature. L’humour féroce s’oppose à l’interdiction pour le musulman de représenter un visage, voire un corps humain. Il exprime, certes, une dérision mais celle-ci est permise par la loi de notre pays. C’est un droit de l’homme (être humain) de s’exprimer librement Or, le militantisme islamiste se sert de cette liberté pour protester, il en a le droit mais pas le droit de tuer ou d’inciter un jeune écervelé (à qui on a lavé le cerveau) à parcourir 2.000 km depuis la Tunisie pour venir tuer trois citoyens français dans une église ! La pratique d’un tel islam est incompatible avec nos lois, nous sommes en état de légitime défense.

Le droit à la sûreté figure dans nos lois fondamentales, comme le droit de tirer accordé à nos forces de l’ordre devant un agresseur qui les menace.

Le terrorisme jihadiste est un monstre contemporain, une hybridation d’une sous-culture religieuse, d’une haine anti-juive, d’un fantasme conspirationniste, d’un nihilisme et d’un culte de la représentation de soi, le tout se développant sur des terreaux qui, au fil des interrogatoires judiciaires, commencent à livrer leurs invariants structurants. Le juge Benichou met en avant la fragilité des populations visées plus ou moins en difficultés (famille, revenus, emplois, relations affectives, …) chez lesquelles deux dimensions vont faire basculer le levier de la conversion radicale :

  • conversion au sens propre lorsqu’il sera question d’opter pour l’islam,
  • conversion au sens figuré lorsque le musulman d’origine va opter pour la radicalité, pour un projet collectif ou individuel jihadiste violent.

Toute forme d’humour est exclue de la pensée jihadiste.

2 – La reprise des théses sur la radicalisation

Selon le site d’Europe1 (La Club de la Presse, 4 décembre 2015), Olivier Roy reprend et valide sans la mentionner, l’analyse du magistrat David Benichou publiée la même année. Il va plus loin.

2.1 – L’islam, nouvelle aventure

Olivier Roy déclare que les islamistes radicaux sont « d’abord radicaux avant d’être islamistes ». Ce sont souvent des jeunes qui vont très peu à la mosquée, boivent et vont en boîtes de nuit (le portait de l’assassin de la basilique de Nice Ibrahim Issaoui, à ceci près qu’il n’y a pas de boîtes de nuit à Sfax accessibles à un jeune homme pauvre). Ce sont souvent des petits délinquants qui en quelques semaines se laissent pousser la barbe, cessent de boire et de fumer du shit et basculent vers le crime terroriste. Roy évoque un déclic individuel.

2.2 – Les convertis et les autres

En 2015, Olivier Roy souligne le rôle des convertis dans le jihadisme criminel violent. Un quart de ces individus français sont des français de souche chrétiens convertis ou des enfants de musulmans appartenant à la deuxième génération, souvent en rupture avec la cellule familiale et parentale. Ils trouvent dans l’islam radical et le jihadisme “le grand récit fantasmé des Mille et Unes nuits”. Convertis ou musulmans de souche, ces jeunes qui vont peu à la mosquée ont à peine entendu réciter un ou deux versets du Coran parlant d’épées flamboyantes, de courses à cheval ou à chameau, de butins rutilants, de belles esclaves capturées, … On leur promet monts et merveilles au nom de livres qu’ils sont incapables de lire, ils sont analphabètes en langue arabe ancienne. Mail, il y a le rêve de la reconquête de l’Andalus et de la Narbonnaise ! On ne leur dit pas que Charles Martel (Poitiers 732) a filé une bonne raclée aux Sarrazins d’Abd el-Rahman (tué là).

2.3 – Les shahids et les houris : le paradis d’Allah

Ces nouveaux Aladin (Alaeddine) voient s’ouvrir la possibilité de faire le grand récit de leurs aventures nouvelles sur les médias, de devenir des martyrs (shahids) et l’aller au paradis forniquer des vierges éternelles (houris) pour l’éternité”. Ce que leur ont fait croire des prêcheurs sans scrupules ravis d’avoir de la chair à canons bien fraîche. Du statut de losers (perdants), ces écervelés deviennent des vengeurs aux cris d’Allah Akbar. Ils savent que les policiers ont reçu la consigne de les abattre, au cas où ils dissimuleraient des ceintures explosives ! Ils vont au suicide le coeur joyeux ! en entraînant avec eux le plus possible de victimes chez les infidèles (kouffars). Selon Olivier Roy, en se tuant ou se laissant tuer, ils sont purifiés de leurs forfaits antérieurs et peuvent même gagner le paradis pour leur famille !

