Nous sommes le peuple le plus imposé

S’exprimant le 27 octobre 2025 sur CNEWS et Europe 1, le député LIOT Charles de Courson a dit que « nous sommes le peuple le plus imposé », ajoutant que « La priorité de la France est de réduire la dépense publique». Au même moment, on peut entendre et voir sur les médias les résultats de l’élection présidentielle en Argentine. Le parti « La libertad avanza » mené par Javier Milai triomphe. Nous citons : 

«Malgré deux ans d’austérité, les Argentins continuent de choisir Javier Milei. Ce dimanche, au terme d’élections législatives de mi-mandat visant à renouveler une partie du Congrès, le parti présidentiel La Libertad Avanza a remporté plus de 40 % des votes face à l’opposition de gauche péroniste Fuerza Patria à 31 %. Le parti de Javier Milei est également victorieux à Buenos Aires, circonscription pourtant habituellement située à gauche de l’échiquier politique. »

Nous avons été frappés par l’emblème brandi par Javier Milei, pendant sa campagne :  « une tronçonneuse » ! Oui, il a brandi une tronçonneuse et a publiquement arraché sur un tableau blanc les symboles des sangsues (sanguijuelas en castillan, on le parle en Argentine) représentant des bureaucraties. Il n’a pas prononcé le mot sangsues mais ici nous y pensons très fort. La tronçonneuse à débusquer les sangsues qui se gavent de fonds publics en France ? Pourquoi pas ? Chiche ! ?

Payer des impôts est nécessaire pour devenir un citoyen et un contribuable. Cela ne veut pas dire « corvéable et taillable à merci » ni être un mouton tondu ni une vache à lait  ! Tout  citoyen a le droit de demander des comptes sur l’emploi de ses contributions. Pourquoi pas ? Charles de Courson n’a pas été jusqu’à brandir une tronçonneuse à faire baisser les impôts mais il a souligné que nous en payons trop. La question est de savoir pourquoi ? Dans la défunte Association des Contribuables de l’Hérault on parlait beaucoup de l’évaluation de l’efficacité de la dépense publique comme de la Cour des Comptes et de ses Chambres régionales impuissantes à faire appliquer des poursuites à la suite de ses audits. Une belle impuissance administrative.

Le Père Siffleur
Jean Aymar

P.S. Citer une des actions du président argentin ne signifie pas que nous sommes d’accord avec toutes les propositions de sa politique et notamment  sa proximité avec le président nord-américain des USA. Nous ne retenons que les coupes budgétaires visant à supprimer les dépenses inutiles. En aucun cas, il ne faut désarmer et céder devant les autocrates qui nous font subir les conséquences d’une guerre de conquête contre un peuple libre et indépendant : l’Ukraine. Nous sommes du côté d’un peuple luttant pour son indépendance.

 




Pour être respecté il faut être respectable

Il nous a semblé bon, à l’occasion de l’emprisonnement d’un ancien président de la République, de rappeler ici, en citoyen, les grands principes sur lesquels est fondée notre République. Nous éprouvons aussi le besoin de publier la doctrine du Ministère de la Justice sur son site. Nous soulignons fortement le principe de l’indépendance du pouvoir judiciaire (nous citons) :

« L’indépendance de la Justice est une garantie essentielle pour les personnes qui prennent part à un procès (les justiciables). Ce principe permet au magistrat de prendre sa décision à l’abri de toute instruction ou pression.
La Justice est aussi impartiale. L’impartialité garantit que le magistrat ne se laisse pas influencer par ses opinions ou des préjugés. Et que l’ensemble des arguments des parties feront l’objet d’un examen objectif. »

Le procès auquel a été soumis le Président Nicolas SARKOZY laisse planer un doute sur ce qui vient d »être cité. Dans notre candeur naïve de citoyen respectueux des lois, je pensais que la justice doit s’exercer sur des preuves et non sur des présomptions !

La déontologie

Nous découvrons un texte disponible sur Internet que nous archivons sur notre ordinateur comme preuve. Est-on bien sûr que cette déontologie est connue des hauts-personnages qui président les tribunaux ?  Nous lisons :

« La justice est à la fois un idéal philosophique, une activité et une institution. Son rôle est de préserver la vie en société. À ce titre, la justice assure trois missions : protéger les plus vulnérables, juger les conflits et sanctionner les comportements interdits. ».

