MILDECA ques aquo ?

Objectif : lutter contre la diffusion en France de stupéfiants, quelle que soit leur provenance et les racontars sur une prétendue inocuité, notamment pour les soi-disant « drogues récréatives ». Le revue mensuelle « National Geographic France » (septembre 2025) publie une série de 3  articles (pp. 86-107) que nous utilisons ici. Pour le cannabis : « On constate une popularité en hausse, des effets puissants, de nouveaux usages … Cette drogue est au coeur de nombreuses et épineuses questions de société. ». Au moment où le nouveau gouvernement cherche désespérément à présenter un budget avec un déficit en baisse, ici, à Contribuables34 nous nous posons la question du bon emploi de fonds publics et de l’évaluation des résultats. Il existe des missions interministèrielles supposées lutter contre divers maux, en particulier contre les causes des conduites addictives. Ces conduites, c’est quoi ? (Ques aquo ?).

Vous avez dit MILDECA

Notre attention a été attirée par un organisme qui nous interpelle : la Mission InterMinistèrielle de Lutte Contre les Conduites Addictives (MILDECA). Il existe donc une mission destinée à lutter contre les conduites addictives ou pour faire simple, contre l’usage des drogues et stupéfiants, ces substances nocives qui provoquent des addictions et agissent sur la santé mentale des consommateurs. Nous avons approfondi notre recherche et notre lecture du site internet de la MILDECA. Nous citons :

la MILDECA peut compter sur son réseau territorial constitué de chefs de projets régionaux et départementaux (directeurs de cabinet des préfets, formés à cet effet, depuis 2018, lors de leur prise de poste). Cette action territoriale est déterminante pour répondre aux préoccupations quotidiennes des habitants, relayées par les élus et collectivités, et bénéficier de dynamiques initiées localement.

Nous sommes stupéfaits d’apprendre que Monsieur le Préfet dispose, depuis 2018, d’un directeur de cabinet formé comme délégué local de la MILDECA. A Montpellier, nous avons plusieurs succursales illégales de l’entreprise non-moins illégale que constitue hors-la-loi « l’interprofession du chichon » (nom de l’herbe ou du cannabis ou du kennab ou du haschich).  Plus que jamais, le commerce du chichon ne cesse de prospérer. La presse locale rend compte de quelques actions « coup de poing ». La police partie, les choufs et les charbonneurs reviennent, les caméras de surveillance sont incendiées.

Que faire ?

Il y a bien un Centre de supervision urbaine (CSU) de la ville de Montpellier pour suivre en direct le film des transactions qui se succèdent dans les points de vente de toutes les drogues, 24h sur 24. Tant à La Pegola (Petit-Bard) qu’à la Cité Gély, il  a des écoles et des collèges proches ! Monsieur le Préfet, notre nouveau ministre de l’Intérieur, M. Laurent Nuñez, a exprimé sa préoccupation face au trafic de drogue. Nous sommes un pays démocratique avec des lois mal ou peu appliquées. Nous ne sommes pas l’Iran où on pend le trafiquants ou certains consommateurs. Nous ne décapitons pas comme en Arabie (c’est où, dites ?).

A côté des producteur locaux pourchassés par nos gendarmes, il y a les producteur hors-frontières ! Les vallées verdoyantes du Rif marocain verdoient leur haschich, leur kif ! Les go-fast traversent l’Espagne ou la Méditerrannée. Tout celà doit cesser !

Qui dirige la MILDECA ? La réponse est M. Nicolas Prisse, un médecin nommé en 2017 (document mis à jour le 14/03/2023). Quel est son bilan ?

Jean Aymar
Citoyen de l’Hérault, AAIHEDN 1985




Mauvaise humeur citoyenne

Je ne suis pas d’ici mais je le suis devenu. Les hasards de l’existence et la volonté de mes grands-parents de quitter l’Espagne en 1917 m’ont fait naître « sous un palmier » en 1938, dans la capitale d’un royaume. Le Maroc était alors sous protectorat français. C’est là que le Patriarche et la Matriarche sont venus s’installer pour se construire un avenir meilleur. Mon papa avait alors 7 ans. Débarqué à Casablanca, hébergés à Rabat, la ville du Petit-Pont les a accueillis après un bref séjour à Rabat. Il ont fondé un commerce et nourri des concitoyens français. Il fallait des bras pour faire tourner les entreprises dont les employés, mobilisés et combattants face aux Prussiens, n’étaient plus là au travail.

