Un policier a fait son devoir

Un policier a fait son devoir, mal lui en a pris : il est en prison comme un malfaiteur. Que s’est il passé ? Son avocat dit qu’il a été poussé par le redémarrage du véhicule conduit par le délinquant et que le canon de l’arme s’esr relevé ! A suivre. Voyons les faits.

Un parcours dangereux

Mardi 27 juin au matin à 7h55, une patrouille de deux motocyclistes de la police poursuit un véhicule dont le parcours dangereux a attiré leur attention. Ils intiment, à plusieurs reprises, l’ordre au véhicule Mercedes jaune, de s’arrêter. Refus d’obtempérer réitéré, le véhicule fonce dans Nanterre dans des couloirs réservés aux autobus, met en danger un cycliste et un pièton sur un passage protégé. Bloqué par un embouteillage, le véhicule fou s’arrête enfin et les deux policiers s’approchent. Lors d’une conférence de presse, le procureur de Nanterre, Pascal Prache, a fait le point sur l’enquête ouverte pour homicide volontaire par une personne dépositaire de l’autorité publique. Nous citons Ouest-France :

Une course-poursuite

Pascal Prache a détaillé le déroulé des faits qui ont conduit au refus d’obtempérer en se basant sur les vidéos des caméras de surveillance, des auditions de témoins et des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux. Il a expliqué qu’après avoir pris leur service, les policiers à moto ont remarqué vers 7 h 55 un véhicule Mercedes immatriculé avec une plaque polonaise qui « circulait sur une voie de bus à vive allure ».
Les deux fonctionnaires de police « ont tenté une première fois de procéder à un contrôle » en activant leurs avertisseurs sonores et lumineux en se positionnant à hauteur du véhicule à un feu rouge, après quoi la voiture a redémarré en « grillant le feu rouge ». Trois passagers étaient à bord du véhicule.

Tout va aller très vite. Nous n’irons pas plus dans le détail. Un tir d’un des policiers tente d’arrêter le véhicule qui redémarre. L’affaire est du ressort de la Justice, la présomption d’innocence doit s’appliquer au policier.

Présomption d’innocence

Sans attendre les résultats de l’enquête de l’IGPN, Monsieur Emmanuel Macron, Président de la République, condamne la mort du jeune Naël M. (17 ans), un acte « inexcusable » ! Un jugement venant de très haut ! Une offense grave à l’institution judiciaire. Un jugement choquant de la part du plus haut magistrat de la République : il s’est deshonoré !
 
Seul, le Ministre de l’Intérieur a fait preuve de retenue et a pris la défense de ce policier, son policier !
 

La chienlit dans notre pays

L’attitude de ce jeune délinquant routier, coutumier du refus d’obtempèrer, était un défi à la police dans des zones où la loi républicaine ne s’applique plus et où se sont intallées des lois qui ne respectent pas nos lois !  Les attaques se sont déclenchées dans ces zones contre les symboles républicains : mairies, tribunaux, médiathéques, écoles, etc. Des cris « Allah Akbar » auraient été entendus ! La marche blanche a vu des drapeaux algériens brandis ! 
 
Nous sommes devant un drame où la mère de famille a été privée de son enfant, ce qui est dramatique mais où l’éducation qu’elle a dû donner à son gamin en a fait un rebelle à l’autorité républicaine. Un père de famille absent depuis longtemps, parti on ne sait où. Son bébé, un délinquant, a été victime d’une mauvaise éducation.
 
Jean Aymar
Aux côtés de nos forces de l’ordre



Un policier qui a fait son devoir : en examen !

Un policier qui a fait son devoir : en examen ! Une honte pour nos gouvernants. La victime, un voleur de voitures, sans permis, a tenté de percuter frontalement le véhicule de police, après une course poursuite sur une voie à grande circulation. Nous citons : 

« Deux enquêtes avaient été ouvertes dans ce dossier : une première, confiée à la Sûreté départementale, pour tentative d’homicide sur personne dépositaire de l’autorité publique, une seconde, par l’IGPN, la police des polices, pour homicide volontaire par le policier, auteur du tir. ».

Un malfrat qui a mis et mettait en danger policiers et usagers de la route doit savoir qu’il est susceptible d’être abattu en cas de rébellio. Au lieu de poursuites, il mérite une médaille et les félicitations de ses supérieurs ! Assez de racailles ! 