Un texte à méditer comme celui qui suit sur le site à lire. « La Justice en France ». Par quel mécanisme difficile à comprendre, un homme présumé innocent (il a fait appel de sa condamnation) dort en prison ? Le droit à la preuve du justiciable a-t-il été respecté ?

Pour être respectée, la Justice doit respecter les lois et selon Montesquieu « L’esprit des lois ». La séparation des pouvoirs est-elle bien respectée ainsi que l’indépendance des juges ? Nous citons un résumé d’une oeuvre qui a pris 14 années de travail à son auteur, publiée en 1748.

 




MILDECA ques aquo ?

Objectif : lutter contre la diffusion en France de stupéfiants, quelle que soit leur provenance et les racontars sur une prétendue inocuité, notamment pour les soi-disant « drogues récréatives ». Le revue mensuelle « National Geographic France » (septembre 2025) publie une série de 3  articles (pp. 86-107) que nous utilisons ici. Pour le cannabis : « On constate une popularité en hausse, des effets puissants, de nouveaux usages … Cette drogue est au coeur de nombreuses et épineuses questions de société. ». Au moment où le nouveau gouvernement cherche désespérément à présenter un budget avec un déficit en baisse, ici, à Contribuables34 nous nous posons la question du bon emploi de fonds publics et de l’évaluation des résultats. Il existe des missions interministèrielles supposées lutter contre divers maux, en particulier contre les causes des conduites addictives. Ces conduites, c’est quoi ? (Ques aquo ?).

Vous avez dit MILDECA

Notre attention a été attirée par un organisme qui nous interpelle : la Mission InterMinistèrielle de Lutte Contre les Conduites Addictives (MILDECA). Il existe donc une mission destinée à lutter contre les conduites addictives ou pour faire simple, contre l’usage des drogues et stupéfiants, ces substances nocives qui provoquent des addictions et agissent sur la santé mentale des consommateurs. Nous avons approfondi notre recherche et notre lecture du site internet de la MILDECA. Nous citons :

la MILDECA peut compter sur son réseau territorial constitué de chefs de projets régionaux et départementaux (directeurs de cabinet des préfets, formés à cet effet, depuis 2018, lors de leur prise de poste). Cette action territoriale est déterminante pour répondre aux préoccupations quotidiennes des habitants, relayées par les élus et collectivités, et bénéficier de dynamiques initiées localement.

Nous sommes stupéfaits d’apprendre que Monsieur le Préfet dispose, depuis 2018, d’un directeur de cabinet formé comme délégué local de la MILDECA. A Montpellier, nous avons plusieurs succursales illégales de l’entreprise non-moins illégale que constitue hors-la-loi « l’interprofession du chichon » (nom de l’herbe ou du cannabis ou du kennab ou du haschich).  Plus que jamais, le commerce du chichon ne cesse de prospérer. La presse locale rend compte de quelques actions « coup de poing ». La police partie, les choufs et les charbonneurs reviennent, les caméras de surveillance sont incendiées.

Que faire ?

Il y a bien un Centre de supervision urbaine (CSU) de la ville de Montpellier pour suivre en direct le film des transactions qui se succèdent dans les points de vente de toutes les drogues, 24h sur 24. Tant à La Pegola (Petit-Bard) qu’à la Cité Gély, il  a des écoles et des collèges proches ! Monsieur le Préfet, notre nouveau ministre de l’Intérieur, M. Laurent Nuñez, a exprimé sa préoccupation face au trafic de drogue. Nous sommes un pays démocratique avec des lois mal ou peu appliquées. Nous ne sommes pas l’Iran où on pend le trafiquants ou certains consommateurs. Nous ne décapitons pas comme en Arabie (c’est où, dites ?).

A côté des producteur locaux pourchassés par nos gendarmes, il y a les producteur hors-frontières ! Les vallées verdoyantes du Rif marocain verdoient leur haschich, leur kif ! Les go-fast traversent l’Espagne ou la Méditerrannée. Tout celà doit cesser !

Qui dirige la MILDECA ? La réponse est M. Nicolas Prisse, un médecin nommé en 2017 (document mis à jour le 14/03/2023). Quel est son bilan ?

