Deux petites filles n’auront plus de Maman !

Information

Un vendredi soir de Ramadan, un moment dit “saint” pour les musulmans, un soir de peine et de recueillement pour nous citoyens français. Une fonctionnaire administrative de police égorgée devant son commissariat de police, dans le sas de sécurité, par un tunisien de 36 ans entré en France en 2009.

L’attaque, aux cris d’Allah Akbar, a été préméditée. Plusieurs repérages ont été remarqués mais n’ont entraîné aucune mesure de sécurité particulière. L’assaillant aurait été interpellé plus tôt dans l’après-midi.

Deux petites filles (18 et 13 ans) ne reverront pas leur maman. Elle est morte victime d’un assassin qui a payé son forfait, abattu par un collègue de la victime qui a réussi à déverrouiller le sas de sécurité du commissariat et a tiré deux fois. Les policiers doivent apprendre à se défendre, être sur leurs gardes et savoir les gestes qui dévient les coups mortels. Celà s’apprend, c’est le close-combat qui s’apprend dans les armées. Tout fonctionnaire de police doit savoir se défendre à mains nues et tenir un agresseur à distance et ne jamais laisser quiconque dans son dos sans se mettre de profil, prêt à lancer ses bras vers le haut. Quelques secondes de résistance peuvent faire la différence entre la vie et la mort.

L’enquête nous dira quelles sont les complicités et les inspirateurs de l’assassin. Cette ordure avait pénétré en France illégalement en 2009 et avait été régularisé. La justice républicaine doit passer sans faiblesses. Notre pays n’a que faire de ces voyous qui se radicalisent. Quelle mosquée fréquentait-il ? Pour la première fois, notre Président fait le lien entre immigration et terrorisme islamique.

Notre qualité d’Ancien Auditeur de l’Institut des Hautes Etudes de la Défense Nationale nous fait obligation de réclamer justice et de mettre en garde contre le terrorisme jihadiste-islamiste.

Nous nous inclinons devant la mémoire de cette victime et assurons son époux, ses enfants et ses collègue de la peine que nous éprouvons. . Pleurons, oui, mais debout !



Un citoyen très en colère !
respectueux des lois républicaines

Nous validons cette contribution et rajoutons un lien vers un site d’information.




La chasse aux dealers

Emblème république

Problème ?

Nous apprenons que Monsieur le Préfet tolère que les dealers de drogue opèrent tranquillement à Montpellier. La tranquilité de ce haut-fonctionnaire est à ce prix ? Il est chargé de faire appliquer la loi de la République et il a à sa disposition (du moins nous l’espérons) les forces de police nécessaires ?

Alors, citoyens, soyons vigilants. Il nous appartient de dénoncer les quartiers où ce triste trafic illégal met en danger la vie de nos enfants. Notre hymne national dit bien “Aux armes citoyens ….”. Nous n’allons par prendre littéralement des armes, c’est illégal. Mais “Formons nos bataillons”, oui ! Pour être vigilants dans nos quartiers et dire à Monsieur le préfet qu’il lui appartient de lutter avec nous !

12/12/2020 : le Préfet actuellement en poste semble plus actif contre la voyoucratie de la drogue que son prdécesseur de 2018 !

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Un volontaire de la Réserve Citoyenne de  la Gendramerie Nationale

Logo IHEDN




La Constitution du 4 octobre 1958


Préambule

La Ve république a été fondée par la Constitution du 4 octobre 1958. Ce texte vise la déclaration de 1789, confirmée et complétée par le préambule de la Constitution de 1946, ainsi qu’aux droits et devoirs définis dans la Charte de l’environnement de 2004.

La Charte de l’Environnement fait bien partie de notre Constitution. Elle doit s’appliquer au même titre que la Déclaration de 1789 et du Préambule de la Constitution de 1946.

Le site du Conseil constitutionnel donne le texte en plusieurs langues et en PDF, notamment en langue arabe.


Un Auditeur IHEDN 1985




La citoyenneté

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Définitions

Info

La citoyenneté est le fait pour un individu, pour une famille ou pour un groupe, d’être reconnu officiellement comme citoyen, c’est-à-dire membre d’une ville ayant le statut de cité, ou plus généralement d’un État.

Nous avons même une ministre !