Autre article. Nous citons : 

« Les faits se sont déroulés mercredi vers 16 h 30, quand un homme de 24 ans circulant sans permis à bord d’un véhicule volé a été repéré sur la voie rapide de Nice en train de « zigzaguer dangereusement », selon les explications de la direction départementale de la sécurité publique (DDSP). Refusant d’obtempérer face aux policiers lui faisant signe de s’arrêter, l’homme avait accéléré et quitté la voie rapide, avant de se retrouver bloqué, de faire demi-tour et de venir percuter le véhicule de police qui le suivait. « Après plusieurs sommations », le policier a tiré « à une reprise sur le conducteur du véhicule volé », une version « corroborée par des témoins présents sur les lieux », avait déclaré Xavier Bonhomme dans la journée de vendredi en annonçant l’ouverture de l’information judiciaire. »

Toujours le même média : 

« … le conducteur, bloqué par une voiture de police à l’avant, fait une marche arrière avant de tenter de déboîter et de redémarrer. Mais il est alors à nouveau bloqué par la voiture de police à l’avant. C’est à cet instant que le policier, arme au poing et debout près du véhicule, tire à travers la vitre côté conducteur. ».

Les proches de la victime contestent les faits ! Qu’ils se taisent ! C’est un danger public qui a fini sa dangereuse cavale qui aurait pu causer des victimes innocentes ! Cet homme était enragé, il devait être stoppé !!!

Le Père Siffleur
Auditeur IHEDN, VRCGN




La police tue au Vénézuela

L’ami vénézuelien

Monsieur Mélanchon est un grand ami du Vénézuela, un pays mené par un autocrate de gauche et où la police tue sans soucis ! Les médias français (La Cinq, C dans l’air, 7/06/2022) fait état de 7.000 morts/an. Un exemle d’une situation embourbée. Monsieur Mélanchon accuse la police française de tuer ! Il voit la paille dans « l’oeil du voisin mais pas la poutre qui oblitère le sien ! ».

Un refus d’obtempérer

Je me réfère au refus d’obtempèrer d’un conducteur samedi 4 juin dernier, en France, à Paris. Trois policiers ont ouvert le feu sur un véhicule qui a refusé de s’arrêter à un contrôle routier. Un véhicule conduit par un conducteur ivre, sans permis, sous l’emprise de stupéfiants ! Les trois policiers, au lieu d’être félicités pour leur courage et l’accomplissement de leur devoir, ont été mis en examen et incarcèrés ! Nous venons d’apprendre ce matin 8 juin, qu’ils ont enfin été libérés de leur garde à vue (4 jours !) et que le conducteur délinquant récalcitrant à été, enfin, inculpé et incarcèré !

Un dommage collatéral

Le conducteur délinquant avait à ses côtés une passagère qui a été blessée mortellement ! Nous estimons qu’elle a été victime du comportement irresponsable de son compagnon. Comment a-t-elle pu ignorer que leur voyage se terminerait tragiquement ? Ignorait-elle le risque qu’elle prenait en montant aux côtés d’un tel individu ? Pouvait-elle ignorer l’état d’ébriété du conducteur ? Elle a payé de sa vie ! C’est regrettable, la vie humaine n’a pas de prix en France, nous regrettons ce dommage collatéral !

Un refus d’obtempèrer est une opération qui se déroule la plupart du temps de nuit et en quelques secondes. A la violence du véhicule qui fonce sur les policiers répond celle des tireurs qui font appliquer la loi républicaine : ce sont nos policiers, nos policiers républicains, ils ont des ordres et sont là pour protéger la vie des autres usagers de la route ! Les exemples ne manquent pas de victimes de la route, de victimes de chauffards ivres et drogués ! Des orphelins de policiers morts dans l’exercice de leurs missions existent : je donne à leur orphelinat ! 

Nous ne sommes pas au Vénézuela où les amis de Monsieur Mélanchon ont la gachette facile ! Les sbires de Monsieur Nicolas Maduro sont bien armés, bien vêtus, soignés, nourris, soignés. Leurs victimes sont des gens du peuple qui luttent pour leur survie.

Nos policiers doivent être soutenus

Les policiers français et la gendarmerie nationale doivent être soutenus, encouragés dans leurs missions dangereuses. Leurs chefs utilisent des méthodes critiquables, ils donnent des ordres parfois excessivement brutaux aux conséquences hélas regrettables comme récemment au Stade de France !