Jean Aymar
Citoyen de l’Hérault, AAIHEDN 1985




Mauvaise humeur citoyenne

Je ne suis pas d’ici mais je le suis devenu. Les hasards de l’existence et la volonté de mes grands-parents de quitter l’Espagne en 1917 m’ont fait naître « sous un palmier » en 1938, dans la capitale d’un royaume. Le Maroc était alors sous protectorat français. C’est là que le Patriarche et la Matriarche sont venus s’installer pour se construire un avenir meilleur. Mon papa avait alors 7 ans. Débarqué à Casablanca, hébergés à Rabat, la ville du Petit-Pont les a accueillis après un bref séjour à Rabat. Il ont fondé un commerce et nourri des concitoyens français. Il fallait des bras pour faire tourner les entreprises dont les employés, mobilisés et combattants face aux Prussiens, n’étaient plus là au travail.

J’ai été scolarisé dans une école primaire française, j’ai bénéficié de l’éducation gratuite et obligatoire dispensée par des maîtres-maitresses français(es) qui m’ont inculqué des valeurs de la France Républicaine. BEPC, baccalauréat, licence ès Sciences,  diplôme d’études supérieures : je suis parti en 1965 pour la France et en 1966, j’ai intégré l’université à Montpellier. Malgré ma volonté farouche d’être français, volonté contrariée, je ne suis devenu citoyen de mon pays qu’en 1972. Je me suis installé en France et j’ai exerce, chaque fois que je l’ai pu, mon droit de vote, un devoir de citoyenneté. Je suis devenu d’ici et il ferait beau voir que quelqu’un vienne contester mes 53 années de citoyen responsable.

Ce soir, devant le triste spectacle d’une France endettée, de gouvernants indignes, j’exprime ici ma mauvaise humeur et me fais du souci pour mes enfants et petits-enfants. Notre pays est dans la chienlit, un Président de la République nous a endettés au delà de toutes limites permises ! La démocratie française est en crise, les élections qui sont l’expression de la volonté du peuple ont montré un taux record d’abstentions ! Un peu plus d’un quart des électeurs seulement se sont déplacés aux dernières élections. Quelle légitimité serait celle d’un président et de parlementaires élus par un quart des citoyens(nnes) ? 

Il faut voter ! Tous aux urnes aux prochaines élections. « Aux urnes citoyens, fondez vos bataillons ! Marchons, marchons, d’un bulletin pur abreuvons nos urnes ». Que ceux qui sucent nos finances publiques et nous ont amené là ou nous sommes battent leur coulpe ! Le temps n’est plus aux vacances : la France doit être réindustrialisée et se mettre au travail pour nourrir et équiper le pays.

« Amour sacré de la patrie, conduis soutiens nos bras vengeurs. Liberté, liberté chérie, combats avec tes défenseurs. »

Un retraité




Monsieur Macron, ça c’est un type formidable

Monsieur Macron, ça c’est un type formidable ! Avec notre argent. J’ai reçu d’un des amis vigilants un document dont je garde précieusement la copie PDF comme justificatif. Son article s’intitule « Les sangsues de l’Elysée ».

Le contexte politique

Nous avons vécu une fin d’année 2024 marquée par une dissolution de l’assemblée nationale nous citons

« Le chef de l’État a annoncé dimanche 9 juin 2024 la dissolution de l’Assemblée nationale. Les prochaines élections législatives se dérouleront les 30 juin et 7 juillet 2024. ».

Il s’en est suivi une instabilité politique et une assemblée nationale où M. Macron a perdu la majorité. Exit Monsieur Attal premier ministre, bonjour Monsieur Barnier primat après des débats interminables sur le budget. M. Barnier est censuré, bonjour Monsieur Bayrou Primat et son budget passé avec le 49.3 et censure rejetée !

Un mauvais budget mais un budget quand même !

Nous continuons, en France, à être le pays qui taxe le plus fort ! Ce budget ne sait pas faire des économies dans les dépenses de l’Etat ! Et il n’y a plus d’argent pour les hôpitaux, pour la sécurité des Français (police, gendarmerie, personnel pénitentiaire, etc.). Notre ami parle des sangsues de l’Elysée ! Sangsue :  petit animal peu ragoûtant dit le web !  Parlons de celles dont notre ami dit qu’elles sont « Les Sangsues de l’Elysée » (selon R. T.).