Trois concepts fondamentaux s’attachent traditionnellement à la citoyenneté :

La civilité

C’est une attitude de respect, à la fois à l’égard des autres citoyens (ex. politesse) mais aussi à l’égard des bâtiments et de l’espace public. (ex. transports publics). C’est une reconnaissance mutuelle et tolérante des individus entre eux, au nom du respect de la dignité de la personne humaine, qui permet une plus grande harmonie dans la société. C’est une des bases du « vivre ensemble ».

Le civisme

C’est une attitude qui consiste, à titre individuel, à respecter et à faire respecter les lois et les règles en vigueur, mais aussi à avoir conscience de ses devoirs envers la société. De façon plus générale, le civisme est lié à un comportement actif du citoyen dans la vie publique et quotidienne. C’est agir pour l’intérêt général qui doit l’emporter sur les intérêts particuliers.

La solidarité

C’est une valeur importante de la citoyenneté qui consiste à ne pas considérér la société comme formée de pions juxtaposés mais comme un ensemble d’hommes et de femmes attachés à un projet commun. Elle correspond à une attitude d’ouverture aux autres qui illustre le principe républicain de fraternité. De là découle l’aide aux plus démunis, directement ou par le biais des politiques publiques (ex. impôts redistributifs). C’est une composante importante de la citoyenneté.

Ces trois valeurs donnent à la notion de citoyenneté tout son sens en ne la limitant pas au seul exercie du droit de vote. Une évolution récente a vu l’introduction des principes et actions de démocratie de proximité et de démocratie participative, notamment en matière de défense de l’Environnement.

Logo Citoyen34 réduit

Signature du Citoyen-Contribuable 34




La liberté religieuse


Logo ONU

Le 10 décembre 1948, les 58 États Membres qui constituaient alors l’Assemblée générale ont adopté la Déclaration universelle des droits de l’homme à Paris au Palais de Chaillot (résolution 217 A (III)).
Pour commémorer son adoption, la Journée des droits de l’homme est célébrée chaque année le 10 décembre.
Ce document fondateur – traduit dans plus de 500 langues différentes – continue d’être, pour chacun d’entre nous, une source d’inspiration pour promouvoir l’exercice universel des droits de l’homme.

TÉLÉCHARGER LE  PDF

Déclaration

Cette déclaration Universelle des Droits de l’Homme du 10 décembre 1948 établit que :

Article 18

« Toute personne a droit à la liberté de pensées, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction, ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction, individuellement ou collectivement, en public ou en privé, par le culte, l’enseignement, les pratiques et l’accomplissement des rites. »

Article 19

Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de
ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de
répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par
quelque moyen d’expression que ce soit.


extrait bandeau IHEDN site institut

Auditeur IHEDN 1985

Un observatoire




La Garde Nationale

Un projet

Le problème

Notre pays est confronté depuis plusieurs années à une guerre larvée sur le territoire national, laquelle nous a obligés à mobiliser des forces miliaires en appui aux forces de police et de gendarmerie pour assurer la sécurité des Français en interne (OPINT). Parallèlement, un engagement en opérations extérieures (OPEX) a mobilisé des forces armées. Le besoin s’est fait sentir de disposer de volontaires qui viendraient apporter leur concours citoyen. Nous n’avons plus de service militaire, le nombre de réservistes a diminué dans notre pays.

D’où l’idée d’une Garde Nationale de citoyens mobilisables, à l’instar de ce qui se fait dans d’autres pays (Suisse, USA, …).

Donnez votre avis, utilisez le formulaire de contact. Nous garantissons votre anonymat.

Merci.


Un Auditeur IHEDN 1985




Mal nommer les choses

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Introduction

Selon ce qu’aurait dit le célèbre écrivain Albert Camus, « Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde. ». Les scientifiques mettent un point d’honneur à employer un langage précis consistant- à nommer un chat un chat ! Mal nommer est meurtrier, les mots ont la force des armes les plus redoutables ! Les mots peuvent tuer. Nous n’en sommes pas là mais les évènements de ces derniers jours montrent combien l’emploi de termes recouvrant plusieurs concepts peut nuire. Il s’agit de l’environnement, de l’écologie, de l’intérêt général et des lobbys.

Ecologie dites-vous ?

L’écologie scientifique et les écologues (scientifiques) étudient notre environnement en faisant appel à d’autres sciences auxiliaires comme la climatologie, la pédologie (science du sol), l’océanologie, l’économie, … pour ne citer que les principales. L’écologie politique et les écologistes (politiciens) essaient de défendre l’intégrité de notre environnement et de notre santé en dégageant une doctrine politique qui peut devenir politicienne et en s’appuyant sur les scientifiques, autant que possible.