Comment lutter contre ce fléau ?

3 – Comment lutter

Lutter contre le terrorisme jihadiste et contre ses inspirateurs (DAECH, Al Quaïda et consorts), selon le politologue Olivier Roy, passerait par « passe par l’épuisement de la fascination », … « en cassant ce discours d’héroïsme que DAECH [et consorts] tient sur lui même ». Or, DAECH est donné comme anéanti mais son discours belliqueux et mortifère a été diffusé et entendu dans le monde entier. Abou Mohamed al-Adnani, le ministre des attentats de DAECH, a trouvé la mort en Syrie le 30 août 2016. Il a lancé un appel au jihad contre la Russie et l’Amérique mais on le soupçonne d’avoir organisé les attentats du 13 novembre 2015 à Paris. Ses appels ont été entendus et sont rémanents malgré sa disparition. Entendus et écoutés en France et à l’étranger.

3.1 – Lutte sur notre territoire national

Comme pour la lutte contre le virus Sars-CoV2 (CoVid19), il faut barrer la route à, tracer et dépister le jihadisme terroriste. Il y a un parallélisme entre virus Covid et le virus terroriste.

3.1.1 – Barrer la route à l’immigration indésirable

Nous devons contrôler l’immigration qui entre en France. Nous devons exercer la Souveraineté Nationale. Nos forces de police et de gendarmerie, notre armée, sont là pour nous protéger. Elles doivent recevoir l’appui des réservistes. Au fait, où est passée notre Garde Nationale ? On n’en entend plus parler ! Elle a disparu ! Il faut y ajouter l’action de nos douanes et de TracFin. Tout ce qui réaffirme notre force et notre souveraineté nationale doit être mis en oeuvre, y compris la vigilance citoyenne. Notre pays a une fâcheuse relation à la vigilance citoyenne qui s’est exercée en 1940-45 par la collaboration avec une puissance occupante. En 2020, nous luttons contre l’occupation d’une 5e colonne terroriste et contre une maladie encore mal connue.

3.1.2 – Renseigner nos dirigeants

Le renseignement intérieur est le phare qui éclaire la route des policiers et gendarmes chargés de réprimer les actes délictueux et, surtout, les prévenir, les empêcher. La Direction Générale de la Sécurité Intérieure (DGSI) est chargée de ce travail indispensable. Au moins un attentat par mois est évité.

Du renseignement à la poursuite judiciaire des crimes terroristes, la question se pose des moyens mis en œuvre et de leur répartition. Comment se fait la mise en œuvre des trois composantes successives du traitement (instruction) d’une affaire de terrorisme (d’après David Benichou, 2015) :

  1. acquisition du renseignement,
  2. enquête judiciaire (enquête de flagrance, ou préliminaire) dirigée par le parquet anti-terroriste, information judiciaire sous la direction des magistrats instructeurs anti-terroristes,
  3. phase du procès devant la cour d’assises spéciale composée de magistrats professionnels puis juridiction d’application des peines.

La communication entre les activités de renseignement dans la plus grande discrétion, leur coordination au sommet de l’Êtat posent le problème des libertés publiques, une dérogation à une instruction de droit commun et le travail en commun renseignement-justice. La problématique jihadiste souligne la pertinence du risque de perte du contrôle démocratique qui s’exerce sur le renseignement.

Le problème de la coordination des services (DGSE, DGSI, DRM, DPSD, DND, DRP, etc.) semble en voie de solution. Se pose alors le problème de la coordination avec les autres pays européens.

3.2 – Lutte sur notre territoire européen

Le problème est soulevé de la création d’une agence de renseignements européenne. Après chaque attentat majeur sur le sol européen, des voix s’élèvent pour demander la création d’une agence européenne de renseignement. Ce problème est loin d’être résolu. « Nous n’avons pas d’amis, nous n’avons que des alliés » dit une membre d’un service de renseignement très fermé, la DPSD.

L’agence Frontex déployée sur les frontières de l’Europe ne semble pas donner satisfaction, l’exemple récent du transit de terroristes à travers l’Italie vers Nice en est un exemple. Notre Ministre de l’Intérieur va rencontrer son homologue italien pour traiter directement le problème du refoulement des indésirables et notamment le cas de ce Tunisien qui ‘na pas déposé de demande d’asile, n’a pas été refoulé et a pu gagner la France et la ville de Nice où il a commis son forfait.

