Zones urbaines sensibles

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Problématique – Introduction


Introduction

Une information qui nous inquiète ! Sur le site du Ministère de la Cohésion des Territoires, une page du Commissariat à l’égalité des Territoires se passerait de tout commentaire s’il ne s’agissait pas  d’un hit-parade des hauts-lieux de la crapulerie, selon un des mes correspondants que je cite : « Toute la richesse et la diversité culturelle dont Macron est si fier !!! ».

Il faut d’abord donner les clefs pour décoder les listings

Définition des quartiers sensibles :

Niveau 1 : QSN (QUARTIERS SENSIBLES DE NON-DROIT)

Quartiers où règnent les bandes et la délinquance avec des faits de violences urbaines, fusillades ou règlements de comptes et trafic en tout genre. Ce sont les quartiers les plus chauds de France considérées comme des zones de non droit.

Niveau 2 : QSTD (QUARTIERS SENSIBLES TRÈS DIFFICILES)

Faits de délinquance réguliers et de toute sortes. La plupart de ces quartiers ont été auparavant des zones de non droit.

Niveau 3 : QSD (QUARTIERS SENSIBLES DIFFICILES)

Faits de délinquance assez réguliers, trafic de drogue et toutes sortes de trafics, survenance de nuits de violences urbaines suite à une petite tension.

Niveau 4 : QSP (QUARTIERS SENSIBLES PROBLEMATIQUES)

Petite délinquance plus ou moins régulière pouvant exploser a certains moments, mais généralement ces quartiers sont calmes et ne font parler d’eux que de temps à autre. Ils posent quelques soucis à la ville mais ne sont pas considérés comme « chauds ».

Dans notre département, l’Hérault

34 HERAULT
> > > > > > > > Niveau 1:
> > > > > > > > > Montpellier: la Paillade-Hauts de Massane
> > > > > > > >Niveau 2:
> > > > > > > > > Beziers: la Deveze
> > > > > > > > > Montpellier: le Petit Bard-Pergola
> > > > > > > > > Sète: Ile de Thau
> > > > > > >  Niveau 3:
> > > > > > > > > Béziers: les Arènes
> > > > > > > > > Montpellier: Cité Gely
> > > > > > > > > Montpellier: les Cevennes
> > > > > > >  Niveau 4:
> > > > > > > > > Béziers: Centre-Faubourg
> > > > > > > > > Frontignan: Quartier Nord
> > > > > > > > > Lunel: la Roquette
> > > > > > > > > Montpellier: Pas du Loup-Val de Croze-Paul Valéry

A vous citoyens de mesurer l’ampleur des territoires perdus ! Sur le site du Ministère, vous avez même les cartes visées par les décrets sur lesquels s’appuient les informations


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Un Auditeur IHEDN 1985

Lanceur d’alertes

Un observatoire




Souvenir de l’abandon des harkis

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Un membre de l’ASAF

Association de soutien à l'Armée Française

Info

Le 12 mai 2018, une petite foule s’est rassemblée au monument aux morts de Montpellier. La commune de Montpellier est la seule en France à commémorer le 12 mars 1962, date à laquelle a été ordonné l’abandon de soldats supplétifs, les harkis.

Deux représentants de la Région Occitanie-Pyrénées, un représentant du Département et deux représentants de la Métropole et de la Commune étaient présents, trois gerbes ont été déposées. Le première a été celle de M. Rabah Bensaïdi, Président de l’association «Projet Avenir Harkis» qui a rappelé les faits qui se sont déroulés.

Après les accords d’Evian du 18 mars 1962 et le cessez-le-feu du 19, l’Algérie marque son indépendance en réglant ses comptes avec ceux qui sont qualifiés de «collaborateurs» du colonisateur.

Le site Médiapart rappelle que notre Président de la République a exprimé la volonté de faire de la date du 12 mai une journée nationale. Rappelons les faits qui se sont déroulés.

« Après les accords d’Evian, ces malheureux supplétifs, pris dans la tourmente de la guerre d’Algérie, furent désarmés et renvoyés dans leurs foyers. Mais très tôt, et sans autre forme de procès, des massacres de Harkis ou supposés ont débuté et les représailles contre leurs familles se pratiquèrent avec tortures et actes de barbarie que rien ne justifiait. » (Nous citons Médiapart).