Défendre l’environnement est une cause d’intérêt général, soit par la politique soit par la science ou les deux ensemble. Cet intérêt général est une cause noble, elle défend l’avenir de l’espèce humaine, cette espèce animale qui est la seule à détruire son environnement au nom de la satisfaction d’intérêts particuliers intéressés par l’appât du gain et l’appropriation des ressources naturelles. Le terme anglais « lobby » et ses dérivés est à proscrire au profit du terme français groupe de pression (GDP). Les lobbyistes ou agents de pression exercent leur art auprès des décideurs politiques, soit pour défendre l’intérêt général ou pour défendre des intérêts privés. Les premiers sont très respectables dans la mesure où ils défendent le « bien public », généralement au sein d’associations. Les seconds, surtout s’ils défendent les intérêts de grands groupes économiques suscitent la suspicion sur leurs méthodes parfois à la limite de la légalité. Certains emploient à leur sujet le terme de « visiteurs du soir » ! Sont-ils légitimes ?

La légitimité est un concept qui se définit d’abord comme ce qui est conforme aux lois, dans un système de gouvernement. Le nôtre est la démocratie, nos lois ont été votées par des instances élues démocratiquement. Mais depuis les progrés de l’écologie. Comme science, l’écologie s’affirme dans la seconde moitié du XXe siècle. Le terme a été inventé en 1866 par Ernst Haeckel, biologiste allemand. L’école française d’écologie scientifique émerge au début du XXe siècle avec G. Bonnier et Ch. Flahault qui transforment l’approche descriptive des organismes vivants en une approche expérimentale. L. Emberger puis Ch. Sauvage (mon maître) créeront le Centre d’Etudes Phytosociologiques (CEPE) du CNRS à Montpellier, en 1961, qui deviendra le Centre d’Ecologie Fonctionnelle et Evolutive en 1988 (CEFE, UMR 5175 CNRS), le plus important des centres de recherches de France. Ceci est pour préciser que la recherche tant nationale qu’internationale en écologie existe bien avec des scientifiques compétents et reconnus. Deux cent ans de recherches internationales on fait émerger les lois scientifiques qui régissent les relations entre les êtres vivants (et notamment les êtres humains) avec les milieux de vie de la planète Terre (sols, atmosphère, océans, …).Ces lois sont intangibles même si elles ne sont pas inscrites dans nos Codes de lois. Elles régissent le fonctionnement de l’écosystème planétaire et des sous-écosystèmes.

Là se situe le nœud gordien : la prise en compte des lois de la nature et nos codes. Le conflit est là, entre les intérêts des groupes économiques à but lucratif et la préservation de la santé des citoyens appuyée sur les connaissances du fonctionnement des écosystèmes. Ces connaissances ont une légitimité scientifiquement établie, il y a urgence pour les rendre légales et légitimes de par la loi.

Ecologie politicienne dogmatique

Ici intervient l’écologie politique qui ne doit pas être appropriée par des idéologies politiciennes mais basée sur des résultats scientifiques. Il y a un toit de verre à faire sauter et le groupe de pression écologique trouve sa légitimité dans le souci de l’intérêt général, notamment de la santé des citoyens. L’attitude niant la réalité du changement climatique est tout simplement criminelle. Comme le souligne Nicolas Hulot, ministre démissionnaire, il y a urgence partout ! La maison brûle ! Glyphosate, plastiques, dégagement de carbone, hyper-cargos porte-conteneurs, hyper-navires de croisière consommateurs de fonds de cuves d’hydrocarbures, … La liste est longue ! Mal nommer les lanceurs d’alertes, le principe de précaution, les agents de pression est une grave responsabilité que prennent les journalistes des médias par ignorance ou insouciance de la gravité du problème et les groupes de pression qui agissent dans l’ombre dans nos institutions contre l’écologie scientifique.


Pierre Rabhi

Pierre RAHBI, écologiste que nous voulons honorer avec le chef Rahoni METUKTIRE (Amazonie)


Chef Rahoni

observatoire phare

Signé : Le veilleur et lanceur d’alerte

Ecologiste indépendant et écologue fatigué




Le point sur la laïcité

Problèmatique

« Rares sont les mots à la fois aussi utilisés et aussi mal compris que celui de laïcité » dit Patrick Weil dans un article publié dans l’hebdomadaire « Marianne » n° 1094 du 2 au 8 mars 2018 (pages 38-40). L’auteur cite le rapport du préfet Gilles Clavreul censé améliorer la coordination des administrations publiques en matière de laïcité.

