Un criminel faux-chrétien, vrai simulateur

Les nouvelles des enfants poignardés à Annecy sont bonnes, leur pronostic vital n’est plus engagé. Un de nos amis protestant évangélique nous communique cette bonne nouvelle. Merci Seigneur.

Le Syrien Abd-el-Masih H. se prétend chrétien et avoir agi au non de Jésus-Christ ! C’est un criminel qui s’en est pris lâchement à des enfants innocents et sans défense, à Annecy. Son nom n’est pas très catholique : Abd, l’esclave de … al_Masih le messie (traduction de l’arabe). Quel messie ? La lecture du Nouveau testament (la Nouvelle Alliance) ne voit écrit nulle part que l’on peut tuer au nom du Messie !

La 5e colonne Jihadiste

Cet homme n’est pas fou, c’est un simulateur, vraisemblablement terroriste dormant, bien formé par DAECH en Syrie à une pratique de la dissimulation et infiltré dans un groupe de chrétiens d’orient réfugiés en Suéde, pays accueillant et peu regardant. Madame le Procureur de la République est d’une naïveté navrante ! Elle semble ignorer les techniques d’infiltration des 5e colonnes Jihadistes et leur mise en dormance opérationnelle. Cet individu criminel a vécu 10 ans en Suéde, s’est marié, a eu un enfant. Malheureusement pour lui, il a commis en Suède des actes délictueux, il a divorcé et vraisemblablement a été expulsé de Suède ! La Suéde qui a durci les conditions d’accueil des réfugiés notamment syriens. Son parcours est intéressant, il vient d’une région qui a été très impactée par DAECH. Les autorités judiciaires connaissent mal les signaux faibles, elle mettent la poussière sous le tapis : la revendication de Jésus cache le fait que Jésus est un des prophètes dont parle le Coran et qui est revendiqué par l’Islam. A partir de là, il faut connaître la revendication par l’Islam de TOUS les prophètes des religions qui l’ont prècèdé (judaïsme et christianisme), au service d’une religion, l’Islam, qui a vu émerger le Jihadisme (Al-Quaeda, Daech, les Frères musulmans, le wahabbisme, etc.), des mouvement où l’arme blanche (épée, sabre, couteau, hache, …) est citée au service d’Allah, contre les mécréants.

La formation des jihadistes

La dissimulation ou taqyia est une des bases, le fondement de la formation du Jihadiste. Le Jihadiste  apprend à se dissimuler et à adopter des attidudes contraires aux pratiques religieuses islamiques, par une dispense (fatwa) proncée par un Imam. Tout est bon pour tromper, abuser, gruger le chrétien naïf ! Le futur combattant apprend toutes les techniques de simulation et de défense contre la justice en se faisant passer pour un aliéné : on dit un fou de Dieu ! Nous recommandons le lecture d’un petit livre “L’islam et le suicide l’occident, Luiz Sergi Solimeo, Avenir de la Culture, 2022, 112p.”.

Le jihadiste se roule par terre, refuse de parler, il faut le déplacer de force pour le présenter à un juge d’instruction, … Il s’est réveillé après 10 ans de dormance et a failli tuer … des enfants ! Madame la Procureur, vous êtes payée pour défendre les gens qui vivent en paix dans ce pays, pas pour cajoler un Jihadiste assassin !

A bon entendeur, salut ! A ceux qui les présentes liront, salut. Faut pas charia !

Jean NAYMAR
AA IHEDN 1986




Dieu est grand

Allah Akbar Surbaher
Quartier arabe de Sur Baher (en) au sud de Jérusalem : panneau portant l’inscription « Allahu akbar ».

Dieu est grand, Allah akbar, Allahu akbar, … ? Est-ce bien là la bonne traduction ? On nous dit que celà veut dire aussi «Dieu est Le plus grand».