L’Armée française, sur ordre du Gouvernement (télégramme Messmer du 12 mai 1962) est restée dans ses casernes. Il y eut des ordres de ne pas intervenir et d’empêcher les Harkis de rejoindre la Métropole. Des officiers français indignés passeront outre et permettront à ces hommes et à leurs familles d’embarquer pour la France. Ils tenteront de minimiser les effets des ordres de M. Louis Joxe et de M. Christian Fouchet (nous citons)

« N125/IGAA – 16 mai 1962 /Ultra secret/Strict. Confidentiel ».

Le Ministre d’Etat Louis Joxe demande à Haut Commissaire rappeler que toutes initiatives individuelles tendant à installation métropole Français Musulmans sont strictement interdites. En aviser urgence tous chefs S.A.S. et commandants d’unités. »

Quitter l’Algérie était désormais interdit aux seuls Harkis. Pourtant, on ne leur dénie pas la qualité de Français ! Le qualificatif de musulmans était-il le prétexte ? Il s’agissait d’hommes ayant servi la France et versé leur sang : Français par le sang versé !

Quelle honte de la part du Gouvernement d’alors !  Des familles furent renvoyées en Algérie. Il en demeura en France où rien n’était prévu pour leur accueil. Ils furent parqués dans des camps, ils furent obligés à se soumettre à des demandes auprès du juge d’instance pour se voir reconnaître leur qualité de Français en payant un timbre fiscal ! Au moins, eux, étaient à l’abri des égorgeurs !

La honte de la France a commencé à être lavée pas ses Présidents :

  • 2001 : M. Jacques Chirac décide d’une journée d’hommage national fixée au 25 septembre et posa une plaque commémorative aux Invalides,
  • 2007 : M. Nicolas Sarkozy fera une déclaration qui ne sera pas suivie d’effet,
  • 2012 : M. François Hollande citera les harkis dans sa campagne.

Epilogue : selon un document du Service Historique de l’Armée de Terre (SHAT), 150.000 harkis sur les 200.000 engagés durent massacrés !

Honte à ceux qui portent la responsabiité de leur abandon ! Honneur aux survivants et à leurs enfants qui se sont intégrés citoyens français par le sang versé par leurs pères au service de la France.


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Un Patriote indigné

Tableau de Delacroix la Liberté




Un mort, quatre blessés à Paris : DAECH revendique

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Information

Hier soir, 12 mais 2018, un islamiste radicalisé tue une personne et en blesse quatre à Paris (2e). L’assaillant a été abattu par la police. Cliquez ce lien pour lire l’information.

Les informations commencent à émerger dans les médias. L’identité de l’assaillant est désormais connue. C’est selon les autorités un « Français né en Tchétchénie » et fiché S. Un Tchétchène, Khamzat Azimov (Site France-Info), naturalisé français conséquence de la naturalisation de sa mère en 2010, alors qu’il était mineur (13 ans) !

Europe-1 disait ce matin, 14 mai 2018, que la Tchétchénie est un vivier de terroristes islamiques. N’oublions pas que le chef de DAECH « Al-Baghdadi avait appelé à frapper directement sur le sol européen d’une part et par tous les moyens que ce soit d’autre part ». Le terrorisme islamique est SANS FRONTIERES, les nationalités n’ont pas de valeur sauf que l’origine communautaire joue à fond !

Tuer des français, belle façon de remercier la France qui les a accueillis et soustrait à la vindicte russe. Celà s’appelle réchauffer des vipères dans son sein ! Ou formulé autrement «Nourris des corbeaux, ils t’arracheront les yeux.» (proverbe espagnol transcrit). Le site France-Info parle d’une filière caucasienne ! Quoi qu’il en soit, les parents sont responsables de l’éducation de leurs enfants.

Plus que jamais, il appartient aux citoyens de se mobiliser. Plus que jamais, la question des citoyens vigilants et actifs engagés dans les réserves citoyennes et la Garde Nationale, sous contrôle des autorités, cette question se pose de manière aigue. Les policiers du renseignement sont débordés, ils doivent faire des arbitrages sur les moins dangereux ! Khamzat Azimov était réputé « peu dangereux » !

Peu dangereux, voire ? Les signaux faibles sont importants à suivre ! Nous devons être sur nos gardes, la France a le droit de se défendre.


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Un Auditeur IHEDN 1985

Ici on s'honore du titre de Citoyen




Des frappes bidon en Syrie


observatoire phare

Argos Panoptes

Nous observons, nous avons l’oeil !