Les sangsues de l’Elysée

Notre ami ne cite pas tout ! Il faudrait faire une grande chasse aux suceurs de sang, le sang étant en l’occurrence aux petites bêtes peu ragoutantes. Il y en a ! Parlons de ceux et celle qui se cachent sous le vocable « d’ambassadeurs chargés de … ». Nous ne les nommerons pas de manière explicite. Nous nous contenterons de désigner leurs fonctions. Ce sont des ambassadeurs thématiques et ils coûtent cher à la nation !

  1. Ambassadeur pour les droits de l’Homme chargé de la dimension internationale de la Shoah, des spoliations et du devoir de mémoire.
  2. Ambassadeur délégué à l’Environnement.
  3. Ambassadeur délégué interministèriel à la Méditerrannée.
  4. Ambassadeur délégué à la coopération régionale dans la zone de l’océan Indien.
  5. Ambassadeur délégué pour les commissions intergouvernementales, la coopération et les questions frontalières.
  6. Ambassadrice chargée des négociations sur le changement climatique pour les énergies renouvelables et la prévention des risques climatiques.
  7. Ambassadeur pour le partenariat oriental de l’Union européenne et de la Mer Noire, co-président du groupe de Minsk.
  8. Ambassadeur chargée de l’adoption internationale.
  9. Ambassadeur délégué à la coopération régionale dans la zone Antilles-Guyane.
  10. Ambassadeur chargée de la lutte contre le VIH-SIDA et les maladies transmissibles.
  11. Ambassadeur chargé de la stratégie internationale en matière de lutte contre le terrorisme.
  12. Ambassadeur chargée de la négociation international pour les pôles Arctique et Antarctique.
  13. etc : à complèter … (il y en a 25 au total).

On en connaît 28, le montant de leurs émoluments est secret sauf pour une certaine Ségolène (17.500 €/mois), pour le patron de la CNIL (160.000 €/mois), le PDG du CSA (188.000 €/an), …

La Sénatrice UDI Nathalie Goulet, interrogée dans « Pièces à conviction » sur France 3, déclare, je cite : 

« La France a plus d’ambassadeurs que d’ambassades. Pour occuper ces hauts fonctionnaires sans poste, l’Etat a trouvé une solution : les nommer ambassadeurs thématiques. Infatigable, la sénatrice Nathalie Goulet dénonce un mode de désignation opaque et dépose depuis six ans des amendements pour rendre public leur coût réel. Extrait de « Pièces à conviction » « .

Ce ne sont pas les seuls privilégiés du système. Il y a là de sacrée économies à faire dans le budget de l’Etat en supprimant ces copinages !

Autres privilègiés lambda 

Il sont nombreux. Nous les citerons un par un, au fur et à mesure de notre lecture, toujours non nominativement. La Sénatrice sait que quoi elle parle.

  1. Les chauffeurs (conducteurs d’automobiles), les jardiniers, les agents d’entretien du sénat ne sont pas malheureux avec 6.000 €/mois.
  2. Le Gouverneur de la Banque de France n’est pas malheureux avec 37.500 €/mois et une indemnité de logement de 5.643 €/moi. Les deux sous-gouverneurs ont touché chacun 223.735 €/an chacun.
  3. Le vice-Président du Conseil d’Etat, âgé de 65 ans, se cramponne à ses 16.170 €/mois plus …
  4. Le président de la CNIL n’est pas mal non-plus avec 16.170 €/mois
  5. Le Président de l’Autorité des marchés financiers émarge pour 238.735 €/mois.
  6. La présidente de l’Autorité de la concurrence touche 14.800 €/mois.
  7. Le Président de la Société du Grand-Paris : 17.000 €/mois.
  8. Le Président du Centre National de la Chanson, des variètés et du jazz émarge à 12.000 €/mois.
  9. Le Directeur général de l’AFPA (formation peofessionnelle des Adultes) : 16.230 €/mois.
  10. Les énarques de Bercy : ils sont 600 hauts-fonctionnaires qui perçoivent au moins 15.000 €/mois.
  11. La Présidente de la « réunion des musées de Paris : 16000 €/mois.
  12. Le chargé de la promotion de l’internationalisation de l’économie française : 16.000 €/mois. Que signifie cette fonction ?
  13. Le Président de l’ADEME :
  14. Le Président de l’INA : 
  15. Le Président de l’ANRU :
  16. La Présidente de la commission nationale du Débat Public :
  17. Le Directeur régional des finances publiques d’Ile-de-France : 21.290 €/mois.
  18. Le Secrétaire Général du Ministère des Finances : 15.710 €/mois NETS !
  19. Le patron du Corps des Mines : 14.200 €/mois.
  20. Le chef de l’Inspection Générale des Finances (IGF) : 12.955 €/mois NETS !
  21. Le PDG des Aéroports de Paris : 450.473 €/an.
  22. Le Directeur général de CNP Assurances : 450.000 € en 2016 !
  23. Le Président de l’Institut du Monde Arabe (en déficit de 3 millions/an) : 120.000 €/an.