Nous donnerons ici les idées forces exprimées par l’hebdomadaire Marianne. Selon le site de l’hebdomadaire « Le Point » « Les manifestations d’affirmation identitaire inspirées par la religion se multiplient et se diversifient ». Il ajoute que « ces manifestations et les perturbations qu’elles entraînent sont le fait, dans la grande majorité des cas, d’un islam rigoriste voire radical, mais concernent également catholiques intégristes, mouvements évangéliques et juifs orthodoxes ».

Laïcité et loi de 1905

« La loi de 1905 a prévu des peines de prison pour toute personne qui forcerait quelqu’un à exercer un culte ou qui voudrait l’en empêcher.» L’auteur défend cette disposition de la loi qui semble avoir été oubliée par notre Président de la République qui prétend que cette loi ne s’appliquait pas aux musulmans au prétexte qu’il n’y en avait pas en France en 1905, ce qui est faux ! Les gouvernements se permettent de suspendre l’applications des lois ! (cas de l’Algérie jusqu’à son indépendance).

Le législateur de 1905 avait rédigé une loi de portée générale, universelle. Ce que n’ont pas compris ceux qui font une mauvaise querelle à la notion de laïcité.

Les mauvais débats

Il y a de nombreux débats sur le principe de la laïcité qui proviennent de la projection des différences culturelles, du degré de religiosité ou de discriminations voire de racisme. Tout cela n’a rien a voir avec la laïcité ! Il y a un abîme de méconnaissance sur la laïcité. La laïcité n’est pas un glaive contre les musulmans, c’est une garantie pour eux d’exercer en toute liberté une religion qui respecte nos lois républicaines.

Les bonnes notions

La laïcité est d’abord un régime juridique fondé sur la liberté de conscience laquelle existe dans toutes les grandes démocraties libérales. La manière dont cette liberté est organisée est particulière à la France. La France respecte à égalité le croyant et le non-croyant. L’État est neutre, disposition propre à la France.

La loi de 1905 a prévu des peines de prison pour toute personne qui forcerait une autre à exercer un culte ou qui voudrait l’en empêcher ! M. Clavreuil méconnait cette disposition de la loi, pas plus que les Ministres qu’il a servis !

Pour les élèves de nos établissements, il faut leur apprendre à débattre sur le fond des choses, sur le terrain des idées.

Réfléchir à la laïcité dans l’histoire de notre pays permet de travailler sur l’héritage de la tolérance et du respect des autres qui vient de notre passé. La promesse républicaine de respect des cultes et des consciences est le terrai sur lequel doivent travailler nos enseignants.

En conclusion

Se battre pour l’esprit laïc est se battre pour défendre la garantie de la liberté de conscience et de culte. Les gens qui vivent à travers leur affiliation idéologique et qui se sentent meurtris quand on remet en question leurs idées doivent admettre que leur foi ne peut s’imposer par le meurtre et la vocifération de la grandeur de leur dieu. Ils doivent respecter la loi de notre république, se soumettre ou s’en aller. Se soumettre c’est exercer sa foi en toute quiétude et discrétion.


Un Auditeur IHEDN 1985




La biodiversité

Un site à consulter absolument


Nous nous référons à l’excellent site internet de « Connexion Nature » que vous pouvez atteindre en cliquant sur le logo ci-contre.

L’appauvrissement de la biodiversité est dûe à l’extension des zones urbanisées. L‘urbanisation verticale détruit les habitats individuels et la biodiversité en arbres et buissons des jardins.

Définition de la biodiversité

Nous empruntons aussi la définition de la biodiversité que donne ce site :

« Le terme « biodiversité », issu de la contraction de bio – vie en grec – et diversité, a été utilisé pour la première fois en 1968 pour désigner l’ensemble des êtres vivants, les écosystèmes et leurs interactions. Résultat de plusieurs milliards d’années d’évolution, la biodiversité est complexe et existe à plusieurs niveaux dont les plus connus sont la diversité génétique, la diversité spécifique et la diversité écologique.