Un ancien auditeur
Institut des Hautes-Etudes de la Défense Nationale (IHEDN)




Deux délinquants tués sur le Pont-Neuf

Dimanche sur le Pont-Neuf à Paris deux hommes auraient foncé en voiture sur une patrouille après un refus d’obtrmpérer qui a renversé le policier qui tentait de procéder à un contrôle.

Les faits

Selon le site de Paris-Match, nous citons : 

« Dimanche peu avant minuit, une patrouille de cinq policiers s’était dirigée vers une voiture garée à contresens, feux de détresse allumés, quai des Orfèvres sur l’île de la Cité, pour contrôler ce véhicule, selon le compte-rendu d’intervention de la police consulté par l’AFP.
Alors que les policiers s’approchaient de l’avant de la voiture, celle-ci a démarré et aurait “foncé vers un des fonctionnaires qui s’est écarté pour l’éviter”, toujours selon la version des fonctionnaires de police.
“Le seul” policier sur place à être armé d’un fusil d’assaut a alors ouvert le feu sur le véhicule qui prenait la direction du Pont-Neuf où il a terminé sa course après être monté sur un terre-plein. ».

Un HK G36

Résultat des courses, le policier, auteur des coups de feu et qui n’a fait que son devoir, a été mis en examen mercredi pour “homicide volontaire” ! ! ! ! ! Son tort, avoir appuyé sur la gâchette de son fusil d’assaut réglementaire HK G36, une merveille fabriquée en Allemagne, capable de contrer un AK47. Dix douilles ont été ramassées, 10 coups de feu en rafale pour que force reste à la loi que ce jeune serviteur de la dite loi à tirés.

Qui lui a permis de porter ce Heckler&Koch a balles blindées ? Son chef ! Et où a-t-il appris à s’en servir ? A l’école de Police !

Les conséquences

Les deux victime, nous citons Paris-Match :

« étaient nés à Paris et résidaient dans le XXe arrondissement. Une source proche du dossier a par ailleurs indiqué qu’ils étaient “défavorablement connus, entre autres pour stupéfiants”.».

Ici on s'honore du titre de Citoyen
Ici on s’honore du titre de Citoyen

Ici, à Citoyens34, nous soutenons les forces de l’ordre (gendarmerie, police, douanes, services de renseignements, etc). Ce policier n’a fait que son devoir, se protéger et protéger ses collègues. On lui a mis entre les mains une arme de la France, il l’a actionnée dans la nuit, il doit être IMMEDIATEMENT libéré et décoré. Nous soutenons financièrement, régulièrement, l’oeuvre des Orphelins de la Police Nationale dans l’espoir que cette oeuvre ne voie pas le nombre de ses pensionnaires augmenter régulièrement. Faites un don.

Que faisaient ces trois automobilistes dans la nuit garés à contre-sens près de la Préfecture de Police ? Des inconscients ou des jihadistes en repèrage ?

Quel signal ces juges envoient aux délinquants de tous poils : vous pouvez foncer impunément sur des policiers, vous ne risquez rien ! INADMISSIBLE !

Force doit rester à la loi !

Un Citoyen volontaire de la Réserve citoyenne
Gendarmerie Nationale
Membre de l’ASAF, Auditeur IHEDN




Assez des nouveaux gilets jaunes

L’observateur Argos Panoprès est furieux et brandit sa matraque improvisée.


Argos Panoptés déchaîné

Argos panoptès

Info

Il y en a assez des dérapages des samedis des Gilets Jaunes. Le mouvent initial a été détourné !

Y’en à Marre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Basta !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Ca suffit !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Les Gaulois en ont marre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Les black blocks à la niche ! Couchés ! Assez de complaisance vis-à-vis des anarchistes.

Samedi 12 février 2022, à Montpellier, des vitrines de banques ont été saccagées ! Les vitres blindées ont résités mais les impacts sont bien visibles !


extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985




Stop à l’agression des forces de police


observatoire phare

Argos Panoptes

Nous observons, nous avons l’oeil !