Qu’importe : « dans la Révélation Coranique, Dieu nous conte la première agression de l’Histoire humaine : le meurtre de l’Homme par l’Homme. Vous l’avez deviné c’est l’Histoire d’Abel et Caïn.
Dans les passages Coraniques relatant cette histoire qui met en scène le premier meurtre, la victime et son meurtre ne sont pas nommés, pour tout simplement expliciter que le désir de tuer est lié au fait même d’être un Etre humain.». https://www.cairn.info/revue-etudes-sur-la-mort-2006-2-page-39.htm

Les commandements chrétiens interdisent de tuer. Nul n’a le droit de s’ériger en justicier pour « venger Dieu ». Dieu est omnipotent, tout puissant, Il est capable de frapper directement qui Il veut,  quand Il veut, où Il veut. Il n’a pas besoin qu’un humain émette une fatwa pour faire mourir qui que ce soit ! Celui qui agit ainsi est un CRIMINEL !

Le minable de 24 ans qui a tenté d’assassiner Salman Rushdie au nom d’une fatwa trentenaire va avoir une vie entière devant lui en prison pour méditer les versets (Cor. 3, 134), à moins que la justice des USA ne l’envoie d’une piqûre rejoindre Satan. On verra bien si Allah le tire de là !

Le Père Mixon
Citoyen de l’Hérault




Qui gouverne la France réellement ?

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Nous reprenons la contribution d’un de nos lecteurs sur l’ancien Forum.


Prologue-Introduction

Nous n’en pouvons plus depuis plus d’un an de cette pandémie. Le premier confinement le 19 mars 2021 a coûté cher, très cher à l’économie de notre pays. Celui-ci s’est privé volontairement d’un médicament qui pouvait aider à enrayer la propagation du virus, j’ai nommé la chloroquine et l’hydroxychloroquine.

Le petit livre noir du Professeur Christian Perronne publié en juillet 2020 pose une question sur l’hydroxychloroquine, une question à laquelle personne n’a répondu clairement (page 152) :

« Le Président du HCSP, Franck Chauvin, professeur de santé publique et membre du Conseil Scientifique Covid-19 signe l’avis. Et dans cet avis, qu’est-ce qui est écrit ? Qu’il faut réserver l’hdroxychloroquine aux formes graves de la maladie. Devant le tollé suscité par ce texte chez les médecins et dans la population, le Pr Chauvin déclare quelques jours plus tard dans le Canard Enchaîné qu’il reconnaît que cet avis est absurde mais qu’il a subi des pressions pour le signer. Des pressions ? Lesquelles ? De qui ? On aurait aimé en savoir plus ! »

Le Professeur Christian Perronne a été sanctionné, il a été démis de ses fonctions au CHU de Garches. Il a récidivé avec un nouveau livre « Décidément, Ils n’ont toujours rien compris ! » (31 mars 2021). Nous citons le commentaire bibliographique :

« Sanctionné par le pouvoir, déchargé en 24 heures de son poste de chef de service, harcelé par ses critiques, Christian Perronne persiste et signe.

Mais dans ce nouveau livre accablant l’auteur va plus loin. Pourquoi ne peut-on plus débattre librement en France, notamment de tout ce qui touche à la santé publique ?

Comment expliquer la survie prolongée des incompétents qui font de la lutte contre la Covid-19 un spectacle tantôt pathétique, tantôt comique ? Certains ont disparu du paysage audio-visuel (nous ne les nommerons pas).

Pourquoi le ministre de la Santé, Olivier Véran change-t-il si souvent d’avis ? Jusqu’où va l’influence de Big Pharma sur son ministère ? … »

La question est posée, la réponse vient du livre écrit par un journaliste scientifique Xavier Bazin Big Pharma Démasqué ! : de la chloroquine aux vaccins, la crise du coronavirus révèle de face noire de notre système de santé (Guy Trédanel éditeur, 2021, 2e édition, 247 p., préface du Dr. Eric Ménat) . Nous avons déjà signalé ce livre en vous encourageant à l’acquérir et à le lire, en déclarant que nous n’avons aucun lien d’intérêt avec l’auteur et l’éditeur.

La chloroquine est-elle vraiment dangereuse ? Qu’en pensent les experts en France mais aussi à l’étranger ? D’où vient cette étude qualifiée de frauduleuse par de nombreux auteurs de frauduleuse et qui a motivé une grosse ânerie médico-scientifique ? La littérature scientifique que nous citons ne donne que la partie émergée de l’iceberg. Wikipedia donne des résultats controversés. Une mise au point est accessible qui examine cette controverse.