Argos Panoptés

Intro

Les frappes franco-anglo-américaines, selon une information qui nous est parvenue le 9 mai 2018 (origine 28/04/2018), un général (2s) dont nous ne citerons ni le nom ni les compétences incontestables, compare deux versions des frappes des trois pays coalisés :

La version russe

Le ministère de la défense russe dit avoir détecté «103 missiles air-sol ou de croisière» dont 71 auraient été interceptés par la défense anti-aérienne syrienne. Ces frappes sont analysées en 6 points. Ils montrent le caractère «bidon» des cibles sur lesquelles « quelques heures après les frappes, ces civils déambulaient sans la moindre protection, sans être le moins du monde incommodés » !

La version du Pentagone

Les forces US et alliées auraient tiré 105 missiles ! Notre général analyse en 9 points les frappes.

Point 1 : ces frappes n’ont pas affecté les forces armées syriennes qui s’en sortent intactes !

Point  9 : les 12 petits missiles français lancés sur des installations probablement désaffectées ont permis de redorer le blason macronien au prix de 20 millions d’euros (missiles et vols). L’image de Jupiter-Mars écornée par les grèves, ND des Landes, révoltes lycéennes, …)  a été encensée par les médias “main stream”  !

Gesticulation médiatique

Une pareille politique de gribouille de gesticulation médiatique est inadmissible, selon les milieux politiques d’opposition ! C’est grave car les événements récents ont humilié la France, à travers notre Président. M. Donald Trump (Donald, ça ne vous dit rien ?) a foulé au pied la parole des USA.

Ce général est un militaire, un homme qui dit la vérité, un citoyen digne d’éloges. On ne peut pas mentir quand on est officier général.


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Un membre de l’ASAF

Association de soutien à l'Armée Française




Les territoires perdus de la République

Oh ! Surprise !

Marianne sur fond tricolore

Dans un livre choc, “les Territoires perdus de la République“, un groupe de professeurs racontait à l’automne 2002 l’antisémitisme, le sexisme et l’islamisme qui déferlaient dans les collèges et les lycées de la région parisienne.

Boycotté à l’époque, l’ouvrage ressort aujourd’hui.


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Un Auditeur IHEDN 1985

Membre de l’Union des Associations d’Auditeurs IHEDN




La réserve citoyenne

Problèmatique

Ministère de la Défense

Depuis la «suspension» du Service national, les armées se sont professionalisées. Le creuset national d’intégration et de formation à la citoyenneté s’est éteint avec la fermeture des casernes. C’est ainsi que dans notre ville de Montpellier, s’est établi un «désert militaire». Seule subsiste la Gendarmerie Nationale qui a investi une partie des anciens locaux de l’École d’Application Interarmes (EAI). Le reste des installations militaires a peu à peu disparu sous le béton de l’urbanisation galopante. Une partie de l’ancienne EAI va être dévorée par les bétonneurs.

Il reste aux citoyens imprégnés de l’esprit de défense à réfléchir à un engagement militaire car nos armées sont engagées dans des théatres d’opérations extérieures contre des islamistes ou des opérations intérieures anti-terroristes. Nos jeunes sont bien appelés à une «Journée d’Appel à la Défense (devenue Journée Défense et Citoyenneté). Cette brève imprégnation ne suffit pas mais pour certains jeunes femmes et hommes, des vocations de militaires se sont éveillées. Il reste les «vieux», les anciens dont les forces déclinent lentement mais dont l’expérience et les compétences sont précieuses pour assurer l’arrière : les pères conscrits ! Ou les réservistes citoyens de la Réserve citoyenne. Il existe plusieurs réserves citoyennes, selon les besoins et surtout selon les préventions plus ou mois larvées contre les «galons en zinc» (expression entendue).

Les réserves citoyennes

Les différentes administrations ou forces de sécurité ont instauré cette forme de servir pour les citoyens.

L’engagement dans la réserve citoyenne est définie par une déclaration dont nous donnons un exemple :

«La réserve citoyenne est fondée sur l’engagement personnel, désintéressé et effectué dans un esprit de neutralité de bénévoles issus de la société civile, désireux de se rendre utiles pour l’Institution et affichant un haut degré d’expertise dans les domaines juridique, des nouvelles technologies, de la communication, des finances ou de l’immobilier, entre autres.