De très hauts-fonctionnaires

  1. Vice-président du conseil d’Etat : 16-170 € mensuels NETS.
  2. Président de l’Autorité de la Concurrence : 14.800 mensuels NETS.
  3. Premier président de la Cour des comptes ; 14.700 € NETS.
  4. Directeur de l’Agence régionale de Santé d’Ile-de-France : 16.700 à 17.000 e BRUTS mensuels.
  5. Directeur Général de Sciences PO Paris : 16.670 € brutd.

Nos diplomates ambassadeurs en poste

  1. Tous les ambassadeurs touchent plus de 15.000 €/mois, logés, chauffés-climatisés, nourris, chauffeur, etc.
  2. Cas particuliers : l’ambassadeur en Afghanistant touche un supplément pour risques (29.000 €/mois) comme celui au Yémen (23.000 €/mois).

Autres très hauts fonctionnaires

  1. Les Trésoriers-payeurs généraux (TPG), 1 par département : en moyenne 200.000 €/an.
  2. Les préfets : dépositaires de l’autorité de l’Etat et de l’ordre public dans leur département, leur territoire. Par le jeu des primes, on compte 41.000 €/mois pour un sous-préfet (salaire brut de départ après 2 ans : 3.258 €/mensuel) et 65.000 €/mois pour un Préfet (salaire brut de départ : 5.557 € bruts/mensuels), si tous les objectifs sont atteints ! Il y a 127 Préfets affectés à un territoire. Selon la cour des comptes, en 2015, il y avait 127 préfets territoriaux, et 128 préfets hors cadre. Les hors-cadre conservent les avantages de la fonction soit 8.000 €/mois. Un préfet hors cadre (ou préfet en mission de service public pour le gouvernement) est un préfet qui ne dispose pas d’une affectation territoriale. Il est affecté à une mission autre que celle de la direction d’une préfecture. On parle de préfet en mission de service public pour le gouvernement.

Epilogue

Il nous faut arrêter là cette énumération qui donne le vertige !  Nous n’avons rien à titre personnel nominativement contre quiconque. Nous nous contenterons seulement de citer Clémenceau :

« Les fonctionnaires sont un peu comme les livres d’une bibliothèque : ce sont les plus haut placés qui servent le moins. »
Georges Clemenceau – 1841-1929.

Cordialement.
Le Père Spicasse

 

 




Voir les choses en face

Les banlieues de notre pays ont vu s’installer, avec les populations immigrées, une religion qui prétend à exercer un pouvoir temporel, associant politique et croyances. C’est l’islamisme, une version radicale, c’est à dire revendiquant les racines de l’Islam. Cet Islam n’admet pas le concept de laïcité, l’Islamisme est contre la République et prétend imposer la loi d’Allah (Dieu) au-dessus de la loi de la République. Cette religion a ses propres écoles dites école coraniques où est enseigné un Islam radical sous couvert de l’enseignement de la langue arabe du Coran. Ces écoles dissimulées enseignent aux jeunes la haine du koufar (l’incroyant, celui qui ne reconnaît pas Allah).