1. – La Lancet-Gate

L’affaire de la prestigieuse revue scientifique dénommée « The Lancet-Gate » met en cause le sérieux ce ce journal prestigieux qui était une référence dans le monde médico-scientifique. Le livre de Xavier Bazin lui consacre de nombreuses pages (pp. 33 à 42). Wikipédia dévoile le nom de la firme US qui a publié une étude le 22 mai 2020 : Surgisphere and Co. Nous citons Wikipedia :

« Le 22 mai 2020, une méta-analyse des données médicales anonymisées collationnées par l’entreprise américaine Surgisphere et publiée dans The Lancet arrive à la conclusion que l’utilisation de l’hydroxychloroquine [HCQ] est corrélée à un risque d’arythmie ventriculaire et à un plus grand danger de décès hospitalier que d’autres traitements. L’article est vivement critiqué et rétracté le 4 juin 2020, la société Surgisphere ayant refusé de communiquer les données brutes pour un audit indépendant […] ¨» [nous soulignons}..

Cette étude vivement critiquée a été rétractée par l’éditeur de la revue The Lancet. L’étude est qualifiée de frauduleuse par Xavier Bazin (p. 44). Néanmoins, elle a été à l’origine de la suspension par l’Agence Nationale du Médicament des essais cliniques sur l’hydroxychloroquine, j’ai nommé Discovery. Pourtant, Xavier Bazin l’affirme (p. 44) :

« Les responsables de Discovery eux-mêmes ont décidé le 17 juin [2020], d’arrêter l’étude sur l’hydroxychloroquine, au moment où elle signalait un effet postif contre la Covid-19. »

Ce sont des faits. Wikipedia confirme que l’une des causes de l’arrêt de Discovery serait le manque de disponibilité du Remdesivir ? Que veut-on démontrer ? Qui commande en France ? La manipulation de la grosse industrie pharmaceutique est elle réelle ? Une étude frauduleuse et bidonnée a eu des conséquences graves en matière de mortalité chez des patients à qui les médias continuent de claironner qu’il n’y a pas de traitement contre la Covid-19 !

2. – Les chiffres qui sont cachés

Le journaliste scientifique Xavier Bazin démontre de manière difficile à contredire que les chiffres concernant l’action bénéfique de l’hydroxychloroquine (HCQ) ont été bizarrement occultés par des tours de passe-passe statistiques et des jeux de mots sur les résultats. Tout a été fait pour occulter les effets bénéfiques sur les patients, dans les tous premiers moment de l’infection CoVid19 et dissimuler les effets délétères de l’antiviral RemDésivir de Gilead, anviviral difficilement disponible, aux effets délétères reconnus par l’OMS sur le foie et les reins des patients traités avec ce produit à 2.000 € l’unité de traitement. Alors que l’HCQ, vieille molécule, ne coûte que quelques centimes le comprimé disponible en masse et administré par comprimé voie orale. Le RemDesivir doit être administrè en milieu hospitalier par perfusion médicalisée.

Pourquoi deux poids et deux mesures ? Le géant pharmaceutique Gilead Sciences a-t-il soudoyé tous les acteurs médiatico-médical ? Contre un traitement ne rapportant plus de juteux revenus (HCQ) dont l’efficacité a été minorée voire niée ? Le Lancet-Gate est un évênement fâcheux qui n’a portant pas ébranlé la conviction de nos Hautes-Autorités sanitaires françaises et européennes. Gilead Sciences gouverne-t-il la France et l’Europe ? La lecture attentive des sites Internet qui sont cités par l’auteur journaliste scientifique Bazin constitue un acte d’accusation grave contre l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (pp. 51-81) et son homologue européen, l’Agence Européenne des Médicaments. M. Bazin n’est pas le seul journalise scierntifique à s’être interrogé sur les scandales suscités pat ce que la justice pourrait qualifier de délit de favoritisme ! La controverse sur les conflits d’intérêt de l’ANSM-AFFSP fait l’objet d’un paragraphe des plus intéressants !