La diversité génétique désigne la variété de gènes présents au sein d’une même espèce. Elle permet aux individus d’une même espèce de posséder des caractéristiques différentes. Cette diversité de gènes est nécessaire à toute espèce car elle lui permet d’être résiliente et de s’adapter aux modifications de son environnement. A long terme, l’absence d’une diversité de gènes suffisante peut entraîner la disparition d’une espèce.

La diversité spécifique est la plus connue. Elle désigne la diversité des espèces vivantes. »

La biodiversité conditionne notre survie


Les arguments donnés par le site précité et cette excellente illustration montrent bien l’écosystème planétaire et ses relations avec toutes les composantes de la biosphère, c’est à dire le cadre de vie de notre espèce humaine et tous les phénomènes qui conditionnent notre vie et bientôt notre survie.

Ah ces écolos ! entendons nous journellement. Mais voilà, les sciences qui contribuent à la connaissance de notre Environnement (notre cadre de vie) tirent la sonnette d’alarme et notamment le GIEC (la Cimatologie scientifique. L’émission de gaz à effet de serre (GES), depuis le début de l’ère industrielle en 1760 et son accèlération en 1860 avec la machine à vapeur et les acièries, n’a fait qu’augmenter. Les deux guerres mondiales ont accéléré le phénomène et la construction en béton le poursuit de nos jours. Cimenteries pour le ciment, l’extraction de matériaux et la production d’acier ont pris la suite. Chaque métre carré de bureaux en immeubles est crédité d’une production de 980 kg d’équivalent CO2.

La production d’énergie produit l’émission de GES, consomme des ressources fossiles ou l’extraction d’uranium et engendre des risques majeurs insoupçonnés.

Et on détruit des jardins en ville, on abat de grands arbres pour bâtir de l’habitat verticalisé. Des arbres qui absorbaient du CO2 ! Des puits de carbone détruits par les promoteurs immobiliers avides de business et d’euros.

A Montpellier et méropole

Pour celui qui voyage en France et plus particulièrement dans notre département et dans sa métropole, Montpellier et consorts, la vision de parcelles de villas rasées avec leurs jardins, lea arbres abattus par les Attilas modernes est affligeante.


angle rues de Claret x Chasseurs avant


Attila Liebherr au travail


Beau travail Attila Liebherr

On peut pleurer nos arbres abattus, de coquettes maisons rasées et la gabegie de Gaz à effet de serre pour bétonner à la place un immeuble de 6 étages.

Il suffit de voyager dans le territoire de la Métropole pour constater combien il y a de sites menacés par la pelle mécanique d’Attila-promotion malgré la Charte signée par celui qui n’était à l’époque que le candidat à l’élection. Celà se passait au siège de l’Association « Non au béton ». Depuis, jamais le béton ne s’est si bien porté à Montpellier.

Il faut sanctuariser le moindre espace vert de Montpellier-Métropole, en faire un lieu inconstructible, où arracher un arbre, un buisson soit qualifié d’écocide, un crime contre l’Environnement. Stop au béton !

Signé : Le veilleur et lanceur d’alerte

Ecologiste indépendant et écologue fatigué de promesses non-tenues.
Stop au béton !!!




Vous dites créolisation

Une conception révolutionnaire ?

Un candidat à la fonction de Président de la République a prononcé le mot «créolisation ». Quecesqua ?

Le candidat ne propose rien d’autre que l’abandon de notre culture nationale et sa fusion dans une salade mixte, un mesclum des cultures des immigrés qui se sont installés en France, chez nous, allant à l’encontre de l’assimilation à la culture judéo-chrétienne qui est la nôtre, avec ses valeurs républicaines.

Notre souveraineté culturelle nationale

Le candidat ne comprend pas qu’il ouvre la route à l’islamisme des assassins qui prétendent imposer leur loi réligieuse : un islamo-gauchiste ? Notre patrie est en danger face à ces immigrés qui déferlent sans contrôle chez nous. Comme l’a dit le Cardinal SARA, nous ne devons pas pomper les élites intellectuelles et la jeunesse des pays en voie de développement, les privant de leurs forces vives nécessaires à leur développement.

Dans ce déferlement, se cachent des envoyés hautement indésirables dont nous n’avons que faire.

Merci Monsieur le Candidat, gardez votre créolisation pour vous. Nous ne saurons oublier le soutien que vous avez manifesté à Monsieur Nicolas Maduro, président de ce malheureux pays ruiné, le Vénézuela pourtant suisselant de pétrole.


Un Auditeur IHEDN 1985

Membre de l’Union des Associations d’Auditeurs IHEDN