J’ai été scolarisé dans une école primaire française, j’ai bénéficié de l’éducation gratuite et obligatoire dispensée par des maîtres-maitresses français(es) qui m’ont inculqué des valeurs de la France Républicaine. BEPC, baccalauréat, licence ès Sciences,  diplôme d’études supérieures : je suis parti en 1965 pour la France et en 1966, j’ai intégré l’université à Montpellier. Malgré ma volonté farouche d’être français, volonté contrariée, je ne suis devenu citoyen de mon pays qu’en 1972. Je me suis installé en France et j’ai exerce, chaque fois que je l’ai pu, mon droit de vote, un devoir de citoyenneté. Je suis devenu d’ici et il ferait beau voir que quelqu’un vienne contester mes 53 années de citoyen responsable.

Ce soir, devant le triste spectacle d’une France endettée, de gouvernants indignes, j’exprime ici ma mauvaise humeur et me fais du souci pour mes enfants et petits-enfants. Notre pays est dans la chienlit, un Président de la République nous a endettés au delà de toutes limites permises ! La démocratie française est en crise, les élections qui sont l’expression de la volonté du peuple ont montré un taux record d’abstentions ! Un peu plus d’un quart des électeurs seulement se sont déplacés aux dernières élections. Quelle légitimité serait celle d’un président et de parlementaires élus par un quart des citoyens(nnes) ? 

Il faut voter ! Tous aux urnes aux prochaines élections. « Aux urnes citoyens, fondez vos bataillons ! Marchons, marchons, d’un bulletin pur abreuvons nos urnes ». Que ceux qui sucent nos finances publiques et nous ont amené là ou nous sommes battent leur coulpe ! Le temps n’est plus aux vacances : la France doit être réindustrialisée et se mettre au travail pour nourrir et équiper le pays.

« Amour sacré de la patrie, conduis soutiens nos bras vengeurs. Liberté, liberté chérie, combats avec tes défenseurs. »

Un retraité




Thrombose administrative

Les médias ont commencé à bruisser d’une étrange rumeur, l’incapacité des administrations à faire face leurs obligations, une paralysie bizarre qui engendre des retards à peine croyables. Un exemple nous est donné par les délais incroyablement longs pour obtenir un passeport (plus de 2 mois dans les meilleurs cas) ou le renouvellemet d’une carte d’identité. Non, ne croyez pas que chez Contribuables et Citoyens de l’Hérault nous galéjons ! Aprés la paralysie qui a rendu notre administration victime d’une maladie auto-immune invalidante, paralysante : un syndrome de Guillain-Barré administratif ! Il en résulte une thrombose des circuits administratifs.
La cause ? Des sites internets (des robots) mal programmés, dysfonctionnants (volontairement ou par manque de maîtrise des procédures informatiques ou par manque de personnel qualifié ? Des sites supposés faciliter le travail du personnel administratif et qui ne fonctionnent pas (bouton valider absent !). On dépose un dossier, l’administration ne le trouve pas, il dort depuis un mois sans que rien ne se passe !
Ne venez surtout pas leur rendre visite, l’adresse est fausse et de toutes façons, les visites sont impossibles sauf rendez-vous que vous n’obtiendrez pas. Essayez une demande de rendez-vous en utilisant le courriel de ladite administration. Un logiciel parlant anglais (nous sommes en France, le français est la langue OFFICIELLE !!!), un certain « SIEVE » vous informe du rejet de votre courriel. Et puis, une réponse qui sent la thrombose administrative : nous avons trop de dossiers, soyez patient, le délai d’instruction est de 42 jours (6 semaines) soit 30 jours ouvrés ! Incroyable : un AVC administratif, un caillot bouche une artére, c’est la thrombose !
Soyez patients ? La réforme des retraites occulte tout dans le paysage audio-visuel !
Contribuables-Citoyens, vous pouvez agoniser en paix devant le lock-out d’une adminstration qui a fermé ses portes au public n’est pas capable d’assumer ses responsabilités !




Chasse à la drogue

Introduction 

La drogue fait partie des substances illcites ou stupéfiants qui, outre de provoquer des états perturbés sur ceux qui en consomment, rend les consommateurs addicts (provoque des accoutumances ou addictions). Les drogues diverses perturbent le système nerveux et la chaîne des neurotransmeeteurs.

A Montpellier

Nous apprenons, en 2018, que Monsieur le Préfet tolère que les dealers de drogue opèrent tranquillement à Montpellier. La tranquilité de ce haut-fonctionnaire est elle à ce prix ? Il est chargé de faire appliquer la loi de la République et il a à sa disposition (du moins nous l’espérons) les forces de police nécessaires (DDSP, BAC, SRPJ, …) et l’appui de la justice (Procureur de la République, …) ?