3.3 – Lutte à l’étranger

Hors du territoire national commence le territoire étranger. Une certaine coopération existe avec certains états mais le gros du travail de renseignement est le fait de la Direction Générale de la Sécurité Extérieure (DGSE).

C’est une entité dépendant du Ministère des Armées, travaillant en étroite coopération avec la DGSI, son homologue civil. Bien entendu, ses activités sont secrètes. C’est la condition essentielle de son efficacité. C’est une jeune analyste de la DGSE qui a permis à un drone armé de pulvériser la voiture du chef shebabs (un terroriste somalien).

D’autres services sur lesquels il ne nous appartient pas de nous étendre assurent la sécurité de nos armées en opérations extérieures. Mais rien ne pourra être fait si la France, une démocratie, ne se dote pas d’une législation d’exception et, en attendant, n’applique pas les lois existantes et ne facilite pas le transfert des informations vers l’appareil judiciaire.

4 – La barrière législative en France

Le magistrat David Benichou décrit, en 2015, à propos du jihadisme, les 23 mesures découlant de la loi du 13 novembre 2014. Mais qu’en est-il de l’application de cette loi ?

En 2020, on nous annonce une loi sur le « séparatisme ». A-t-elle tenu compte de l’existant ? La loi du 13 novembre 2014 a été conçue pour contrarier les départs vers les terres du jihad (Syrie, Irak, …) et sanctionner les retours de combattants aguerris (hommes, femmes enfants). Déjà en 2015, des rapports parlementaires ont attiré l’attention des gouvernants sur la menace terroriste croissante. Ce sont :

  • Assemblée nationale : rapports Pietrasanta n° 2173 du 22 juillet 2014 et Ciotti n° 2828 du 2 juin 2015 ;
  • Sénat : rapport Goulet-Reichardt n° 388 du 1er avril 2015.

Ces rapports ont en commun d’attirer l’attention de la classe politique sur la menace terroriste croissante due aux groupes terroristes islamistes salafistes de la mouvance radicale (n° 2173 AN : p. 10 et suiv.), sur les conséquences des attentats des 7 et 9 janvier 2015 et de la cyber-attaque contre TV5 Monde (n° 2828 AN : p. 9 et suiv.) et sur l’existence de 1.432 ressortissants français partis vers les zones de combat irako-syriennes dont 119 femmes (n° 388 SEN : p. 9 et suiv.). En 2015, nous sommes sous la Présidence de François Hollande et le mandat ministèriel de Mme Christiane Taubira. Ces rapports semblent n’avoir pas été pris au sérieux pour des motifs idéologiques. Nous en subissons aujourd’hui les conséquences. Nous étions prévenus.

Conclusion

Il a fallu plusieurs années pour que l’ancien ministre des Finances Macron (2014-2017) élu Président de la République en 2017 change de paradigme et découvre l’islamisme, le désignant par son nom en octobre 2020. Pour lutter contre le “séparatisme” de l’Islam politique (jihadisme, islam politique et terrorisme), enfin les mots justes sont employés. Combien de deuils ? En moins d’un mois, Paris, Conflans, Nice ont enfin déclenché une timide répression qui doit aller en s’accélérant. Les mesures destinées à prévenir les retours de jihadistes doivent nous prémunir contre le 5e colonne des jihadistes installés et de leurs suppôts. Il nous faut encore recouvrer notre souveraineté en rendant effective la barrière sanitaire contre l’entrée d’individus indésirables futurs assassins porteurs de haine jihadiste et protéger nos ressortissants quelque soit la religion. Il y a des musulmans éclairés qui subissent aussi la haine de ces individus. Ils ont droit aussi à vivre en paix dans notre pays et doivent être protégés.

Monsieur Darmanin, ministre de l’intérieur, descendant d’un grand-père tirailleur algérien doit pouvoir continuer sa mission. Il a comme Directeur de Cabinet un Préfet qui sait ce que sont les services de renseignement dont il a été le coordonnateur auprès du Président. Son remplaçant devra poursuivre sa mission. Le lien entre les services de renseignement et les instances juridiques répressives doit être plus efficace et la loi doit être adaptée aux circonstances exceptionnelles devant lesquelles nous place le terrorisme islamiste. A l’abri du bouclier enfin opérationnels, un islam modéré, éclairé, débarrassé de l’obscurantisme, pourra enfin s’épanouir en France.smiley


extrait bandeau IHEDN site institut

Un membre de l’ASAF

Association de soutien à l'Armée Française




Un meneur islamiste qui se croit tout permis

Ici on s'honore du titre de Citoyen
Ici on s’honore du titre de Citoyen

Un qui se croit tout permis !