Les casseroles que traîne l’AFFSP-ANSM portent le nom de Médiator, Depakine, Levothyrox, etc. Cette agence renommée ANSM en 2012 traîneraît un lourd passif de conflits d’intérêt de ses experts !

Il s’agit d’un domaine touchant à la Santé des Français ! Face à une “gripette” mortelle qui a ravagé des pays (Brésil : 470.000 morts !). C’est une maladie mortelle si on ne prend pas les mesures adéquates pour empêcher la propagation.

La question se pose de savoir qui exerce réellement le pouvoir dans notre pays, face à cette pandémie et aux débuts hésitants de la réponse sanitaire face à la maladie Pour faire le point, les sites Internet ne manquent pas et les livres publiés par des professeurs de médecine. Pour faire face à une invraisemblable multiplication de comités et de conseils divers. Pourquoi ce foisonnement apparent de nids à bureaucrates ? Nous allons essayer de répondre.

3. – La dilution des responsabilités

3.1. – Le sommet de l’état ou la base : la Présidence

On peut considérer l’organisation administrative de notre pays vue comme une pyramide ou un gigantesque mille-feuilles. A la base (ou au sommet, selon comme on se place) est le Président de la République, Monsieur Emmanuel Macron (énarque et banquier élu avec une incroyable abstention 25,4%). Il dispose d’un cabinet bien garni en collaborateurs, chargés de mission et d’un cabinet militaire.

3.2. – Le Gouvernement, les ministres et consorts

Le Premier Ministre apporte son concours (il dispose lui aussi d’un Cabinet bien fourni en collaborateurs) et contrôle ce que font ses ministres, en particulier le Ministre de la Santé (un médecin neurologue avec son cabinet ministèriel). Celà fait trois hommes et leurs collaborateurs (faites le compte !). Le socle est déjà bien garni, il faut lui ajouter les directions opérationnelles techniques :

  • DGOS ou direction générale de l’offre des soins,
  • DGCS ou direction générale de la cohésion sociale,
  • DSS ou direction de la sécurité sociale,
  • CNAMTS ou caisse nationale d’assurance maladie des travailleurs salariés,
  • les 18 ARS ou agences régionales de la santé (le Préfet y siège mais son pouvoir de décision est à démontrer),
  • ASPF ou agence santé publique France,
  • ANSM ou agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé,
  • HCSP ou haut-conseil de la santé publique,
  • ANM ou académie nationale de médecine,
  • CNE ou comité national d’éthique.

Ce qui nous fait treize administrations censées être dirigées par le Président via le Premier ministre et celui de la Santé. Vous pourrez faire le compte de “compétences” en place. Mais il faut encore une couche au mille-feuilles. Le Président (Jupiter tonnant) en rajoute une couche spécialement créée pour le CoVid-19 :

  • CS ou Conseil scientifique,
  • CARE ou comité analyse, recherche et expertise,
  • Comité vaccin Covid19,
  • Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale,
  • CCL-COVID ou Comité de Contrôle et de liaison Covid-19,
  • Comité vaccinal des citoyens (tirés au sort : les 35 alibis !),
  • Task-force vaccins (vous connaissez ?),
  • Conseil de défense,
  • Cellule interministèrielle de gestion de la Crise COVID,
  • CTV ou Comité technique des vaccinations de la Haute-Autorité de santé.

Le Professeur Perrone (Décidément ils n’ont rien compris.- Albin Michel, 2021) y rajoute un conseiller communication de la crise, une ancienne de chez ENGIE proche de Xavier Bertrand. Il est vrai qu’après la communication catastrophique de Madame N’DIAYE !

Le Professeur Perrone résume :

« … Un Président, 2 ministres, 13 conseils, agences ou organismes existants spécialistes de la santé. On en a mis 10 de plus, et une conseillère. Ca fait du monde … » (pp.99-100)

La question se pose de savoir s’ils travaillent ou s’ils s’agitent dans le désordre ? Des personnalités (un Général de l’Armée assisté d’une inspectrice de l’administration) font un rapport (demande par le Primat des ministres) conclut à un manque de cohésion dans la chaîne de commandement, chacun travaille dans son coin pour un résultat nul (résumé Perrone 2021, p. 100). La liste est accablante, nous dirions une agitation stérile et une dilution des responsabilité ! C’est pas moi, c’est l’autre ! Aucune coordination ! Nous renvoyons aux pages 99 à 105 pour décrire ce qu’un certain autre général aurait qualifié de chienlit !