Alors, citoyens, soyons vigilants. Il nous appartient de dénoncer les quartiers où ce triste trafic illégal met en danger la vie de nos enfants. Notre hymne national dit bien « Aux armes citoyens …. ». Nous n’allons par prendre littéralement des armes, c’est illégal. Mais « Formons nos bataillons », oui ! Pour être vigilants dans nos quartiers et dire à Monsieur le Préfet qu’il lui appartient de lutter avec nous !

Ailleurs

Le 3 juillet 3018, des policiers qui effectuent un contrôle à Nantes sont confrontés à un jeune homme de 22 ans qui refuse de se laisser contrôler. Selon le site de France-Info, nous citons « Lors du contrôle routier, les CRS ont constaté « un comportement bizarre de l’automobiliste qui n’avait pas ses papiers sur lui. » Selon Daniel Chomette, les forces de l’ordre sur place « ont décidé de le conduire à l’hôtel de police le plus proche, pour effectuer des vérifications, c’est une démarche tout à fait normale. » ». Le comportement du jeune homme est tout à fait curieux, nous citons « Le jeune homme a refusé de « suivre » les policiers, « il a enclenché la marche arrière, a percuté l’un des fonctionnaires sur place. Dans le cadre de ce qu’il a estimé être de la légitime défense, un autre policier a fait usage de son arme », explique Daniel Chomette. Le jeune homme n’était pas armé, mais « la légitime défense ne s’opère pas que sur le port d’arme ». ». ( M. Daniel CHOMETTE est secrétaire général du syndicat Unité-SGP Police FO. (MAXPPP)).

Il y a là un comportement de refus d’obtempérer, de reconnaître l’autorité des lois de la République et de ses représentants légitimes. Il est regrettable que ce comportement d’un jeune de 22 ans ait abouti à sa mort. En refusant d’être contrôlé conformément à la loi de notre république, en enclenchant la marche arrière et en percutant un des policiers, ce jeune rebelle à la loi s’est vu appliquer, malheureusement pour lui, la réponse d’un fonctionnaire de police usant de légitime défense. « Dura lex, sed lex » !

Il apparaît après enquête, nous citons « La voiture du jeune homme était surveillée, en raison de soupçons de trafic de stupéfiants, a précisé une autre source policière à France-Info. ». Monsieur Aboubacar FOFANA 22 ans, la victime, selon l’hebdomadaire Valeurs Actuelles (n° 4259 du 12 juillet 2018, p. 64) a un palmarès que bien des journalistes ont ignoré : « […] dit « Le Loup », connu pour vol avec effraction, menaces de mort, vol en bande organisée, association de malfaiteurs, recel, roule sans ceinture, sous mandat d’arrêt, dans un véhicule signalé […] ». Il tente de se faire passer pour «  un autre jeune du quartier ».  « La situation se tend, le délinquant veut redémarrer, le CRS dégaine, il y a lutte, la voiture enclenche une marche arrière, le coup part. ». Même si ultérieurement le policier a changé de version et invoqué un coup de feu accidentel, le fond de l’affaire ne change pas.

Les émeutes qui ont suivi à Nantes (3 nuits d’émeute) sont les indices d’un grave malaise contre nos lois républicaines. Le trafic de drogue est un délit grave. Ici à Montpellier sur des trajets bien précis, des comportements inciviques de conducteurs de gros véhicules noirs revélent des trajets de livraisons vers des cités bien connues. Ceci est confirme par les coups de feu tirés à Montpellier, à la Cité Gély le 17 juillet 2018, lors d’une perquisition dans ce que le quotidien Midi-Libre présente comme « un haut lieu de l’organisation du trafic de drogue régional » ! Haut-lieu régional, vous avez bien lu ! Monsieur le Préfet, son DDSP et le SRPJ ainsi que Monsieur le Procureur ont enfin donné un coup de pied dans la fourmilière ! 15 ou 17 coups de feu, ce n’est pas anodin !

Retour sur Montpellier

Le site Internet du quotidien Midi-Libre donne de nouvelles informations : «17 tirs à l’arme de guerre sur des policiers ». Ce n’es plus anodin. Même s’il n’y a eu ni blessés ni victimes notamment parmi les policiers qui étaient vises : « Le ou les tireurs ont bel et bien visé les enquêteurs. Une source proche de l’enquête indique que 17 impacts ont été relevés sur la façade d’une résidence. Une vingtaine de douilles ont été récupérées et placées sous scellés. ». Le site précise « L’arme à feu utilisée n’est pas une Kalachnikov, selon nos informations, mais une arme de guerre. Fort heureusement, personne n’a été atteint. ».  Nous précisons que la kalachnikov est un fusil d’assaut d’origine soviétique connu sous le nom de AK47, produit dans une trentaine de pays. C’est l’arme favorite des terroristes. Mais il semble que le calibre soit du lourd, 9 mm, ce n’est pas un AK47 mais une autre arme.