Vivier de compétences, elle contribue au rayonnement de la gendarmerie dans la société civile, à la compréhension d’enjeux locaux ou nationaux et à l’accompagnement des décideurs, participant ainsi à la résilience de la France face aux nouvelles menaces comme au renforcement du lien Armées-Nation.»

ou

« La réserve citoyenne de défense et de sécurité est composée de volontaires agréés par les autorités militaires pour contribuer au renforcement du lien entre les armées et la société civile. Si vous souhaitez en faire partie, vous devez remplir certaines conditions, notamment d’âge et de nationalité. La participation à la réserve citoyenne n’ouvre pas droit à rémunération ou indemnisation. ».


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Un observatoire




L’Institut des Hautes Etudes de la Défense Nationale

Introduction

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Un Etablissement public administratif (EPA)

L’Institut des Hautes Études de la Défense Nationale (IHEDN) est le descendant en 1948 du Collège des Hautes-Etudes de la défense nationale (CHEDN). Ce dernier avait pour vocation de «former des hauts-fonctionnaires, civils et militaires, à la préparation et à la conduite de la guerre, dans une vision dépassant le seul cadre militaire». A l’aune de l’évolution de la doctrine de la défense de la France, l’IHEDN évolue et devient le lieu d’explications d’une défense nationale devenue globale et permanente.

La priorité devient l’initiation aux questions de défense des cadres de l’État et du secteur privé, sous l’égide du Premier Ministre (en 1979). L’IHEDN devient le foyer du rayonnement de l’esprit de défense.

En 1997, il devient un établissement public administratif, doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière.

Mission élargie et rénovée

La mission actuelle est élargie aux question de défense, de politique étrangère, d’armement et d’économie de défense. A ce titre, l’Institut réunit des responsables de haut niveau appartenant à la fonction publique civile et militaire ainsi qu’aux différents secteurs d’activité de la Nation, des états membres de l’UE ou d’autres états, en vue d’approfondir en commun leur connaissance des questions de défense des questions de défense, de politique étrangère, d’armement et d’économie de défense.

Les sessions

L’action de l’IHEDN se manifeste par la diversité des formations dispensées dans des sessions nationales ou régionales.

La pédagogie

L’IHEDN se base sur une pédagogie originale :

  • des travaux en comités où se concrétise une riche complémentarité,
  • des conférences-débats au cours desquelles s’expriment des intervenants de haut-niveau,
  • des visites et missions d’études sur le terrain qui permettent une approche concrète de l’enseignement dispensé,
  • des exercices de mise en situation de prise de décision avec rédaction de notes de position.

Les associations régionales et l’union des associations

L’Union des associations d’auditeurs de l’IHEDN (UNION-IHEDN)  a été fondée en 1975, et regroupe et fédère l’ensemble des 43 associations d’auditeurs de l’Institut des hautes de défense nationale (IHEDN) soit

L’UNION-IHEDN a pour vocation de créer des synergies, de renforcer la communauté des auditeurs, de susciter, de développer et de coordonner les activités menées par les différentes associations, afin de sensibiliser le plus grand nombre aux questions stratégiques et de contribuer, ainsi, au rayonnement de l’esprit de défense.

AR12 – Languedoc-Roussillon

Il existe donc une Association Régionale Languedoc-Roussillon (AR-12) qui couvre les départements de l’Hérault, du Gard, de l’Aude et des Pyrénées Orientales. Elle a des correspondants pour :

  • le Trinôme académique,
  • le protocole de défense-éducation,
  • les relations avec les entreprises et l’intelligence économique,
  • des correspondants défense,
  • un animateur des études et forum des travaux d’auditeurs,
  • un chargé de communication presse et médias,
  • un délégué auditeurs-jeunes.

Un comité de réflexion et d’études se réunit régulièrement dans les quatre départements précités. L’Union participe régulièrement à des conférences de garnison organisées trimestriellement avec des associations partenaires, notamment de réservistes de différentes armes.


Logo AA-IHEDN

Logo de l’Union-IHEDN

Un Auditeur IHEDN 1985

Membre de l’Union des Associations d’Auditeurs IHEDN




L’Ecole militaire (Paris)

Introduction

Gand Hall ou rotonde Gabriel

La rotonde Gabriel

L’École Militaire est un lieu de formation et de mémoire. Il fait partie des établissements d’enseignement de la Défense Nationale.  une institution d’enseignement supérieur militaire fondée en 1750 par le roi Louis XV et l’ensemble de bâtiments construits pour la recevoir à Paris, dans le 7e arrondissement. Construit au xviiie siècle par l’architecte du roi Ange-Jacques Gabriel, cet ensemble monumental est toujours en activité. Il ferme la perspective sud-est du Champ-de-Mars, où se faisait la revue annuelle des troupes, déplacée ensuite aux Champs-Élysées. Il est classé au titre des monuments historiques depuis 1990

Bref historique

Au sortir de la guerre de succession d’Autriche, en dépit de la gloire de la bataille de Fontenoy, le commandement jugea urgent de revoir la formation militaire des officiers. Il stigmatisait «leur ignorance totale, depuis le sous-lieutenant jusqu’aux lieutenants-généraux, des devois de leur état  et de tout les détails dans lesquels ils doivent entrer».