Argos Panoptés
Un policier a le droit et le devoir d’interpeller les trafiquants de drogue qui tyrannisent nos cités et leurs habitants. Le trafic de drogue est illégal, les trafiquants sont des hors-la-loi (HLL) et la place d’un hors-la-loi est en prison. Le travail des forces de l’ordre (police, gendarmerie, douanes, …) est de coffrer les HLL et de les déférer à la Justice. Toute rébellion doit être sanctionnée sur le champ par les moyens adéquats (menottes, entraves, gaz, …). Mais jamais un détenteur de la force publique ne doit frapper un délinquant neutralisé.
Le devoir de la justice est d’appliquer la loi et de veiller à punir ceux que les forces de l’ordre ont mis sous les verrous.
Le devoir de nos élus est de veiller à ce que les forces de l’ordre et la justice aient les moyens de remplir leur mission !
Le devoir des citoyens est de soutenir l’action de l’état et de ses représentants.
Tous unis contre la délinquance.
Ici on s'honore du titre de Citoyen

Un volontaire de la Réserve Citoyenne de  la Gendarmerie Nationale

Logo IHEDN




Contrer l’islamisation et la radicalisation

Argos Panoptés

In

Contrer l’islamo-jihadisme terroriste

M. Olivier Roy a publié un ouvrage intéressant sur lequel il a été interrogé au Club de la Presse d’Europe1. Il s’est exprimé sur le jihadisme et les jihadistes, apportant une vue nouvelle sur ce phénomène qui nous apporte le terrorisme en France. Il parle d’«islamisation des radicaux » en contredisant Gilles Kepel et ses élèves qui parlent de « radicalisation de l’islam ». Olivier Roy parle de « losers ». Il est vrai que militairement, les partisans de l’État Islamique (ad-dawla al-islāmiyya ou DAECH) a été durement étrillé sur le terrain de l’Irak et de la Syrie. Ils ont perdu mais n’ont pas été éradiqués. Le fondateur de ce mouvement islamiste Abou-bakr-al-Bagdadi est mort au fond d’un tunnel mais des groupes jihadistes, restes du califat, subsistent sur le terrain et ont laissé des relais dans les pays occidentaux, en France en particulier. Comment lutter contre ceux qui ont ce dernier mois, alimenté de manière tragique l’actualité de notre pays.

1 – Un précurseur lanceur d’alerte

Nous ne pourrons dire que nous avons été surpris, surtout en haut-lieu, parmi les hauts-personnages qui nous gouvernent. Xavier Raufer, Alain Bauer, les groupes de travail des Associations régionales des Anciens Auditeurs de l’IHEDN ont suffisamment tiré la sonnette d’alarme. Nous serions gouvernés par des Autistes ou par des gens qui affirment que l’Histoire (avec un H majuscule) commence avec eux. A l’opposé, les scientifiques qui vont traiter un sujet vont rechercher ce qui a été écrit avant eux et en font le point de départ de leur recherche, soit pour contredire, soit pour confirmer et ajouter, de toutes façons, une nouveauté. M. Olivier Roy vient de nous livrer sa version, M. Macron et ses marcheurs devraient bien lire ce que leurs prédécesseurs ont écrit et les lois qui ont été votées. C’est ce que trois auteurs ont publié en 2015 (Le jihadisme: le comprendre pour mieux le combattre.- David Benichou (magistrat), Farid Khoroskhavar (universitaire) et Philippe Migaux (universitaire), Plon (département d’Edit), 2015).

1.1 – un livre a relire

Le livre que nous citons ici est à relire avec attention surtout le chapitre rédigé par le magistrat anti-terroriste (AT) David Benichou (pp. 324 à 403). Les pages consacrées au plan de lutte contre les filères syriennes (pp. 358-368) ont retenu notre attention en les rapprochant des déclarations d’Olivier Roy. Le juge, fort de son expérience de magistrat AT et de son observatoire des phénomènes terroristes nous précise que « Le régime de lutte anti-terroriste est caractérisé par des procédures dérogatoires au droit commun », ce que nous admettons. Les méthodes des terroristes sont abjectes et le fait de lâches. Cependant, avec les autres formes de criminalité, il partage les techniques d’enquêtes strictement encadrées par la loi.

Le juge affirme (page 129) que le terrorisme islamisto-jihadiste emploie les mêmes techniques à la fois ancestrales et modernes : ruse élémentaire (contre-filatures, cloisonnement des moyens de communication) et les formes modernes (navigation Internet, cryptage, détection de micros-espions, de caméras, …). Il affirme que le jihadisme n’est qu’une forme de ciminalité organisée qui emploie régulièrement des anciens braqueurs, de petites frappes (voyous), trafiquants de stupéfiants et de cigarettes, parfaits connaisseurs des techniques d’interrogatoires et d’enquête pour les avoir endurés. Le profil du terroriste se construit avec le temps, soit en prison, soit dans ses quartiers.