Alors, pourquoi s’étonner que de charmants bambins de 11 ans profitent et participent aux urgences urbaines en mettent le feu aux écoles publiques, celles où on enseigne le vivre ensemble et la tolérance de la religion de l’autre. L’école de la république est victime de cette 5e colonne jihadiste qui eseigne à ses enfants la haine de notre démocratie laïque. Allez et brulez ces nids de koufars ! Pour nous, ce sont des délinquants juvéniles à redresser et à rééduquer. Pour leur communauté ce sont de vaillants petits soldats d’Allah ! De futurs shaids (martyres).

A méditer. A suivre.

Jean Aymar

 




Hommage à la combattante des contribuables

Avis de décès. La nouvelle est tombée hier 17 mars 2023 sur Midi-Libre : Madame Martine Petitout est décédée le 13 mars 2023 à l’âge de 72 ans. Citoyens-Contribuables de l’Hérault tient à exprimer ici à sa famille et à ses amis sa tristesse et ses condoléances. Madame Martine Petitout était une combattante, nous l’avons connue en décembre 2000 en nous installant à Montpellier et nous avions rejoint l’Association des Contribuables de l’Hérault pour nous joindre au combat de sa vie : la lutte contre les dépenses publiques inconsidérées de la commune de Montpellier sous les mandatures successives de Georges Frèche. Ici, à Citoyens-Contribuables nous tentons de poursuivre son combat. Avec nos amis de diverses associations nous lui avons apporté notre soutien.

Martine avait disparu du paysage audio-visuel sans donner d’explications, nous l’avions rencontrée chez notre pharmacien commun et elle nous avait dit « Je suis malade ». La maladie a eu raison de cette magnifique combattante que son adversaire Georges Frèche n’a jamais pu faire plier.

Le combat continue, repose en paix Martine. Elle a été incinérée et de petites parcelles de ses cendres viendront se mêler au sable de la plage de Portofino, ses cendres ont été dispersées en mer. Nous n’oublierons pas et poursuivons la lutte. Aux tronçonneuses, Citoyens, taillons dans la gabegie.

Au moment où le journal satirique d’opposition « L’Agglorieuse » nous annonce que « Finances de Montpellier en berne : Delafosse est à sec », la disparition de la Combattante des Impôts locaux sera d’autant plus douloureusement ressentie.

Le Père Spicace et le Père Siffleur unis




Thrombose administrative

Les médias ont commencé à bruisser d’une étrange rumeur, l’incapacité des administrations à faire face leurs obligations, une paralysie bizarre qui engendre des retards à peine croyables. Un exemple nous est donné par les délais incroyablement longs pour obtenir un passeport (plus de 2 mois dans les meilleurs cas) ou le renouvellemet d’une carte d’identité. Non, ne croyez pas que chez Contribuables et Citoyens de l’Hérault nous galéjons ! Aprés la paralysie qui a rendu notre administration victime d’une maladie auto-immune invalidante, paralysante : un syndrome de Guillain-Barré administratif ! Il en résulte une thrombose des circuits administratifs.
La cause ? Des sites internets (des robots) mal programmés, dysfonctionnants (volontairement ou par manque de maîtrise des procédures informatiques ou par manque de personnel qualifié ? Des sites supposés faciliter le travail du personnel administratif et qui ne fonctionnent pas (bouton valider absent !). On dépose un dossier, l’administration ne le trouve pas, il dort depuis un mois sans que rien ne se passe !
Ne venez surtout pas leur rendre visite, l’adresse est fausse et de toutes façons, les visites sont impossibles sauf rendez-vous que vous n’obtiendrez pas. Essayez une demande de rendez-vous en utilisant le courriel de ladite administration. Un logiciel parlant anglais (nous sommes en France, le français est la langue OFFICIELLE !!!), un certain « SIEVE » vous informe du rejet de votre courriel. Et puis, une réponse qui sent la thrombose administrative : nous avons trop de dossiers, soyez patient, le délai d’instruction est de 42 jours (6 semaines) soit 30 jours ouvrés ! Incroyable : un AVC administratif, un caillot bouche une artére, c’est la thrombose !
Soyez patients ? La réforme des retraites occulte tout dans le paysage audio-visuel !
Contribuables-Citoyens, vous pouvez agoniser en paix devant le lock-out d’une adminstration qui a fermé ses portes au public n’est pas capable d’assumer ses responsabilités !