Dès 1750, le financier Pâris-Duvernoy avait proposé à Louis XV la construction de l’Hôtel des Invalides. Puis un édit du 13 janvier 1751 dut promulgué  créant «[…] une Ecole militaire pour le logement, subsistance, entretien et éducation […] de 500 jeunes gentilshommes  de notre Royaume […].

L’Ecole militaire aujourdh’ui

L’Ecole militaire aujourdh’ui est un ensemble complet d’enseignement militaire supérieur, différencié selon les armées. Il abrite :

  • le Direction de l’Enseignement Supérieur de l’Armée de Terre (DEMSAT),
  • le Cours Supérieur d’État-Major (CESM),
  • l’Enseignement Militaire Scientifique et Technique (EMSST),
  • le Centre d’Enseignement Supérieur Aérien (CESA),
  • le Centre d’Enseignement Supérieur de la Marine (CESM,
  • le Centre d’Enseignement Supérieur de la Gendarmerie (CESG),
  • le Collège Inter-Armées de la Défense (CID),

en remplacement des anciennes écoles de Guerre.

On trouve également :

  • le Centre des Hautes-Etudes Militaires (CHEM) dont les stagiaires suivent le cursus de l’IHEDN,
  • l‘Institut des Hautes-Etudes de la Défense Nationale (IHEDN),
  • le Centre des Hautes-Etudes de l’Armement (CHEAR), créé à l’image de l’IHEDN,
  • l’École supérieure des Officiers de Réserve du Service d’État-Major,

En effet, des associations et des amicales, en relation avec la problèmatqiue de la Défense, y sont accueillies que nous ne détaillerons pas.

Enfin, il convient de citer le SIRPA devenu de nos jous la Délégation à l’Information et à la Communication de la Défense (DICOD) qui contribue au rayonnement et à notoriété .de l’École Militaire.

Souvenir personnel

Le lieu emblématique de l’école est la Rotonde Gabriel. J’ai eu l’honneur d’être accueilli en ces lieux lors de la tenue de la session Régionale  1985 dont je faisais partie. J’ai eu l’honneur de suivre les enseignements de cette session dans le lieu le plus emblématique, la session s’ouvrit dans le grand amphithéatre et dura trois mois.


Gand Hall ou rotonde Gabriel

Rotonde

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E P A




Islamo-fascisme et victimes


observatoire phare

Argos Panoptes

Nous observons, nous avons l’oeil !

Argos Panoptés

Problématique

Allah Akbar

Illustration Wikipedia, plaque de rue au sud de Jérusalem
(Quartier arabe de Sur Baher).

Madame Chahdortt Djavann est une romancière et essayiste d’origine irakienne, de nationalité française. Elle a publié de nombreux esais et opuscules résolument anti-islamiques.  Elle demande que  l’Union européenne reconnaisse la fatwa (incitation au meurtre) comme un acte criminel et engage des poursuites internationales contre ceux qui décrètent des fatwas.  » Chahdortt Djavann, Le Figaro, 18 février 2008.

Elle déclare que  (Que pense Allah de l’Europe, Gallimard, 2004, p. 7) :

  1. La critique d’une religion quelques sévère qu’elle soit, n’a rien d’un acte raciste
  2. La France est un pays de droit et le racisme est considéré comme un crime par la loi. [On peut être musulman sans que cela constitue une origine raciale ou ethnique, il y a des arabes chrétiens au Moyen Orient et ailleurs].

Le terme d’islamo-fascisme a été introduit dans le débat politique en 1990, par le journal anglais The Independant. Le terme est repris après le 11 septembre 2001 par des intellectuels américains qui dénoncent la parenté entre l’islamisme, les mouvements et régimes totalitaires et les «idiots utilles» qui considèrent que les jihadistes participent à une pseudo-théologie de la libération. Selon François Fillon «on doit parler de totalitarisme islamique». Parce que «islamisme et totalitarisme propagent le culte d’une violence meurtrière qui exalte la mort et la destruction (Viva la muerte vociféraient les franquistes et l’insigne des SS, la totenkopf ou tête de mort !).