1.2 – La stratégie islamo-jihadiste fasciste-terroriste

Quel est le rapport avec l’Islam ? Le jihado-terroriste sait que la liberté de religion est garantie par la constitution. Il va se servir de l’Islam pour semer les graines de la discorde, habiller ses actes crapuleux des valeurs religieuses. Il nous réclame, au nom de nos valeurs les droits et libertés inscrits dans nos textes fondamentaux, pour instituer une organisation totalitaire à caractère religieux (une théocratie). Lui ou ses maîtres à pense osent puiser dans le versets les plus belliqueux du Coran et les hadiths les plus sombres les affirmations les plus radicalement opposés à nos valeurs.

Le juge nous dit (p. 129), en 2015, que « l’assassinat perpétré à Charlie-Hebdo en a été la sanglante démonstration » (refus de reconnaître la primauté de nos lois).

1.3 – Le manque total d’esprit humoristique

La culture moyenâgeuse reçue par les candidats au martyre ignore totalement ce qu’est l’esprit critique et notamment le caractère humoristique d’une caricature. L’humour féroce s’oppose à l’interdiction pour le musulman de représenter un visage, voire un corps humain. Il exprime, certes, une dérision mais celle-ci est permise par la loi de notre pays. C’est un droit de l’homme (être humain) de s’exprimer librement Or, le militantisme islamiste se sert de cette liberté pour protester, il en a le droit mais pas le droit de tuer ou d’inciter un jeune écervelé (à qui on a lavé le cerveau) à parcourir 2.000 km depuis la Tunisie pour venir tuer trois citoyens français dans une église ! La pratique d’un tel islam est incompatible avec nos lois, nous sommes en état de légitime défense.

Le droit à la sûreté figure dans nos lois fondamentales, comme le droit de tirer accordé à nos forces de l’ordre devant un agresseur qui les menace.

Le terrorisme jihadiste est un monstre contemporain, une hybridation d’une sous-culture religieuse, d’une haine anti-juive, d’un fantasme conspirationniste, d’un nihilisme et d’un culte de la représentation de soi, le tout se développant sur des terreaux qui, au fil des interrogatoires judiciaires, commencent à livrer leurs invariants structurants. Le juge Benichou met en avant la fragilité des populations visées plus ou moins en difficultés (famille, revenus, emplois, relations affectives, …) chez lesquelles deux dimensions vont faire basculer le levier de la conversion radicale :

  • conversion au sens propre lorsqu’il sera question d’opter pour l’islam,
  • conversion au sens figuré lorsque le musulman d’origine va opter pour la radicalité, pour un projet collectif ou individuel jihadiste violent.

Toute forme d’humour est exclue de la pensée jihadiste.

2 – La reprise des théses sur la radicalisation

Selon le site d’Europe1 (La Club de la Presse, 4 décembre 2015), Olivier Roy reprend et valide sans la mentionner, l’analyse du magistrat David Benichou publiée la même année. Il va plus loin.

2.1 – L’islam, nouvelle aventure

Olivier Roy déclare que les islamistes radicaux sont « d’abord radicaux avant d’être islamistes ». Ce sont souvent des jeunes qui vont très peu à la mosquée, boivent et vont en boîtes de nuit (le portait de l’assassin de la basilique de Nice Ibrahim Issaoui, à ceci près qu’il n’y a pas de boîtes de nuit à Sfax accessibles à un jeune homme pauvre). Ce sont souvent des petits délinquants qui en quelques semaines se laissent pousser la barbe, cessent de boire et de fumer du shit et basculent vers le crime terroriste. Roy évoque un déclic individuel.

2.2 – Les convertis et les autres

En 2015, Olivier Roy souligne le rôle des convertis dans le jihadisme criminel violent. Un quart de ces individus français sont des français de souche chrétiens convertis ou des enfants de musulmans appartenant à la deuxième génération, souvent en rupture avec la cellule familiale et parentale. Ils trouvent dans l’islam radical et le jihadisme “le grand récit fantasmé des Mille et Unes nuits”. Convertis ou musulmans de souche, ces jeunes qui vont peu à la mosquée ont à peine entendu réciter un ou deux versets du Coran parlant d’épées flamboyantes, de courses à cheval ou à chameau, de butins rutilants, de belles esclaves capturées, … On leur promet monts et merveilles au nom de livres qu’ils sont incapables de lire, ils sont analphabètes en langue arabe ancienne. Mail, il y a le rêve de la reconquête de l’Andalus et de la Narbonnaise ! On ne leur dit pas que Charles Martel (Poitiers 732) a filé une bonne raclée aux Sarrazins d’Abd el-Rahman (tué là).