M. Sefrioui se croit tout permis. un de nos fidèles contributeurs nous a soumis une proposition de billet que nous avons remaniée et documentées. M. Abdelhakim Sefrioui est un agitateur islamo-fasciste bien connu de nos hautes-autorités nationales. Nous donnons la parole à notre contributeur qui est Ancien-Auditeur de l’Institut des Hautes-Études de la Défense Nationale (AA-IHEDN), organisme reconnu par le Code militaire et qui a son siège à l’École Militaire de Paris. Cet ami a fait partie de la 81e session régionale (Versailles, 1984). Il est toujours actif au sein de l’Association Régionale des AA-IHEDN-LR). Nous reproduisons son billet reçu via courriel.


En 1997, j’ai fait partie de l’AA-IHEDN Bourgogne où siégeait un comité de réflexion-rédaction très actif composé de réservistes militaires (terre-air-mer), de membres de la société civile et de fonctionnaires locaux. Notre comité avait reçu du Secrétariat Général de la Défense Nationale (SGDN, actuellement SGDNS) un sujet à traiter « La République et les Sectes ». Après neuf mois consacrés en soirée et en week-ends à des réunions, conférences, visites de sites, …. nous avons remis un rapport dont une des conclusions était « Islam, danger ».

En fin de l’année 1998, nous avions vu émerger des mouvements religieux à caractère sectaire qui avaient commencé à faire parler d’eux. Parmi eux, des sectes se réclamant de l’Islam avaient commencé à faire parler d’elles. En ce 4e trimestre de 2020, après de nombreux attentats perpétrés dans le monde, en Europe et en France, nous sommes rendus ce 16 octobre 2020 dans une rue de Conflans-Sainte-Honorine menant à Eragny devant le corps décapité d’un enseignant de la République découvert par la Police municipale. Cet enseignant a été atrocement assassiné près de son collège, dans une rue sur le trajet de retour à son domicile. La Police nationale appelée découvre non loin de là un individu, l’assassin, qui prend à partie l’équipage policier avec une arme de poing. Il est abattu alors qu’il criait « Allahou akbar ». C’est un jeune russe tchetchène de 18 ans demeurant à Evreux où il bénéficie avec sa famille du statut de réfugié politique. L’enquête va vite progresser et aboutir, entre autres à l’arrestation d’une agitateur islamiste bien connu, M. Abdelhakim Sefrioui, français d’origine marocaine.

Ce monsieur est double national. Français par son mariage avec une française qu’il a dû sans doute convertir, il est marocain car né au Maroc à Fès (21 avril 1959). Aux termes de la loi du royaume du Maroc, la qualité de « sujet de Sa Majesté » chérifienne est inaliénable sur plus de sept générations, imperdable. Or, une procédure de déchéance de la nationalité française n’a pu aboutir en 2010, l’article de l’hebdomadaire Le Point met en cause « la bienveillance dont il jouissait après des autorité marocaines » (sic !). Ce f … de m … est donc resté chez nous, poursuivant son oeuvre malfaisante avec un double discours et un antisémitisme violent, s’opposant aux musulmans modérés.

La question se pose des réseaux entretenus par cet individu ! Au Maroc, il faisait était membre du « Parti de la Justice et du Développement », en France il a fait partie de « Forsane Alizza » (organisation dissoute). Il a importuné violemment des hauts-responsables musulmans modérés. Ça suffit, en prison, devant la justice puis dehors ! Le Roi du Maroc se fera un plaisir de récupérer ce trublion chez lui ! Barra, horj, fuera, dehors ! Dehors les vipères et à sa sortie de prison, il y a en France, une île au large de la Guyanne, l’île du Diable pour lui servir de résidence assignée.

Quel lien avec la mosquée de Pantin qui a diffusé la vidéo qui aurait déclenché le drame ? L’enquête nous le dira ! Il faut fermer ce lieu d’appel à la haine !


extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

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