L’émission religieuse La Voix de l’Islam sur Antenne2 a vu se succéder en 1995 des prêcheurs barbus qui venaient par les sur nos ondes nationales de la pré-éminence de la loi de Dieu sur celle de la République. La mort a été apportée sur notre territoire national, la France, par toute une litanie de jeunes exaltés, radicalisés dont nous allons citer quelques noms. Allahu Akbar se retrouve en dénominateur commun des attentats et crime. C’est un hymne à une grande nation arabe. Qu’Allam maudisse la France. Nous allons subir les évènements et non les anticiper. La République perd peu à peu ses territoires.

1 – Khaled Kelkal

Khaled Kelkal est l’un des premiers dont le parcours a été médiatisé. C’est un algérien imigré à Vaulx-en-Velin. La prison a joué un rôle dans sa radicalisation et son passage à l’acte. Ses bombes vont faire 21 blessés. Il sera abattu par la Gendarmerie le 6 octobre 1995, les armes à la main. Avec ce partisan du FIS-GIA commence la danse macabre.

2 – Moussa Coulibaly

Moussa Coulibaly (à ne pas confondre avec Amédy Coulibaly), agresse 3 policiers à l’arme blanche le 3 février 2015. Il sera ecroué et mis en examen.

Nous ne déroulerons pas plus la liste des crapules prétrndant agir au nom d’un dieu soi-disant miséricorieux ! Drôle de miséricorde qui assassine !


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Un Auditeur IHEDN 1985

Un observatoire




DAECH : appels au meurtre en France

Ajoutez votre titre ici

Le prétendu état dit iskamique ou DAECH, dont le sinistre emblème noir prétendait semer la terreur au nom d’Allah, a déclaré par son porte-parole Abu Mohammed Al-Adnani, au nom de l’émir Abu Bakr Al-Bagdadi : «qu’il est du devoir de tous les musulmans de lui prêter allégeance pour la fondation d’un nouvel ordre islamique».

Quelle confusion, qui l’a nommé émir ? Il s’est auto-proclammé pour dire «Musulmans […] rejetez la démocratie, la laïcité, le nationalisme et les autres ordures de l’Occident. Revenez à l’islam.». Quelle est sa doctrine ?

La terreur inspirée par les combattants de DAECH a fait s’enfuir les armées irakiennes qui ont abandonné terrain et armements. Ce sont 3.000 véhicules Humvee, 150 blindés légers, 50 blindés lourds, 140 pièces d’atrillerie et 25 lance-roquettes motorisés qui sont tombés aux mains des combattants de DAECH.

Menaces contre la France

L’hostilité contre la France est ancienne. En juin 2013, quatre journalistes français sont kidnappés et libérés en 2014 après une longue détention marquée de sévices réguliers.

Aprés les premières frappes en Irak, Abu M. Al-Adnani déclarait avec virulence : «La meilleure chose que vous puissiez faire est de vous efforcer de tuers tout infidèle, qu’il soit français, américain ou d’un autre pays occidental.[…]. Si vous pouvez tuer un incroaynt américain ou européen, en particulier les méchants et sales français, alors comptez sur Allah et tuez le de n’importe quelle manière […]. Frappez sa tête avec une pierre, égorgez le avec un couteau, écrasez le ou empoisonnez le […]. Si vous ne pouvez procéder de cette manière, alors brûlez sa maison, son commerce ou sa voiture.».

Les membres de la 5e colonne islamiste installés chez nous ont entendu le message et la katibat des jihadistes francophones a suivi les instructions. Faut-il rappeler ce qu est arrivé ?

Mohamed Merah, Amedy Coulibaly et consorts ? Une longue litanie de soi-disants «loups-solitaires» assassins qui abouti au super-marché de Trèbes avec la mort du colonel Beltrame.

Tant qu’à faire, Al-Baghadi déclare «Nous allons conquérir Rome». D’autres veulent l’Andalousie !

Et il y a la piraterie maritime, le jihad maritime.

DAECH recrute des gens parfaitement érudits et lettrés dans ses cadres, des ingénieurs et des personnes ayant suivi des études supérieures. Ce n’est pas une organisation d’illétrés.


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