3.3. – Et les consorts

Le livre du Professeur Perrone (2021) est féroce. Il y a les autres, les souterrains plus ou moins visibles : des USAsiens, conseillers et profiteurs en tous poils ! (pp.

  • Société Bain & Company, une USAsienne qui est censée piloter la France dans le dépistage du Corona-Virus (Marianne, 4 avril 2020),
  • Microsoft et Cie récupère l’hébergement de l’intégralité des données de santé des Français (pourquoi ? où est l’appel d’offres international ? avant la passation d’un marché public d’état !),
  • cabinet de conseil USAsien McKinsey & Company en matière de communication (a-t-on besoin de communication ou d’opérationnels dans nos hôpitaux ?).

Le Professeur Perrone souligne le caractère multi-conseillé du Président de la République. Au cas où ? La dilution de la responsabilité joue : c’est pas moi, c’est l’autre ! La paperasse fait tampon. Et tout ce monde suce la mamelle financièrement généreuse de La Princesse : dos large et mamelle généreuse ! Quoi qu’il en coûte ?

Et il y a la couche Europe du mille-feuilles ! Le Parquet européen dont on nous annonce aujourdh’ui la création (1/06/2021) va avoir du travail. L’Agence européenne des médicaments va devoir certainement rendre compte de son action et dénoncer les responsables du scandale du Remdesivir (Xavier Bazin 2021, pp. 71-84), un remède inefficace et dangereux. Celà n’a pas empêché l’Europe.d’en commander pour plusieurs millions de dollars (des €uros ici). A suivre !

4. – Réponse : qui gouverne ?

La réponse à la question sur « qui gouverne la France ? » Son gouvernement, bien sûr, son pouvoir exécutif incarné par son Président de la République, Monsieur Emmanuel MACRON. C’est lui le CHEF, le multiconseillé : un général chef d’état-major général l’a appris à ses dépens. C’est un super key opinion leader (un KOL) ! Dans le cas de la santé publique et de la pandémie. Comme tel, il a le droit à toutes les attentions de ceux qui cherchent à imposer LEUR façon de voir. Les manipulateurs et les manipulés, les ILS des deux titres du Professeur Perronne. Xavier Bazin, le journaliste scientifique (mai 2021) n’hésite pas, il dénonce dans son livre BIGPHARMA, c’est à dire un certain conglomérat d’intérêts financiers gigantesques qui domine l’industrie pharmaceutique, plus particulièrement démonté (Bas les masques …, pp. 187-221). Et là, apparaît clairement la confusion entretenue sciemment ou par ignorance entre la recherche scientifique et l’art de pratiquer la médecine.

4.1. – La recherche scientifique

La recherche scientifique est l’action menée par des scientifiques en vue de produire et de développer des connaissances. Cette recherche est plurielle, menée par des grands organismes institutionnels (CNRS, CEA, INRAE, INSERM, ….) et des Universités. Les domaines sont les sciences physiques, mathématiques, biologiques, humaines, médicales, environnementales, … La Science progresse par observations, déductions, expérimentations, appuyée selon les domaines sur de modestes feuilles de papier et des tableaux blancs (en mathématiques essentiellement) comme de grands équipements coûteux (CERN). Nous nous intéressons particulièrement, ici, au domaine de la recherche médicale. Cette recherche s’exerce sans expérimentations sur l’être humain, c’est strictement interdit ! Les observations sont faites dans les centres hospitaliers universitaires autour desquels gravitent des centres associant médecins praticiens, chercheurs fondamentalistes et personnels techniques d’appui (ingénieurs de recherche, d’études, techniciens de laboratoires, …). Les observations sur les patients en cours de traitements, les autopsies de patients décédés, les expérimentations animales, … sont les seules sources de données. Alors qu’en est-il de la mise au point des remèdes, les médicaments ? Ces derniers sont produits par l’industrie pharmaceutique laquelle investit des sommes considérables pour développer de nouvelles molécules qu’il faut bien pouvoir tester. Ce sont les essais cliniques :

« […] qui permettent d’évaluer de nouveaux traitements […] ou de nouvelles modalités de soins. En effet, avant de proposer de nouveaux traitements à tous les patients concernés, il est impératif de prouver que ces nouveaux traitements sont efficaces et bien tolérés. »

Là se place le nœud du problème : le contact entre l’exercice de la médecine, l’art de guérir des patients et la recherche médicale ou à vocation médicale.