2.3 – Les shahids et les houris : le paradis d’Allah

Ces nouveaux Aladin (Alaeddine) voient s’ouvrir la possibilité de faire le grand récit de leurs aventures nouvelles sur les médias, de devenir des martyrs (shahids) et l’aller au paradis forniquer des vierges éternelles (houris) pour l’éternité”. Ce que leur ont fait croire des prêcheurs sans scrupules ravis d’avoir de la chair à canons bien fraîche. Du statut de losers (perdants), ces écervelés deviennent des vengeurs aux cris d’Allah Akbar. Ils savent que les policiers ont reçu la consigne de les abattre, au cas où ils dissimuleraient des ceintures explosives ! Ils vont au suicide le coeur joyeux ! en entraînant avec eux le plus possible de victimes chez les infidèles (kouffars). Selon Olivier Roy, en se tuant ou se laissant tuer, ils sont purifiés de leurs forfaits antérieurs et peuvent même gagner le paradis pour leur famille !

Comment lutter contre ce fléau ?

3 – Comment lutter

Lutter contre le terrorisme jihadiste et contre ses inspirateurs (DAECH, Al Quaïda et consorts), selon le politologue Olivier Roy, passerait par « passe par l’épuisement de la fascination », … « en cassant ce discours d’héroïsme que DAECH [et consorts] tient sur lui même ». Or, DAECH est donné comme anéanti mais son discours belliqueux et mortifère a été diffusé et entendu dans le monde entier. Abou Mohamed al-Adnani, le ministre des attentats de DAECH, a trouvé la mort en Syrie le 30 août 2016. Il a lancé un appel au jihad contre la Russie et l’Amérique mais on le soupçonne d’avoir organisé les attentats du 13 novembre 2015 à Paris. Ses appels ont été entendus et sont rémanents malgré sa disparition. Entendus et écoutés en France et à l’étranger.

3.1 – Lutte sur notre territoire national

Comme pour la lutte contre le virus Sars-CoV2 (CoVid19), il faut barrer la route à, tracer et dépister le jihadisme terroriste. Il y a un parallélisme entre virus Covid et le virus terroriste.

3.1.1 – Barrer la route à l’immigration indésirable

Nous devons contrôler l’immigration qui entre en France. Nous devons exercer la Souveraineté Nationale. Nos forces de police et de gendarmerie, notre armée, sont là pour nous protéger. Elles doivent recevoir l’appui des réservistes. Au fait, où est passée notre Garde Nationale ? On n’en entend plus parler ! Elle a disparu ! Il faut y ajouter l’action de nos douanes et de TracFin. Tout ce qui réaffirme notre force et notre souveraineté nationale doit être mis en oeuvre, y compris la vigilance citoyenne. Notre pays a une fâcheuse relation à la vigilance citoyenne qui s’est exercée en 1940-45 par la collaboration avec une puissance occupante. En 2020, nous luttons contre l’occupation d’une 5e colonne terroriste et contre une maladie encore mal connue.

3.1.2 – Renseigner nos dirigeants

Le renseignement intérieur est le phare qui éclaire la route des policiers et gendarmes chargés de réprimer les actes délictueux et, surtout, les prévenir, les empêcher. La Direction Générale de la Sécurité Intérieure (DGSI) est chargée de ce travail indispensable. Au moins un attentat par mois est évité.

Du renseignement à la poursuite judiciaire des crimes terroristes, la question se pose des moyens mis en œuvre et de leur répartition. Comment se fait la mise en œuvre des trois composantes successives du traitement (instruction) d’une affaire de terrorisme (d’après David Benichou, 2015) :

  1. acquisition du renseignement,
  2. enquête judiciaire (enquête de flagrance, ou préliminaire) dirigée par le parquet anti-terroriste, information judiciaire sous la direction des magistrats instructeurs anti-terroristes,
  3. phase du procès devant la cour d’assises spéciale composée de magistrats professionnels puis juridiction d’application des peines.

La communication entre les activités de renseignement dans la plus grande discrétion, leur coordination au sommet de l’Êtat posent le problème des libertés publiques, une dérogation à une instruction de droit commun et le travail en commun renseignement-justice. La problématique jihadiste souligne la pertinence du risque de perte du contrôle démocratique qui s’exerce sur le renseignement.

