Un gendarme se fait tabasser par un boxeur

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Nous observons, nous avons l’oeil !

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Information

Nous nous élevons avec indignation contre le tabassage d’un gendarme par un boxeur professionnel comme contre l’attaque d’un motocycliste de la police tombé au sol. Il est inadmissible que des manifestants respectueux de l’ordre républicain s’en prennent aux forces de l’ordre.

Qui frappe un policier ou un gendarme dans une manifestation commet un acte grave et devra en assumer les conséquences tout comme ceux qui cassent vitrines et automobiles sur la voie publique. Nous addirmons totalement immoral le fait de couvrir avec une cagnotte des faits délictueux.

Mais on est en droit de s’interroger sur le degré de formation militaire à la défense personnelle d’un policier ou d’un gendarme dans la mesure où ne sait pas se défendre contre un assaillant. Quelle est donc la formation en matière de sports de combat de nos forces de l’ordre ?

On peut aussi s’interroger sur la cyber-surveillance des réseaux sociaux par nos services de renseignement. Ces réseaux échappent à tout contrôle des instances gouvernementales.

Il convient d’y réfléchir. Dans la formation d’un karatéka, on apprend les mouvements pour éviter un combattant et le neutraliser en lui faisant très mal, sans le tuer. Le close-combat, çà s’apprend et ça se pratique !

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Un volontaire de la Réserve Citoyenne de  la Gendarmerie Nationale

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