Alerte ax contribuables : frais de siège

Savez vous ce que sont les frais de siège ? Non ? Mias vous-nous les payons dans le cadre de la délégation de service public que nos élus municipaux-métropoitains ont voté en faveur de la socitéé SUEZ, délégataire. Qelle DSP ? Réponse : celle de la calamiteuse usine de traitement mécanique des déchets ménagers dite « Unité de Méthanisation » alias « Amétyst ». Cette calamité mise en srvice en juillet 2008 après deux marchés publics dont le premier en 2006 a été retoqué par un concurrent de Vinci. Vinci a livré une usine dont la mise en route a été laborieuse et ne remplissait pas ses objectifs !

Nous reprenons les termes de la Cour Régionale des Comptes « Un fiasco économique et technique » ! Confiée au groupe SUEZ :

« L’usine Suez de Montpellier aussi est loin des ambitions affichées au lancement. Un simple chiffre suffit pour comprendre ce fiasco : seuls 10 % des déchets qui entrent dans les tuyaux sont valorisés par l’usine Ametyst. C’est encore pire concernant la production de compost : 9000 tonnes selon le rapport d’activité pour l’année 2016, très loin de l’objectif de 33 000 tonnes affiché dans le cahier des charges. Ametyst s’en sort mieux concernant la production d’électricité, mais une partie est absorbée en interne, pour faire tourner l’usine.» 

La réunion du comité « COMMISSION CONSULTATIVE DES SERVICES PUBLICS LOCAUX (CCSPL) » a eu lieu le 13 octobre 2022. Un de nos amis a eu la gentillesse de nous communiquer un échange avec la Présidente de cette commission. Il concene le paiement pat Montpellier-Métrople (3M) des « frais de siège » (330K€ en 2021) du délégataire, Suez en l’occurrence, que la collectivité ne doit pas (plus) payer ? !

Ceci voudrait-il dire que la collectivité a payé des millions d’Euros de frais de siège indûment pendant des années pour ce contrat, sans parler des autres contrats ? C’est un scandale qui dure depuis des décennies mais que les grosses sociétés délégataires comme Véolia, Suez, SAUR, … imposent de force aux collectivités pour augmenter leur résultat financier. Ces « frais de siège » en DSP n’ont aucun fondement légal ou juridique. Cela a été démontré dans de nombreuses affaires de DSP portées en justice ou renégociées. La CRC (Chambre Régionale des Comptes) Ile de France offre un excellent argumentaire pages 45-46 de son rapport sur la DSP SEDIF-Véolia que nous détenons. Nous tenons ce document sur demande à disposition de toute personne qui justifierait de son intérêt.

Citoyens et Contribuables de l’Hérault : mobilisez-vous ! 

Le Père Spicace

 

 

 

 

 

 




Courbettes et salamalecs


La Primat des ministres

Un de nos amis nous communique un reportage inédit sur un voyage officiel de Mme Elisabeth Borne, notre Primat des Ministres. Nous le reproduisons ci-dessous. En quoi les contribuables et les citoyens de l`Héraul sont-ils concernés ?
Comme contribuables, il est consternant de constater une dépense d`argent public dans un voyage qui ne nous a rien rapporté. Comme citoyens, il est tout aussi consternant de constater l`abaissement du Primat de nos ministres à faire des courbettes et accepter-faire des salamalecs qui ont humilié encore notre pays : la repentance continue. Je vous laisse découvrir le texte de notre ami. Il décrit un processus d`abaissement « sucer les babouches » ou en français d`ici « lécher les bottes ».


Suceurs de babouches

Introduction

Le président algérien Abdelmadjid Tebboune peut se frotter les mains. La délégation française a fait demi-tour, ce lundi 10 octobre, après deux jours passés à Alger. Deux jours qui ne resteront pas dans les annales des démonstrations de puissance de notre pays. La France, sixième puissance mondiale, s’est rarement fait à ce point promener par un pays étranger, dont le PIB atteint 3.765 dollars par habitant en 2021, essentiellement grâce à ses ressources en matières premières, contre 43.500 dollars de PIB par habitant pour la France …

On s`y attendait. Le pouvoir algérien aura pu jouir, sans bourse délier, du spectacle des courbettes réalisées sans honte par l`ancienne puissance coloniale [et ses représentants]. La France avait mobilisé le ban et l`arrière-ban. Pas moins de quinze ministres ont traversé la Méditerranée. Sur place, Élisabeth Borne a déposé, comme prévu, une gerbe au monument des Martyrs, haut lieu de la mémoire algérienne de la guerre d`indépendance menée contre la France et ses soldats d`active ou en cours de service militaire. Soit une gerbe aux anciens ennemis du pays …

Travailler pour le roi de Prusse ?