Le problème de la coordination des services (DGSE, DGSI, DRM, DPSD, DND, DRP, etc.) semble en voie de solution. Se pose alors le problème de la coordination avec les autres pays européens.

3.2 – Lutte sur notre territoire européen

Le problème est soulevé de la création d’une agence de renseignements européenne. Après chaque attentat majeur sur le sol européen, des voix s’élèvent pour demander la création d’une agence européenne de renseignement. Ce problème est loin d’être résolu. « Nous n’avons pas d’amis, nous n’avons que des alliés » dit une membre d’un service de renseignement très fermé, la DPSD.

L’agence Frontex déployée sur les frontières de l’Europe ne semble pas donner satisfaction, l’exemple récent du transit de terroristes à travers l’Italie vers Nice en est un exemple. Notre Ministre de l’Intérieur va rencontrer son homologue italien pour traiter directement le problème du refoulement des indésirables et notamment le cas de ce Tunisien qui ‘na pas déposé de demande d’asile, n’a pas été refoulé et a pu gagner la France et la ville de Nice où il a commis son forfait.

3.3 – Lutte à l’étranger

Hors du territoire national commence le territoire étranger. Une certaine coopération existe avec certains états mais le gros du travail de renseignement est le fait de la Direction Générale de la Sécurité Extérieure (DGSE).

C’est une entité dépendant du Ministère des Armées, travaillant en étroite coopération avec la DGSI, son homologue civil. Bien entendu, ses activités sont secrètes. C’est la condition essentielle de son efficacité. C’est une jeune analyste de la DGSE qui a permis à un drone armé de pulvériser la voiture du chef shebabs (un terroriste somalien).

D’autres services sur lesquels il ne nous appartient pas de nous étendre assurent la sécurité de nos armées en opérations extérieures. Mais rien ne pourra être fait si la France, une démocratie, ne se dote pas d’une législation d’exception et, en attendant, n’applique pas les lois existantes et ne facilite pas le transfert des informations vers l’appareil judiciaire.

4 – La barrière législative en France

Le magistrat David Benichou décrit, en 2015, à propos du jihadisme, les 23 mesures découlant de la loi du 13 novembre 2014. Mais qu’en est-il de l’application de cette loi ?

En 2020, on nous annonce une loi sur le « séparatisme ». A-t-elle tenu compte de l’existant ? La loi du 13 novembre 2014 a été conçue pour contrarier les départs vers les terres du jihad (Syrie, Irak, …) et sanctionner les retours de combattants aguerris (hommes, femmes enfants). Déjà en 2015, des rapports parlementaires ont attiré l’attention des gouvernants sur la menace terroriste croissante. Ce sont :

  • Assemblée nationale : rapports Pietrasanta n° 2173 du 22 juillet 2014 et Ciotti n° 2828 du 2 juin 2015 ;
  • Sénat : rapport Goulet-Reichardt n° 388 du 1er avril 2015.

Ces rapports ont en commun d’attirer l’attention de la classe politique sur la menace terroriste croissante due aux groupes terroristes islamistes salafistes de la mouvance radicale (n° 2173 AN : p. 10 et suiv.), sur les conséquences des attentats des 7 et 9 janvier 2015 et de la cyber-attaque contre TV5 Monde (n° 2828 AN : p. 9 et suiv.) et sur l’existence de 1.432 ressortissants français partis vers les zones de combat irako-syriennes dont 119 femmes (n° 388 SEN : p. 9 et suiv.). En 2015, nous sommes sous la Présidence de François Hollande et le mandat ministèriel de Mme Christiane Taubira. Ces rapports semblent n’avoir pas été pris au sérieux pour des motifs idéologiques. Nous en subissons aujourd’hui les conséquences. Nous étions prévenus.

Conclusion

Il a fallu plusieurs années pour que l’ancien ministre des Finances Macron (2014-2017) élu Président de la République en 2017 change de paradigme et découvre l’islamisme, le désignant par son nom en octobre 2020. Pour lutter contre le “séparatisme” de l’Islam politique (jihadisme, islam politique et terrorisme), enfin les mots justes sont employés. Combien de deuils ? En moins d’un mois, Paris, Conflans, Nice ont enfin déclenché une timide répression qui doit aller en s’accélérant. Les mesures destinées à prévenir les retours de jihadistes doivent nous prémunir contre le 5e colonne des jihadistes installés et de leurs suppôts. Il nous faut encore recouvrer notre souveraineté en rendant effective la barrière sanitaire contre l’entrée d’individus indésirables futurs assassins porteurs de haine jihadiste et protéger nos ressortissants quelque soit la religion. Il y a des musulmans éclairés qui subissent aussi la haine de ces individus. Ils ont droit aussi à vivre en paix dans notre pays et doivent être protégés.