Une maladie peut être mortelle, le médecin qu’il soit généraliste sur le terrain ou le grand professeur et chercheur, a le devoir impératif (serment d’Hippocrate) de guérir son patient avant toute chose et de tirer le meilleur parti des remèdes existants (molécules existantes et éprouvées) sans effets secondaires mettant en danger la vie de ce dernier.

La recherche scientifique médicale est menée surtout par des médecins, des professeurs de médecine surtout. Là se pratiquent des essais cliniques qui obéissent à des protocoles dont le but n’est pas de guérir mais de mettre au point de nouveaux remèdes. Le pouvoir de guérison se fait en comparaison avec des groupes de patients à qui on donne de l’eau claire, salée ou sucrée (placebo) : une substance sans pouvoir soignant et qui dans le cas d’une maladie mortelle peut entraîner la mort de tout ou partie du groupe placebo. Il y a là une contradiction absolue avec la mission de guérison, l’essais clinique est une expérimentation de substances sur l’être humain et en cas de maladie potentiellement mortelle, le placebo est une absence de soins !

4.2. – L’art de guérir les patients

Le médecin, celui qui traite des patients exerce son art en diagnostiquant son patient et en lui prescrivant un traitement. Il peu aussi estimer que l’état de son patient nécessite une hospitalisation plus ou moins lourde en confiant son patient à un centre hospitalier privé (clinique, …) ou public (CHU, …). L’art de guérir va de pair avec la liberté de prescription du médecin lequel a suivi plus de 7 ans d’études générales sanctionnées par un Doctorat en médecine. Je passe sur les années d’internat, sur l’externat, les spécialisations. Des années d’études dont le sommet est le Professorat en médecine et une carrière avec des responsabiltés en centres hospitalo-universitaires.

Il fut une époque assez récente où le médecin délivrait une ordonnance et où un Docteur en pharmacie composait le remêde, le médicament, dans son officine !, sa pharmacie. On est passé au développement de grands laboratoires développant des spécialités pharmaceutiques issues de la recherche bio-physico-chimique, brevetées pour 20 ans en vue de rapporter des revenus aux laboratoires et à leurs actionnaires. Là, le profit vient corrompre le processus vertueux pour faire de l’industrie pharmaceutique un producteur de juteux dividendes (des dizaines de milliards d’Euros ou de Dollars). Xavier Bazin (2021) affime (p. 193) qu’ils forment

« un cartel anti-concurrentiel par définition, qui opèrent de surcroît un marché dans un marché administré dans lequel les États autorisent les médicaments, fixent les prix et, dans la plupart des cas, en assurant le remboursement ».

On est loin des sources, le cartel des industries pharmaceutiques (10 groupes, 50% du marché mondial) a pris la main sur la santé publique, notre santé. Nous vous laissons le plaisir de découvrir comment ce cartel, Big-Pharma, a pris le pouvoir mondialement et dans notre pays en particulier qualifié de « très perméable à l’influence » (exemple cité par Xavier Bazin Mme Agnès Buzyn, ancienne Ministre de la Santé et médecin, prédécesseur de M. Olivier Véran, lui aussi médecin (neurologue).