Tout cela pour … rien ou pas grand-chose. Le gouvernement algérien pourra se vanter d’avoir fait venir la moitié du gouvernement français et de l`avoir bercé des flûtes de l`amitié. Pas un accord concret, ni sur le gaz, ni sur les visas, ni sur les retours des migrants illégaux expulsés de France – les dossiers brûlants actuels. Pas un mot officiel sur la densité d`Algériens dans nos prisons et devant nos tribunaux. Le président algérien a gentiment promené ses visiteurs. « Il y a des discussions qui se poursuivent dans des domaines où nous n’avons pas encore signé d`accords », susurre-t-il, la bouche en cœur.

La visite a tourné à la foire aux protocoles : les ministres français présents sur place en ont signé pas moins de douze, truffés de belles phrases, de grandes déclarations d’amitiés et d’intentions naïves qui n’engagent à rien.

De son côté, le Premier ministre algérien Aïmene Benabderrahmane est allé droit au but : « Bienvenue aux investisseurs français en Algérie. » Les deux gouvernements ont d’ailleurs mis sur pied un forum d`affaires franco-algérien. Autrement dit, bienvenue à l’argent français ! Message reçu cinq sur cinq par Élisabeth Borne : « L`Algérie est engagée dans une ambitieuse diversification de son économie. Les entreprises françaises sont prêtes à participer à ce mouvement, à contribuer à l`amplifier », caresse le Premier ministre. C’est une nouvelle période, une nouvelle page, une nouvelle relation qui s’ouvre, explique le pouvoir. Jouez, flûtes du désert [raïtas], chantez coucous ! La France ronronne de bonheur et ferme les yeux : l`Algérie, elle, se frotte les mains. L`Hexagone est déjà le deuxième investisseur en Algérie, selon le FMI. 500 entreprises françaises emploient là-bas 40.000 salariés. Tout cela ne semble pas engager les autorités algériennes à la reconnaissance vis-à-vis de la France, loin s`en faut.

Le gaz ? Un contrat mirifique vient d`être noué avec l`Italie. L`Espagne s`approvisionne largement en Algérie. La France, elle, est revenue bredouille. [ce gaz nous a appartenu naguère]

Des problèmes réglés ?

L`immigration illégale ? Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin en a, paraît-il, longuement discuté avec son homologue algérien. Les discussions se prolongent. C’est drôle, on a comme un doute sur leur issue… Les fameuses OQTF (obligations de quitter le territoire français) des citoyens algériens venus chez nous d`un bel élan de générosité mais en toute illégalité ? Darmanin aurait évoqué le sujet, discrètement, en tête à tête. En attendant, Paris fait semblant de serrer les visas, ce dont les immigrés clandestins n`ont cure. Pour Alger, la France reste une sympathique vache à lait qu`on rémunère au mieux de belles promesses et au pire d`un seau d’injures.

L’Histoire

On allait oublier la commission d`historiens désignés par les deux pays pour apaiser le climat : sur ce point, la France est proche d’un accord. On craint le pire … La France a bien fait de mobiliser la moitié du gouvernement et pas mal de kérosène au moment où les Français faisaient la queue à la pompe. Évoquant ce voyage en Algérie, Élisabeth Borne a fait part de sa satisfaction : « J`ai le sentiment que, ensemble, nous avons avancé », s`est réjoui le Premier ministre.


Nous approchons du jour où notre mémoire célèbre le souvenir des morts, le 1er novembre. Nos familles ont laissé, là-bas en Algérie, des cimetières dont une grande majorité a été profanée, les tombes éventrées, les cercueils jetés à la décharge ! Nous n`oublions pas ! Assez de baisser notre pantalon !

Le Père Siffleur