Monsieur Darmanin, ministre de l’intérieur, descendant d’un grand-père tirailleur algérien doit pouvoir continuer sa mission. Il a comme Directeur de Cabinet un Préfet qui sait ce que sont les services de renseignement dont il a été le coordonnateur auprès du Président. Son remplaçant devra poursuivre sa mission. Le lien entre les services de renseignement et les instances juridiques répressives doit être plus efficace et la loi doit être adaptée aux circonstances exceptionnelles devant lesquelles nous place le terrorisme islamiste. A l’abri du bouclier enfin opérationnels, un islam modéré, éclairé, débarrassé de l’obscurantisme, pourra enfin s’épanouir en France.smiley


extrait bandeau IHEDN site institut

Un membre de l’ASAF

Association de soutien à l'Armée Française




Vous attaquez la police, vous risquez gros !

Nous observons et vous informons

L’attaque d’un poste de police à Champigny-sur-Marne doit avoir pour résultat l’envoi d’un message de fermeté suivi d’actes : vous attaquez un service régalien de l’Etat, vous risquez de vous faire tirer dessus et d’être lourdement condamnés.

Il est inadmissible que des policiers ne puissent faire usage de leurs armes en état de légitime défense. Il ne suffit pas d’interdire les feux d’artifices et les mortiers vendus à des particuliers ! Il faut que les délinquants comprennent que les conséquences pour eux d’une attaque pareille sera lourde de conséquences. A condition que les tribunaux soient sans indulgence et agissent rapidement.

Nous savons pour les avoir vues lors d’une réception à la Direction de la Police de Montpellier il y a deux ans que les fusils HK MP5 existent mais que leur utilisation est si réglementée qu’ils ne servent à rien dans les coffres fermés à clef.

Un citoyen excédé
Jean PEUPLUS


Un citoyen très en colère !
respectueux des lois républicaines




Politique à la godille

Nous écoutons

Entendu au micro des GG de RMC ce matin 14 novembre 2018 : une citation de Monsieur Edouard PHILIPPE, actuel Premier Ministre (Primat) «notre pays manque d’être gouverné, … nous faisons une politique à la godille ».
J’ajouterais avec des godillots, on bidouille, on bricole, bref une vieille politique et rien de neuf. On pique du fric (les inspecteurs des finances savent y faire !) et on en redistribue avec un tas de seuils et de conditions ! Ca rappelle ce monsieur qui avait sa « petite caisse à outils ! ».
Pensez vous qu’il n’y a rien de changé ?

«Make France Great again »


Un Auditeur IHEDN 1985




Un gendarme se fait tabasser par un boxeur

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observatoire phare

Argos Panoptes

Nous observons, nous avons l’oeil !

Argos Panoptés

Information

Nous nous élevons avec indignation contre le tabassage d’un gendarme par un boxeur professionnel comme contre l’attaque d’un motocycliste de la police tombé au sol. Il est inadmissible que des manifestants respectueux de l’ordre républicain s’en prennent aux forces de l’ordre.

Qui frappe un policier ou un gendarme dans une manifestation commet un acte grave et devra en assumer les conséquences tout comme ceux qui cassent vitrines et automobiles sur la voie publique. Nous addirmons totalement immoral le fait de couvrir avec une cagnotte des faits délictueux.

Mais on est en droit de s’interroger sur le degré de formation militaire à la défense personnelle d’un policier ou d’un gendarme dans la mesure où ne sait pas se défendre contre un assaillant. Quelle est donc la formation en matière de sports de combat de nos forces de l’ordre ?

On peut aussi s’interroger sur la cyber-surveillance des réseaux sociaux par nos services de renseignement. Ces réseaux échappent à tout contrôle des instances gouvernementales.

Il convient d’y réfléchir. Dans la formation d’un karatéka, on apprend les mouvements pour éviter un combattant et le neutraliser en lui faisant très mal, sans le tuer. Le close-combat, çà s’apprend et ça se pratique !

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Un volontaire de la Réserve Citoyenne de  la Gendarmerie Nationale

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