4.3. – L’influence au plus haut niveau

Le journaliste scientifique Xavier Bazin dénonce dans son livre (p. 194) un certain dîner (référence à un article de Médiapart) le 8 juillet 2019 où le Chef de l’État, en compagnie de son Ministre Buzyn, invite plusieurs représentants de l’Industrie pharmaceutique. Xavier Bazin souligne que, coïncidence, le lendemain 9 juillet, Mme Buzyn annonce le déremboursement de l’homéopathie (notre infra p. 195). Quelle coïncidence fâcheuse ! Un de nos lecteurs a décortiqué pour nous l’article de M. Mérôme Jardin (MEDIAPART) et a découvert le site de l’APM-News qui annonçait pour le 8 juillet 2019 la réception offerte à Big Pharma le 8 juillet 2019 à l’Élysée (La pharma mondiale reçue …). On découvre qu’une autre réception a bien eu lieu le 9 juillet 2018 « Un dîner à l’Élysée » la veille de la réunion du CSIS le 10 juillet 2018. On se demande pourquoi ces réunions au sommet de l’État ? La coïncidence entre ces réunions et certaines décisions favorables à l’industrie pharmaceutique bio-chimique est troublante. Si Jupiter domine bien depuis son poste de Président de la République, lui et ses ministres semblent entendre des murmures provenant de Big-Pharma, du cartel anticoncurrentiel dont nous avons cité ci-dessus le rôle joué dans un marché administré, régulé, financé par notre Sécurité Sociale, la Princesse au dos large qui paie champagne, vins fins et mets raffinés offerts dans ces dîners entre hauts-personnages !

Big-Pharma a trouvé là un ancien banquier dont l’action en ce début de pandémie en octobre 2019 a failli amener notre pays à la catastrophe économique et sanitaire. Est-ce une coïncidence si on trouve sur le site de SANOFI un point sur la situation du Plaquenil et une mise en garde contre le Plaquenil associé à … (hydroxychloroquine et azithromycine). Gageons que le Professeur Didier Raoult saura réagir à cette attaque contre son traitement qui marche si bien contre la CoVid-19 !

observatoire phare

Le veilleur et lanceur d’alerte




L’Institut des Hautes Etudes de la Défense Nationale

Introduction

Logo de l'IHEDN

Un Etablissement public administratif (EPA)

L’Institut des Hautes Études de la Défense Nationale (IHEDN) est le descendant en 1948 du Collège des Hautes-Etudes de la défense nationale (CHEDN). Ce dernier avait pour vocation de «former des hauts-fonctionnaires, civils et militaires, à la préparation et à la conduite de la guerre, dans une vision dépassant le seul cadre militaire». A l’aune de l’évolution de la doctrine de la défense de la France, l’IHEDN évolue et devient le lieu d’explications d’une défense nationale devenue globale et permanente.

La priorité devient l’initiation aux questions de défense des cadres de l’État et du secteur privé, sous l’égide du Premier Ministre (en 1979). L’IHEDN devient le foyer du rayonnement de l’esprit de défense.

En 1997, il devient un établissement public administratif, doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière.

Mission élargie et rénovée

La mission actuelle est élargie aux question de défense, de politique étrangère, d’armement et d’économie de défense. A ce titre, l’Institut réunit des responsables de haut niveau appartenant à la fonction publique civile et militaire ainsi qu’aux différents secteurs d’activité de la Nation, des états membres de l’UE ou d’autres états, en vue d’approfondir en commun leur connaissance des questions de défense des questions de défense, de politique étrangère, d’armement et d’économie de défense.

Les sessions

L’action de l’IHEDN se manifeste par la diversité des formations dispensées dans des sessions nationales ou régionales.

La pédagogie

L’IHEDN se base sur une pédagogie originale :

  • des travaux en comités où se concrétise une riche complémentarité,
  • des conférences-débats au cours desquelles s’expriment des intervenants de haut-niveau,
  • des visites et missions d’études sur le terrain qui permettent une approche concrète de l’enseignement dispensé,
  • des exercices de mise en situation de prise de décision avec rédaction de notes de position.

Les associations régionales et l’union des associations

L’Union des associations d’auditeurs de l’IHEDN (UNION-IHEDN)  a été fondée en 1975, et regroupe et fédère l’ensemble des 43 associations d’auditeurs de l’Institut des hautes de défense nationale (IHEDN) soit

L’UNION-IHEDN a pour vocation de créer des synergies, de renforcer la communauté des auditeurs, de susciter, de développer et de coordonner les activités menées par les différentes associations, afin de sensibiliser le plus grand nombre aux questions stratégiques et de contribuer, ainsi, au rayonnement de l’esprit de défense.