Mais déjà, des lecteurs de Midi-Libre signalent que le dealer interpellé avec 2.048 € en liquide a été remplacé, le trafic continuerait ! Il est possible que le tireur soit venu à pied à travers le parc de la Gurilande après avoir été déposé par la voie de la Liberté et qu’il se soit enfui par là. Avait-on pensé à sécuriser le nord de la Cité Gély ?

Nous sommes en démocratie, des comportements mous mettent en danger des citoyens respectueux des lois. Les forces de l’ordre (policiers, gendarmes, pompiers, …) sont devenus des cibles. Policiers et gendarmes doivent pouvoir se défendre et être capables de de défendre, même hors de leur service, avec toutes les ressources des arts martiaux. Des voyous doivent savoir que s’en prendre à un membre des forces de l’ordre (policier-policières et gendarmes hommes et femmes) peut leur être très dangereux.

A bon entendeur, salut.


extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

Ici on s'honore du titre de Citoyen




La gabegie des fonds publics

Grad logo Contribuables 34

Nous avons reçu de divers correspondant des questions concernant la gabegie des fonds publics de la part de collectivités territoriales. Nous en avons fait une courte synthèse.

L’autonomie financière (érude du Conseil Constitutionnel) a longtemps été réclammée et finalement obtenue.

Constat

Etes-vous d’accord avec le gaspillage des fonds publics par les collectivités territoriales ? La loi (Loi organique n° 2004-758 du 29 juillet 2004 prise en application de l’article 72-2 de la Constitution relative à l’autonomie financière des collectivités territoriales) a permis aux maires et présidents de conseils départementaux, agglos, métropoles, … de se passer du contrôle à priori de leurs dépenses par les Préfets.

Un citoyen mécontent

Qui contrôle ?

Alors, nos dépensocrates peuvent faire ce qu’ils veulent ? Qui les contrôle alors ?

Contribuable30

Contrôle à posteriori

Les Préfets doivent contrôler à posteriori. Les Cours régionales des Comptes peuvent contrôler et demander des comptes. Rarement suivis de sanctions ! Certains Préfets veulent vivre tranquilles et défèrent rarement devant les juridictions adéquates. Pourquoi ?

Ici, à Montpellier, il existe auprès du Préfet, une Direction des Relations avec les Collectivités Locales (DRCL). Cette direction reçoit, entre autres, les marchés et les commandes votées par les Assemblées délibérantes des dites collectivités (communes, départements, inter-communalités, ….) et doit procéder au contrôle de légalité. Les commissions d’examen et d’instruction des marchés publics doivent comporter un représentant de la Trésorie générale, l’expérience personnelle prouve que de grands marchés publics ont été instruits en l’absence de représentants de la Trésorerie (exemple : marché de l’usine de méthanssation de Montpellier dénoncé par l’ODAM). Il y a rarement des suites devant les organismes de répression de la délinquance financières (saisine des préfets ! entre autres !). Pourquoi ?

Il existe des associations de lutte contre la corruption qui essaient de lutter (ANTICOR, …). Il y a aussi des associations citoyennes comme celle que nous voulons réactiver (Association des Contribuables de l’Hérault) ou créer (Contribuables34). C’est à nous de nous mobiliser et d’exiger l’applivation des lois.

Contribuable34

Contribuables de l'Hérault

Signature du Citoyen-Contribuable 34

Ici on s'honore du titre de Citoyen




La chasse aux dealers de drogue

L’observateur Argos Panoprès est furieux et brandit sa matraque improvisée.


Argos Panoptés déchaîné

Argos panoptès

Nous apprenons que Monsieur le Préfet tolère que les dealers de drogue opèrent tranquillement à Montpellier. La tranquilité de ce haut-fonctionnaire est à ce prix ? Il est chargé de faire appliquer la loi de la République et il a à sa disposition (du moins nous l’espérons) les forces de police nécessaires ?
Alors, citoyens, soyons vigilants. Il nous appartient de dénoncer les quartiers où ce triste trafic illégal met en danger la vie de nos enfants. Notre hymne national dit bien « Aux armes citoyens …. ». Nous n’allons par prendre littéralement des armes, c’est illégal. Mais « Formons nos bataillons », oui ! Pour être vigilants dans nos quartiers et dire à Monsieur le préfet qu’il lui appartient de lutter avec nous !
observatoire phare

Le veilleur et lanceur d’alerte