AR12 – Languedoc-Roussillon

Il existe donc une Association Régionale Languedoc-Roussillon (AR-12) qui couvre les départements de l’Hérault, du Gard, de l’Aude et des Pyrénées Orientales. Elle a des correspondants pour :

  • le Trinôme académique,
  • le protocole de défense-éducation,
  • les relations avec les entreprises et l’intelligence économique,
  • des correspondants défense,
  • un animateur des études et forum des travaux d’auditeurs,
  • un chargé de communication presse et médias,
  • un délégué auditeurs-jeunes.

Un comité de réflexion et d’études se réunit régulièrement dans les quatre départements précités. L’Union participe régulièrement à des conférences de garnison organisées trimestriellement avec des associations partenaires, notamment de réservistes de différentes armes.


Logo AA-IHEDN

Logo de l’Union-IHEDN

Un Auditeur IHEDN 1985

Membre de l’Union des Associations d’Auditeurs IHEDN




Islamo-fascisme et victimes


observatoire phare

Argos Panoptes

Nous observons, nous avons l’oeil !

Argos Panoptés

Problématique

Allah Akbar

Illustration Wikipedia, plaque de rue au sud de Jérusalem
(Quartier arabe de Sur Baher).

Madame Chahdortt Djavann est une romancière et essayiste d’origine irakienne, de nationalité française. Elle a publié de nombreux esais et opuscules résolument anti-islamiques.  Elle demande que  l’Union européenne reconnaisse la fatwa (incitation au meurtre) comme un acte criminel et engage des poursuites internationales contre ceux qui décrètent des fatwas.  » Chahdortt Djavann, Le Figaro, 18 février 2008.

Elle déclare que  (Que pense Allah de l’Europe, Gallimard, 2004, p. 7) :

  1. La critique d’une religion quelques sévère qu’elle soit, n’a rien d’un acte raciste
  2. La France est un pays de droit et le racisme est considéré comme un crime par la loi. [On peut être musulman sans que cela constitue une origine raciale ou ethnique, il y a des arabes chrétiens au Moyen Orient et ailleurs].

Le terme d’islamo-fascisme a été introduit dans le débat politique en 1990, par le journal anglais The Independant. Le terme est repris après le 11 septembre 2001 par des intellectuels américains qui dénoncent la parenté entre l’islamisme, les mouvements et régimes totalitaires et les «idiots utilles» qui considèrent que les jihadistes participent à une pseudo-théologie de la libération. Selon François Fillon «on doit parler de totalitarisme islamique». Parce que «islamisme et totalitarisme propagent le culte d’une violence meurtrière qui exalte la mort et la destruction (Viva la muerte vociféraient les franquistes et l’insigne des SS, la totenkopf ou tête de mort !).

L’émission religieuse La Voix de l’Islam sur Antenne2 a vu se succéder en 1995 des prêcheurs barbus qui venaient par les sur nos ondes nationales de la pré-éminence de la loi de Dieu sur celle de la République. La mort a été apportée sur notre territoire national, la France, par toute une litanie de jeunes exaltés, radicalisés dont nous allons citer quelques noms. Allahu Akbar se retrouve en dénominateur commun des attentats et crime. C’est un hymne à une grande nation arabe. Qu’Allam maudisse la France. Nous allons subir les évènements et non les anticiper. La République perd peu à peu ses territoires.

1 – Khaled Kelkal

Khaled Kelkal est l’un des premiers dont le parcours a été médiatisé. C’est un algérien imigré à Vaulx-en-Velin. La prison a joué un rôle dans sa radicalisation et son passage à l’acte. Ses bombes vont faire 21 blessés. Il sera abattu par la Gendarmerie le 6 octobre 1995, les armes à la main. Avec ce partisan du FIS-GIA commence la danse macabre.

2 – Moussa Coulibaly

Moussa Coulibaly (à ne pas confondre avec Amédy Coulibaly), agresse 3 policiers à l’arme blanche le 3 février 2015. Il sera ecroué et mis en examen.

Nous ne déroulerons pas plus la liste des crapules prétrndant agir au nom d’un dieu soi-disant miséricorieux ! Drôle de miséricorde qui assassine !


extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

Un observatoire